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Gaza : Un Centre De Vaccination Ciblé, 6 Blessés Dont 4 Enfants

Drame à Gaza : un centre de vaccination visé pendant une pause humanitaire, faisant 6 blessés dont 4 enfants. L'OMS appelle au respect absolu de ces zones vitales et au cessez-le-feu immédiat. La campagne contre la polio est bouleversée...

Un événement tragique s’est déroulé samedi dans la bande de Gaza, déjà durement éprouvée par de longs mois de conflit. Selon le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), un centre de vaccination contre la poliomyélite situé dans le nord du territoire a été la cible d’une attaque, faisant six blessés dont quatre enfants.

L’incident s’est produit au centre de soins primaires de Cheikh Radouane, à l’ouest de Gaza-ville, alors que des parents venaient y faire vacciner leurs enfants dans le cadre d’une campagne cruciale de lutte contre la polio. Bien qu’une pause humanitaire ait été convenue pour permettre le déroulement serein des vaccinations, le drame n’a pu être évité.

Une campagne de vaccination d’une importance capitale

L’attaque survient dans un contexte déjà tendu, où l’OMS et l’UNICEF s’efforcent de protéger les quelque 119 000 enfants du nord de Gaza en attente de leur deuxième dose de vaccin oral contre la poliomyélite. Cette maladie hautement contagieuse, qui peut laisser de lourdes séquelles, n’avait plus été détectée dans le territoire depuis 25 ans jusqu’à la découverte d’un cas début septembre.

Face à l’urgence sanitaire, les autorités ont rapidement lancé une vaste campagne de vaccination le 1er septembre, visant à immuniser au moins 90% des enfants de moins de 10 ans pour endiguer la propagation du virus. Un premier cycle s’était déroulé avec succès, touchant plus de 560 000 enfants malgré un contexte sécuritaire des plus précaires.

Des moments de répit transformés en instants de fête

Comme l’avait souligné le Dr Rik Peeperkorn, responsable de l’OMS pour Gaza, la première phase de vaccination avait pris des allures festives, offrant de précieux instants d’insouciance aux familles épuisées par plus d’un an de guerre. Parents et enfants, souvent vêtus de leurs plus beaux habits, profitaient pleinement de ces brefs moments de paix.

Bien que l’armée israélienne n’ait pas commenté l’incident à ce stade, la mise en danger du « caractère sacré de la protection sanitaire des enfants », selon les mots du Dr Tedros, suscite une vive émotion. Le directeur de l’OMS craint que cette attaque ne décourage les parents d’amener leurs enfants se faire vacciner, torpillant les efforts de santé publique.

Ces pauses humanitaires vitales doivent être absolument respectées. Cessez-le-feu !

– Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS

L’appel au cessez-le-feu lancé par le Dr Tedros résonne comme un cri du cœur face à une situation qui met en péril les efforts acharnés des équipes médicales pour protéger les enfants de Gaza. Au-delà de l’impact immédiat sur les blessés, c’est toute une stratégie de santé publique qui vacille sous le poids de la violence.

Dans ce territoire meurtri par des années de blocus et de conflits, où l’accès aux soins est un défi quotidien, la campagne de vaccination contre la polio incarnait un fragile espoir. Un espoir d’épargner aux plus jeunes les affres d’une maladie invalidante, un espoir de préserver leur avenir en dépit des combats.

Aujourd’hui, cet espoir est ébranlé. Les images du centre de soins de Cheikh Radouane, de ces enfants et de ces parents venus chercher protection et qui ont trouvé la violence, hanteront longtemps les mémoires. Elles rappellent cruellement que dans les conflits, ce sont souvent les plus vulnérables qui paient le plus lourd tribut.

Face à ce nouveau drame, la communauté internationale ne peut rester silencieuse. L’attaque contre le centre de vaccination doit être condamnée avec la plus grande fermeté, et des mesures concrètes doivent être prises pour garantir la sécurité des zones dédiées aux soins. C’est une question d’humanité, une question de droit fondamental à la santé.

