À moins de deux mois de son investiture, le président élu des États-Unis Donald Trump place la libération des otages américains détenus dans la bande de Gaza en tête de ses priorités. Dans un message publié lundi sur sa plateforme Truth Social, il a averti les groupes palestiniens que les conséquences seraient « terribles » s’ils n’étaient pas libérés avant son entrée en fonction le 20 janvier prochain.
Un avertissement sans équivoque aux ravisseurs
Le ton est donné. Avec des mots forts, Donald Trump a tenu à envoyer un message clair :
Si les otages ne sont pas libérés avant le 20 janvier (…), le prix à payer sera Terrible au Moyen-Orient et pour les responsables qui ont perpétré ces atrocités contre l’humanité.
Une mise en garde qui survient alors que plusieurs ressortissants américains sont encore aux mains du Hamas, le mouvement islamiste palestinien qui contrôle la bande de Gaza. Leurs conditions de détention restent incertaines mais des sources proches du dossier évoquent des traitements inhumains.
La libération des captifs comme première épreuve diplomatique
Pour Donald Trump, obtenir la libération de ces otages constituera un premier test sur la scène internationale. Lui qui a construit sa campagne sur la promesse de restaurer la puissance américaine devra démontrer sa capacité à peser dans les crises régionales dès son arrivée à la Maison Blanche.
Au-delà des vies en jeu, la question des otages promet de peser lourdement sur l’avenir des relations entre Washington et les Palestiniens. En brandissant la menace de représailles, Donald Trump place la barre très haut et risque de se retrouver dos au mur en cas d’échec.
De leur côté, les responsables du Hamas savent qu’en acceptant de libérer leurs prisonniers, ils offriraient une victoire politique de choix au nouveau président américain. Un scénario qu’ils espèrent monnayer au prix fort, en termes de reconnaissance internationale ou de levée du blocus imposé à Gaza.
Une première crise à haut risque pour le début de mandat
Que les otages soient finalement libérés ou non, la gestion de ce dossier s’annonce périlleuse pour Donald Trump. En cas de succès, il pourra se prévaloir d’une victoire éclatante mais devra composer avec un Hamas renforcé. À l’inverse, un échec entacherait durablement sa crédibilité et compliquerait sa tâche au Moyen-Orient.
Entre fermeté affichée et impératifs diplomatiques, le président élu devra jouer serré pour éviter l’escalade dans une région où le moindre faux pas peut avoir des répercussions dramatiques. La crise des otages à Gaza lui offre une première occasion de démontrer son savoir-faire sur l’échiquier géopolitique mondial. À lui de transformer l’essai.
Au-delà des vies en jeu, la question des otages promet de peser lourdement sur l’avenir des relations entre Washington et les Palestiniens. En brandissant la menace de représailles, Donald Trump place la barre très haut et risque de se retrouver dos au mur en cas d’échec.
De leur côté, les responsables du Hamas savent qu’en acceptant de libérer leurs prisonniers, ils offriraient une victoire politique de choix au nouveau président américain. Un scénario qu’ils espèrent monnayer au prix fort, en termes de reconnaissance internationale ou de levée du blocus imposé à Gaza.
Une première crise à haut risque pour le début de mandat
Que les otages soient finalement libérés ou non, la gestion de ce dossier s’annonce périlleuse pour Donald Trump. En cas de succès, il pourra se prévaloir d’une victoire éclatante mais devra composer avec un Hamas renforcé. À l’inverse, un échec entacherait durablement sa crédibilité et compliquerait sa tâche au Moyen-Orient.
Entre fermeté affichée et impératifs diplomatiques, le président élu devra jouer serré pour éviter l’escalade dans une région où le moindre faux pas peut avoir des répercussions dramatiques. La crise des otages à Gaza lui offre une première occasion de démontrer son savoir-faire sur l’échiquier géopolitique mondial. À lui de transformer l’essai.
Dans cette optique, il semble déterminé à utiliser tous les leviers à sa disposition pour faire plier le Hamas. Des sanctions économiques aux menaces militaires, toutes les options semblent sur la table pour le futur locataire du Bureau ovale.
