Alors que la présidentielle américaine de 2024 entre dans sa dernière ligne droite, un changement majeur s’opère dans les intentions de vote. Après avoir été devancée pendant des mois, la candidate démocrate Kamala Harris prend désormais l’avantage sur son rival républicain Donald Trump. Un revirement de situation qui redistribue les cartes à quelques semaines du scrutin.
Harris profite du retrait de Biden
Le tournant de cette campagne hors norme a sans nul doute été le retrait de Joe Biden le 21 juillet dernier, poussé vers la sortie par une frange de son propre camp. Sa vice-présidente Kamala Harris a alors endossé le costume de candidate, insufflant un nouvel élan à la campagne démocrate.
Propulsée sur le devant de la scène, Harris a su imposer son style et ses thèmes de prédilection. Sa cote de popularité n’a cessé de grimper, tandis que Donald Trump peinait à élargir sa base électorale au-delà de ses fidèles partisans.
Trump pâtit de ses outrances
Malgré un début de campagne en fanfare, porté par une prestation remarquée lors du premier débat télévisé et “boosté” par l’onde de choc suscitée par la tentative d’assassinat dont il a réchappé en juillet, Donald Trump semble marquer le pas dans cette dernière ligne droite.
Un scrutin sous haute tension qui s’annonce serré
Bien que distancé dans les derniers sondages, Donald Trump garde toutes ses chances et peut toujours compter sur une base électorale solide et très mobilisée. Les démocrates, échaudés par la défaite surprise de 2016, se gardent bien de crier victoire trop tôt.
Car les semaines à venir s’annoncent décisives et les deux candidats entendent bien jeter toutes leurs forces dans la bataille. Meetings, interventions médiatiques, diffusion de publicités politiques… Démocrates et Républicains vont se livrer un duel acharné pour convaincre les derniers indécis.
Dans un pays fracturé, où les clivages n’ont jamais semblé aussi béants, cette présidentielle risque de laisser des traces, quel qu’en soit le vainqueur. Le prochain président ou la prochaine présidente aura la lourde tâche de rassembler une Amérique divisée et meurtrie par des années de politisation à outrance.
Un scrutin sous haute tension qui s’annonce serré
Bien que distancé dans les derniers sondages, Donald Trump garde toutes ses chances et peut toujours compter sur une base électorale solide et très mobilisée. Les démocrates, échaudés par la défaite surprise de 2016, se gardent bien de crier victoire trop tôt.
Car les semaines à venir s’annoncent décisives et les deux candidats entendent bien jeter toutes leurs forces dans la bataille. Meetings, interventions médiatiques, diffusion de publicités politiques… Démocrates et Républicains vont se livrer un duel acharné pour convaincre les derniers indécis.
Dans un pays fracturé, où les clivages n’ont jamais semblé aussi béants, cette présidentielle risque de laisser des traces, quel qu’en soit le vainqueur. Le prochain président ou la prochaine présidente aura la lourde tâche de rassembler une Amérique divisée et meurtrie par des années de politisation à outrance.
Certaines de ses déclarations à l’emporte-pièce, comme ses propos sur Gaza qui pourrait devenir “mieux que Monaco”, ont été très mal perçues, y compris dans son propre camp. Elles illustrent la difficulté de l’ancien président à élargir son électorat au-delà de sa base traditionnelle.
Des “swing states” qui feront la différence
Si les sondages donnent une tendance au niveau national, l’élection se jouera comme souvent dans une poignée d’États clés, les fameux “swing states“. Des États comme la Pennsylvanie, le Michigan ou le Wisconsin, qui basculent d’un parti à l’autre au gré des scrutins.
C’est dans ces États indécis que Kamala Harris et Donald Trump concentrent désormais tous leurs efforts. Meetings, interviews, clips de campagne… Les deux candidats multiplient les opérations de terrain pour convaincre les électeurs encore indécis.
Cela pourrait être le plus bel endroit… Gaza pourrait devenir mieux que Monaco.