Car au-delà des considérations géopolitiques, au-delà des intérêts stratégiques et des luttes de pouvoir, il y a ces vies innocentes prises entre les feux. Ces enfants de Gaza, déjà privés de tant de choses essentielles, ne peuvent être privés de leur droit à être protégés contre la maladie. Leur santé, leur avenir, ne peuvent être sacrifiés sur l’autel de la guerre.

Il est temps que la raison l’emporte, que les armes se taisent, au moins le temps d’une vaccination. Il est temps de donner une chance à ces enfants de grandir en bonne santé, de leur offrir un répit dans le tumulte. C’est un défi immense, mais c’est un défi que nous devons relever, pour eux, pour notre humanité commune.

L’attaque contre le centre de vaccination de Cheikh Radouane ne doit pas sonner le glas de la campagne contre la polio à Gaza. Au contraire, elle doit être un électrochoc, un rappel urgent de la nécessité de placer les considérations humanitaires au-dessus des conflits. Les enfants de Gaza méritent cette protection, cette priorité absolue.

Espérons que cet événement tragique serve de catalyseur pour un sursaut de conscience, pour une trêve durable permettant de mener à bien la vaccination. Espérons qu’il marque le début d’un nouveau chapitre, où la santé et la vie seront enfin mises au premier plan. Les enfants de Gaza ont assez souffert, il est temps de leur donner une chance de se construire un avenir. Et cela commence par leur droit inaliénable à la santé, à la protection, à la vie.

Bien que l’armée israélienne n’ait pas commenté l’incident à ce stade, la mise en danger du « caractère sacré de la protection sanitaire des enfants », selon les mots du Dr Tedros, suscite une vive émotion. Le directeur de l’OMS craint que cette attaque ne décourage les parents d’amener leurs enfants se faire vacciner, torpillant les efforts de santé publique.

Ces pauses humanitaires vitales doivent être absolument respectées. Cessez-le-feu !

– Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS

L’appel au cessez-le-feu lancé par le Dr Tedros résonne comme un cri du cœur face à une situation qui met en péril les efforts acharnés des équipes médicales pour protéger les enfants de Gaza. Au-delà de l’impact immédiat sur les blessés, c’est toute une stratégie de santé publique qui vacille sous le poids de la violence.

Dans ce territoire meurtri par des années de blocus et de conflits, où l’accès aux soins est un défi quotidien, la campagne de vaccination contre la polio incarnait un fragile espoir. Un espoir d’épargner aux plus jeunes les affres d’une maladie invalidante, un espoir de préserver leur avenir en dépit des combats.

Aujourd’hui, cet espoir est ébranlé. Les images du centre de soins de Cheikh Radouane, de ces enfants et de ces parents venus chercher protection et qui ont trouvé la violence, hanteront longtemps les mémoires. Elles rappellent cruellement que dans les conflits, ce sont souvent les plus vulnérables qui paient le plus lourd tribut.

Face à ce nouveau drame, la communauté internationale ne peut rester silencieuse. L’attaque contre le centre de vaccination doit être condamnée avec la plus grande fermeté, et des mesures concrètes doivent être prises pour garantir la sécurité des zones dédiées aux soins. C’est une question d’humanité, une question de droit fondamental à la santé.

Car au-delà des considérations géopolitiques, au-delà des intérêts stratégiques et des luttes de pouvoir, il y a ces vies innocentes prises entre les feux. Ces enfants de Gaza, déjà privés de tant de choses essentielles, ne peuvent être privés de leur droit à être protégés contre la maladie. Leur santé, leur avenir, ne peuvent être sacrifiés sur l’autel de la guerre.

