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L’inquiétude monte à Goma face à l’avancée du groupe armé M23

A Goma, en RDC, l'étau se resserre. Le M23, groupe rebelle soutenu par le Rwanda, a pris la cité portuaire de Minova, provoquant un nouvel exode. Dans les camps de déplacés bondés...

Dans l’est de la République démocratique du Congo, la peur et le désespoir gagnent du terrain au même rythme que l’avancée des rebelles du M23. Mercredi, des milliers de déplacés fuyant la cité de Minova, nouvellement conquise par ce groupe armé soutenu par le Rwanda, ont afflué vers Goma, capitale de la province du Nord-Kivu. Bagages sur le dos, leurs visages sont marqués par l’inquiétude alors que la menace se fait chaque jour plus pressante aux portes de la ville.

Pour nombre de ces déplacés, ce n’est malheureusement pas la première fois qu’ils doivent tout abandonner. « Partout où nous allons, nous nous retrouvons dans une situation incertaine », témoigne Anuarite Nabintu, une des nombreuses victimes de ce conflit qui ravage l’est de la RDC depuis plus de trois décennies. Depuis 2021, le M23 ne cesse de gagner du terrain, contraignant l’armée congolaise à reculer et la population à fuir.

Goma dans l’étau du M23

En s’emparant de Minova, située à seulement vingt kilomètres à l’ouest, le M23 a encore resserré son emprise autour de Goma. Un simple bras d’eau sépare désormais les positions rebelles des forces gouvernementales. Pour tenter d’endiguer la menace, l’armée a suspendu la circulation des petites embarcations sur le lac et déployé de l’artillerie lourde près du port de Nzulo.

Au centre de Goma, malgré le grondement lointain des combats, la vie semble encore suivre son cours. Les commerces et services fonctionnent, les forces de l’ordre veillent. A la frontière avec le Rwanda, alors que les relations diplomatiques entre les deux pays n’ont jamais été aussi tendues, les passages se poursuivent dans les deux sens.

Mais derrière cette façade d’une ville qui tente de tenir bon, l’angoisse enfle inexorablement. Pris en étau entre un groupe rebelle déterminé à étendre son emprise et une armée en déroute, les habitants de Goma et les milliers de déplacés qui y ont trouvé refuge s’accrochent à l’espoir que les armes finiront par se taire. Un espoir qui semble chaque jour plus fragile alors que le M23 continue son implacable progression.

Au centre de Goma, malgré le grondement lointain des combats, la vie semble encore suivre son cours. Les commerces et services fonctionnent, les forces de l’ordre veillent. A la frontière avec le Rwanda, alors que les relations diplomatiques entre les deux pays n’ont jamais été aussi tendues, les passages se poursuivent dans les deux sens.

Mais derrière cette façade d’une ville qui tente de tenir bon, l’angoisse enfle inexorablement. Pris en étau entre un groupe rebelle déterminé à étendre son emprise et une armée en déroute, les habitants de Goma et les milliers de déplacés qui y ont trouvé refuge s’accrochent à l’espoir que les armes finiront par se taire. Un espoir qui semble chaque jour plus fragile alors que le M23 continue son implacable progression.

Mais ces mesures ne suffisent pas à rassurer les habitants et les déplacés. Craignant de se retrouver pris entre deux feux, beaucoup ont préféré fuir les camps situés à proximité de la ligne de front. Certains ont trouvé refuge en ville, d’autres dans des camps déjà surpeuplés où s’entassent plus de 100 000 personnes dans des conditions extrêmement précaires.

L’angoisse des déplacés face à un avenir incertain

« Si la situation persiste, même les locataires de ce camp devront partir vers la ville de Goma », s’inquiète Kadibanga Batungi, un résident du camp de Sam Sam, à quelques centaines de mètres à peine des combats potentiels. Même si la majorité des habitants n’ont pas encore fait le choix de partir, la peur est palpable. « Ces gens ne peuvent pas accepter de vivre ici avec le M23 à proximité », ajoute-t-il.

Pour ceux qui ont tout laissé derrière eux, colère et incompréhension se mêlent au désespoir. « Nous avons laissé nos ménages, nos enfants, nos biens. On ne sait pas ce que fait le gouvernement! », s’indigne David Bonzi, un déplacé originaire de Masisi, territoire en partie occupé par le M23. Face à l’impuissance des autorités, certains songent désormais à prendre les armes pour défendre leurs familles et leurs terres.

Une normalité apparente malgré les tensions

Au centre de Goma, malgré le grondement lointain des combats, la vie semble encore suivre son cours. Les commerces et services fonctionnent, les forces de l’ordre veillent. A la frontière avec le Rwanda, alors que les relations diplomatiques entre les deux pays n’ont jamais été aussi tendues, les passages se poursuivent dans les deux sens.

Mais derrière cette façade d’une ville qui tente de tenir bon, l’angoisse enfle inexorablement. Pris en étau entre un groupe rebelle déterminé à étendre son emprise et une armée en déroute, les habitants de Goma et les milliers de déplacés qui y ont trouvé refuge s’accrochent à l’espoir que les armes finiront par se taire. Un espoir qui semble chaque jour plus fragile alors que le M23 continue son implacable progression.

Mais ces mesures ne suffisent pas à rassurer les habitants et les déplacés. Craignant de se retrouver pris entre deux feux, beaucoup ont préféré fuir les camps situés à proximité de la ligne de front. Certains ont trouvé refuge en ville, d’autres dans des camps déjà surpeuplés où s’entassent plus de 100 000 personnes dans des conditions extrêmement précaires.

L’angoisse des déplacés face à un avenir incertain

« Si la situation persiste, même les locataires de ce camp devront partir vers la ville de Goma », s’inquiète Kadibanga Batungi, un résident du camp de Sam Sam, à quelques centaines de mètres à peine des combats potentiels. Même si la majorité des habitants n’ont pas encore fait le choix de partir, la peur est palpable. « Ces gens ne peuvent pas accepter de vivre ici avec le M23 à proximité », ajoute-t-il.

Pour ceux qui ont tout laissé derrière eux, colère et incompréhension se mêlent au désespoir. « Nous avons laissé nos ménages, nos enfants, nos biens. On ne sait pas ce que fait le gouvernement! », s’indigne David Bonzi, un déplacé originaire de Masisi, territoire en partie occupé par le M23. Face à l’impuissance des autorités, certains songent désormais à prendre les armes pour défendre leurs familles et leurs terres.

Une normalité apparente malgré les tensions

Au centre de Goma, malgré le grondement lointain des combats, la vie semble encore suivre son cours. Les commerces et services fonctionnent, les forces de l’ordre veillent. A la frontière avec le Rwanda, alors que les relations diplomatiques entre les deux pays n’ont jamais été aussi tendues, les passages se poursuivent dans les deux sens.

Mais derrière cette façade d’une ville qui tente de tenir bon, l’angoisse enfle inexorablement. Pris en étau entre un groupe rebelle déterminé à étendre son emprise et une armée en déroute, les habitants de Goma et les milliers de déplacés qui y ont trouvé refuge s’accrochent à l’espoir que les armes finiront par se taire. Un espoir qui semble chaque jour plus fragile alors que le M23 continue son implacable progression.

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