Donald Trump
Les débats télévisés ont redistribué les cartes
Les trois débats présidentiels, toujours très attendus, ont permis aux deux candidats de croiser le fer sur tous les sujets. Si Donald Trump s’est illustré par son aisance et son sens de la répartie lors du premier débat, Kamala Harris a su rééquilibrer les échanges ultérieurs, en se montrant moins défensive et en attaquant son adversaire sur les nombreuses affaires qui l’ont éclaboussé.
Avortement, climat, politique internationale, économie… Autant de thèmes sur lesquels les deux candidats ont affiché leurs profondes divergences. Des échanges qui semblent avoir convaincu certains électeurs encore indécis de rejoindre le camp démocrate.
Un scrutin sous haute tension qui s’annonce serré
Bien que distancé dans les derniers sondages, Donald Trump garde toutes ses chances et peut toujours compter sur une base électorale solide et très mobilisée. Les démocrates, échaudés par la défaite surprise de 2016, se gardent bien de crier victoire trop tôt.
Car les semaines à venir s’annoncent décisives et les deux candidats entendent bien jeter toutes leurs forces dans la bataille. Meetings, interventions médiatiques, diffusion de publicités politiques… Démocrates et Républicains vont se livrer un duel acharné pour convaincre les derniers indécis.
Dans un pays fracturé, où les clivages n’ont jamais semblé aussi béants, cette présidentielle risque de laisser des traces, quel qu’en soit le vainqueur. Le prochain président ou la prochaine présidente aura la lourde tâche de rassembler une Amérique divisée et meurtrie par des années de politisation à outrance.
Certaines de ses déclarations à l’emporte-pièce, comme ses propos sur Gaza qui pourrait devenir “mieux que Monaco”, ont été très mal perçues, y compris dans son propre camp. Elles illustrent la difficulté de l’ancien président à élargir son électorat au-delà de sa base traditionnelle.
Des “swing states” qui feront la différence
Si les sondages donnent une tendance au niveau national, l’élection se jouera comme souvent dans une poignée d’États clés, les fameux “swing states“. Des États comme la Pennsylvanie, le Michigan ou le Wisconsin, qui basculent d’un parti à l’autre au gré des scrutins.
C’est dans ces États indécis que Kamala Harris et Donald Trump concentrent désormais tous leurs efforts. Meetings, interviews, clips de campagne… Les deux candidats multiplient les opérations de terrain pour convaincre les électeurs encore indécis.
Cela pourrait être le plus bel endroit… Gaza pourrait devenir mieux que Monaco.
Donald Trump
Les débats télévisés ont redistribué les cartes
Les trois débats présidentiels, toujours très attendus, ont permis aux deux candidats de croiser le fer sur tous les sujets. Si Donald Trump s’est illustré par son aisance et son sens de la répartie lors du premier débat, Kamala Harris a su rééquilibrer les échanges ultérieurs, en se montrant moins défensive et en attaquant son adversaire sur les nombreuses affaires qui l’ont éclaboussé.
Avortement, climat, politique internationale, économie… Autant de thèmes sur lesquels les deux candidats ont affiché leurs profondes divergences. Des échanges qui semblent avoir convaincu certains électeurs encore indécis de rejoindre le camp démocrate.
Un scrutin sous haute tension qui s’annonce serré
Bien que distancé dans les derniers sondages, Donald Trump garde toutes ses chances et peut toujours compter sur une base électorale solide et très mobilisée. Les démocrates, échaudés par la défaite surprise de 2016, se gardent bien de crier victoire trop tôt.
Car les semaines à venir s’annoncent décisives et les deux candidats entendent bien jeter toutes leurs forces dans la bataille. Meetings, interventions médiatiques, diffusion de publicités politiques… Démocrates et Républicains vont se livrer un duel acharné pour convaincre les derniers indécis.
Dans un pays fracturé, où les clivages n’ont jamais semblé aussi béants, cette présidentielle risque de laisser des traces, quel qu’en soit le vainqueur. Le prochain président ou la prochaine présidente aura la lourde tâche de rassembler une Amérique divisée et meurtrie par des années de politisation à outrance.