Il est temps que la raison l’emporte, que les armes se taisent, au moins le temps d’une vaccination. Il est temps de donner une chance à ces enfants de grandir en bonne santé, de leur offrir un répit dans le tumulte. C’est un défi immense, mais c’est un défi que nous devons relever, pour eux, pour notre humanité commune.

L’attaque contre le centre de vaccination de Cheikh Radouane ne doit pas sonner le glas de la campagne contre la polio à Gaza. Au contraire, elle doit être un électrochoc, un rappel urgent de la nécessité de placer les considérations humanitaires au-dessus des conflits. Les enfants de Gaza méritent cette protection, cette priorité absolue.

Espérons que cet événement tragique serve de catalyseur pour un sursaut de conscience, pour une trêve durable permettant de mener à bien la vaccination. Espérons qu’il marque le début d’un nouveau chapitre, où la santé et la vie seront enfin mises au premier plan. Les enfants de Gaza ont assez souffert, il est temps de leur donner une chance de se construire un avenir. Et cela commence par leur droit inaliénable à la santé, à la protection, à la vie.

Forte de ce premier succès, jugé « massif » par le Dr Tedros, la deuxième phase de la campagne avait démarré le 14 octobre dans le centre et le sud de la bande de Gaza. Quelque 452 000 enfants y ont déjà reçu leur deuxième dose de vaccin, renforçant leur immunité face au virus. Mais dans le nord, zone de combats intenses, l’opération a dû être reportée avant de reprendre ce samedi.

Le « caractère sacré » des zones de vaccination remis en cause

Bien que l’armée israélienne n’ait pas commenté l’incident à ce stade, la mise en danger du « caractère sacré de la protection sanitaire des enfants », selon les mots du Dr Tedros, suscite une vive émotion. Le directeur de l’OMS craint que cette attaque ne décourage les parents d’amener leurs enfants se faire vacciner, torpillant les efforts de santé publique.

Ces pauses humanitaires vitales doivent être absolument respectées. Cessez-le-feu !

– Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS

L’appel au cessez-le-feu lancé par le Dr Tedros résonne comme un cri du cœur face à une situation qui met en péril les efforts acharnés des équipes médicales pour protéger les enfants de Gaza. Au-delà de l’impact immédiat sur les blessés, c’est toute une stratégie de santé publique qui vacille sous le poids de la violence.

Dans ce territoire meurtri par des années de blocus et de conflits, où l’accès aux soins est un défi quotidien, la campagne de vaccination contre la polio incarnait un fragile espoir. Un espoir d’épargner aux plus jeunes les affres d’une maladie invalidante, un espoir de préserver leur avenir en dépit des combats.

Aujourd’hui, cet espoir est ébranlé. Les images du centre de soins de Cheikh Radouane, de ces enfants et de ces parents venus chercher protection et qui ont trouvé la violence, hanteront longtemps les mémoires. Elles rappellent cruellement que dans les conflits, ce sont souvent les plus vulnérables qui paient le plus lourd tribut.

Face à ce nouveau drame, la communauté internationale ne peut rester silencieuse. L’attaque contre le centre de vaccination doit être condamnée avec la plus grande fermeté, et des mesures concrètes doivent être prises pour garantir la sécurité des zones dédiées aux soins. C’est une question d’humanité, une question de droit fondamental à la santé.

Car au-delà des considérations géopolitiques, au-delà des intérêts stratégiques et des luttes de pouvoir, il y a ces vies innocentes prises entre les feux. Ces enfants de Gaza, déjà privés de tant de choses essentielles, ne peuvent être privés de leur droit à être protégés contre la maladie. Leur santé, leur avenir, ne peuvent être sacrifiés sur l’autel de la guerre.

Il est temps que la raison l’emporte, que les armes se taisent, au moins le temps d’une vaccination. Il est temps de donner une chance à ces enfants de grandir en bonne santé, de leur offrir un répit dans le tumulte. C’est un défi immense, mais c’est un défi que nous devons relever, pour eux, pour notre humanité commune.

