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John Textor, président de l’OL, dénonce Trump : “Ce mec est un enfoiré !”

💥 Clash ! John Textor, le président US de l'OL, atomise Donald Trump : "Ce mec est un enfoiré !" Un pavé dans la mare à l'approche de la présidentielle ricaine. Le foot au cœur de la politique, décryptage d'une déclaration qui ne passera pas inaperçue...

Stupeur et tremblement sur la planète foot ! John Textor, le très médiatique président américain de l’Olympique Lyonnais, vient de lâcher une bombe dans une interview accordée à L’Équipe Magazine. Celui qui est aussi à la tête du club belge de Molenbeek et de Botafogo au Brésil ne mâche pas ses mots au moment d’évoquer un éventuel retour de Donald Trump à la Maison Blanche.

« Ce mec est un enfoiré ! » a-t-il lâché sans filtre. Une déclaration fracassante qui fait l’effet d’un véritable séisme à l’approche de l’élection présidentielle américaine. Textor n’a pas hésité à mettre les pieds dans le plat en ajoutant que le scrutin se résumait à un affrontement binaire : « Cette élection, c’est les pro-Trump contre les anti-Trump, c’est tout. »

Un bad buzz en puissance mais une bonne nouvelle pour le business ?

Si les propos du dirigeant lyonnais risquent de faire des remous outre-Atlantique, il n’en demeure pas moins lucide sur les conséquences d’une éventuelle réélection de l’ancien locataire de la Maison Blanche. « Mais s’il est président, ce sera mieux pour le business » prédit ainsi Textor.

Une analyse surprenante quand on sait que l’OL traverse actuellement une période délicate sur le plan économique. Le club rhodanien, actuel 5ème de Ligue 1, est dans le viseur de la DNCG qui menace de le rétrograder à l’échelon inférieur en cas de difficultés financières persistantes.

La pression monte sur les épaules de Textor

Des déclarations qui placent donc le président américain dans une position pour le moins inconfortable. D’un côté, il se prononce sans détour contre Trump. De l’autre, il reconnaît que son éventuel retour aux affaires pourrait arranger celles de l’OL. Un grand écart qui illustre toute la complexité de la situation dans laquelle se trouve le club lyonnais.

Car le temps presse pour John Textor. L’homme d’affaires va devoir rapidement trouver des solutions pour renflouer les caisses du club. Cela passera inévitablement par des ventes de joueurs lors du prochain mercato. Mais cela suffira-t-il à redresser la barre et à assurer la pérennité de l’institution lyonnaise ?

Un avenir en suspens pour l’OL

Autant de questions qui placent le club dans une situation d’incertitude préoccupante. Car si John Textor ne parvient pas à convaincre les instances du football français de la solidité de son projet, c’est bien une relégation administrative qui guette l’Olympique Lyonnais.

Un scénario catastrophe qui plongerait le club dans une crise sans précédent et remettrait en cause tout le travail entrepris ces dernières années pour s’installer durablement dans le top 5 national. Les prochaines semaines s’annoncent donc cruciales pour l’avenir de l’OL qui jouera très gros sur le marché des transferts.

Les supporters lyonnais retiennent leur souffle

Du côté des supporters, c’est l’incompréhension et l’inquiétude qui dominent. Beaucoup ne comprennent pas la sortie médiatique de leur président dans un contexte aussi délicat. Ils auraient sans doute préféré que John Textor se concentre sur les dossiers brûlants du club plutôt que de commenter l’actualité politique américaine.

Reste à savoir quelles seront les conséquences de cette déclaration au vitriol contre Donald Trump. Une chose est sûre, elle ne manquera pas de faire réagir de l’autre côté de l’Atlantique où la campagne présidentielle bat son plein. Et elle place l’OL sous le feu des projecteurs au pire moment de son histoire récente.

John Textor joue un jeu dangereux en s’attaquant frontalement à Trump. C’est un pari très risqué quand on connaît le pouvoir de nuisance de l’ancien président.

Un observateur politique américain

Les prochaines semaines nous diront si le président de l’OL a vu juste en pariant sur un retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Une perspective qui pourrait servir ses intérêts économiques mais qui risque de lui coûter cher en termes d’image. Car en traitant publiquement le candidat républicain d’« enfoiré », John Textor s’est fait un ennemi de poids. Reste à savoir s’il aura les épaules pour encaisser la contre-attaque.

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