Une pression maximale sur Gaza
Le message de Donald Trump s’inscrit dans une stratégie de pression maximale sur les autorités gazaouies. Depuis la capture des otages, les États-Unis multiplient les démarches diplomatiques pour obtenir leur libération mais se heurtent à l’intransigeance du Hamas.
En fixant un ultimatum au 20 janvier, date de la passation de pouvoir, le président élu espère forcer la main à l’organisation. Il mise sur l’effet de surprise et l’incertitude entourant sa future politique au Moyen-Orient pour pousser ses interlocuteurs à lâcher du lest.
Le sort des captifs, enjeu central des futures relations américano-palestiniennes
Au-delà des vies en jeu, la question des otages promet de peser lourdement sur l’avenir des relations entre Washington et les Palestiniens. En brandissant la menace de représailles, Donald Trump place la barre très haut et risque de se retrouver dos au mur en cas d’échec.
De leur côté, les responsables du Hamas savent qu’en acceptant de libérer leurs prisonniers, ils offriraient une victoire politique de choix au nouveau président américain. Un scénario qu’ils espèrent monnayer au prix fort, en termes de reconnaissance internationale ou de levée du blocus imposé à Gaza.
Une première crise à haut risque pour le début de mandat
Que les otages soient finalement libérés ou non, la gestion de ce dossier s’annonce périlleuse pour Donald Trump. En cas de succès, il pourra se prévaloir d’une victoire éclatante mais devra composer avec un Hamas renforcé. À l’inverse, un échec entacherait durablement sa crédibilité et compliquerait sa tâche au Moyen-Orient.
Entre fermeté affichée et impératifs diplomatiques, le président élu devra jouer serré pour éviter l’escalade dans une région où le moindre faux pas peut avoir des répercussions dramatiques. La crise des otages à Gaza lui offre une première occasion de démontrer son savoir-faire sur l’échiquier géopolitique mondial. À lui de transformer l’essai.
Dans cette optique, il semble déterminé à utiliser tous les leviers à sa disposition pour faire plier le Hamas. Des sanctions économiques aux menaces militaires, toutes les options semblent sur la table pour le futur locataire du Bureau ovale.
Une pression maximale sur Gaza
Le message de Donald Trump s’inscrit dans une stratégie de pression maximale sur les autorités gazaouies. Depuis la capture des otages, les États-Unis multiplient les démarches diplomatiques pour obtenir leur libération mais se heurtent à l’intransigeance du Hamas.
En fixant un ultimatum au 20 janvier, date de la passation de pouvoir, le président élu espère forcer la main à l’organisation. Il mise sur l’effet de surprise et l’incertitude entourant sa future politique au Moyen-Orient pour pousser ses interlocuteurs à lâcher du lest.
Le sort des captifs, enjeu central des futures relations américano-palestiniennes
Au-delà des vies en jeu, la question des otages promet de peser lourdement sur l’avenir des relations entre Washington et les Palestiniens. En brandissant la menace de représailles, Donald Trump place la barre très haut et risque de se retrouver dos au mur en cas d’échec.
De leur côté, les responsables du Hamas savent qu’en acceptant de libérer leurs prisonniers, ils offriraient une victoire politique de choix au nouveau président américain. Un scénario qu’ils espèrent monnayer au prix fort, en termes de reconnaissance internationale ou de levée du blocus imposé à Gaza.
Une première crise à haut risque pour le début de mandat
Que les otages soient finalement libérés ou non, la gestion de ce dossier s’annonce périlleuse pour Donald Trump. En cas de succès, il pourra se prévaloir d’une victoire éclatante mais devra composer avec un Hamas renforcé. À l’inverse, un échec entacherait durablement sa crédibilité et compliquerait sa tâche au Moyen-Orient.
Entre fermeté affichée et impératifs diplomatiques, le président élu devra jouer serré pour éviter l’escalade dans une région où le moindre faux pas peut avoir des répercussions dramatiques. La crise des otages à Gaza lui offre une première occasion de démontrer son savoir-faire sur l’échiquier géopolitique mondial. À lui de transformer l’essai.