L’attaque contre le centre de vaccination de Cheikh Radouane ne doit pas sonner le glas de la campagne contre la polio à Gaza. Au contraire, elle doit être un électrochoc, un rappel urgent de la nécessité de placer les considérations humanitaires au-dessus des conflits. Les enfants de Gaza méritent cette protection, cette priorité absolue.

Espérons que cet événement tragique serve de catalyseur pour un sursaut de conscience, pour une trêve durable permettant de mener à bien la vaccination. Espérons qu’il marque le début d’un nouveau chapitre, où la santé et la vie seront enfin mises au premier plan. Les enfants de Gaza ont assez souffert, il est temps de leur donner une chance de se construire un avenir. Et cela commence par leur droit inaliénable à la santé, à la protection, à la vie.

Forte de ce premier succès, jugé « massif » par le Dr Tedros, la deuxième phase de la campagne avait démarré le 14 octobre dans le centre et le sud de la bande de Gaza. Quelque 452 000 enfants y ont déjà reçu leur deuxième dose de vaccin, renforçant leur immunité face au virus. Mais dans le nord, zone de combats intenses, l’opération a dû être reportée avant de reprendre ce samedi.

Le « caractère sacré » des zones de vaccination remis en cause

Bien que l’armée israélienne n’ait pas commenté l’incident à ce stade, la mise en danger du « caractère sacré de la protection sanitaire des enfants », selon les mots du Dr Tedros, suscite une vive émotion. Le directeur de l’OMS craint que cette attaque ne décourage les parents d’amener leurs enfants se faire vacciner, torpillant les efforts de santé publique.

Ces pauses humanitaires vitales doivent être absolument respectées. Cessez-le-feu !

– Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS

L’appel au cessez-le-feu lancé par le Dr Tedros résonne comme un cri du cœur face à une situation qui met en péril les efforts acharnés des équipes médicales pour protéger les enfants de Gaza. Au-delà de l’impact immédiat sur les blessés, c’est toute une stratégie de santé publique qui vacille sous le poids de la violence.

Dans ce territoire meurtri par des années de blocus et de conflits, où l’accès aux soins est un défi quotidien, la campagne de vaccination contre la polio incarnait un fragile espoir. Un espoir d’épargner aux plus jeunes les affres d’une maladie invalidante, un espoir de préserver leur avenir en dépit des combats.

Aujourd’hui, cet espoir est ébranlé. Les images du centre de soins de Cheikh Radouane, de ces enfants et de ces parents venus chercher protection et qui ont trouvé la violence, hanteront longtemps les mémoires. Elles rappellent cruellement que dans les conflits, ce sont souvent les plus vulnérables qui paient le plus lourd tribut.

Face à ce nouveau drame, la communauté internationale ne peut rester silencieuse. L’attaque contre le centre de vaccination doit être condamnée avec la plus grande fermeté, et des mesures concrètes doivent être prises pour garantir la sécurité des zones dédiées aux soins. C’est une question d’humanité, une question de droit fondamental à la santé.

Car au-delà des considérations géopolitiques, au-delà des intérêts stratégiques et des luttes de pouvoir, il y a ces vies innocentes prises entre les feux. Ces enfants de Gaza, déjà privés de tant de choses essentielles, ne peuvent être privés de leur droit à être protégés contre la maladie. Leur santé, leur avenir, ne peuvent être sacrifiés sur l’autel de la guerre.

Il est temps que la raison l’emporte, que les armes se taisent, au moins le temps d’une vaccination. Il est temps de donner une chance à ces enfants de grandir en bonne santé, de leur offrir un répit dans le tumulte. C’est un défi immense, mais c’est un défi que nous devons relever, pour eux, pour notre humanité commune.

L’attaque contre le centre de vaccination de Cheikh Radouane ne doit pas sonner le glas de la campagne contre la polio à Gaza. Au contraire, elle doit être un électrochoc, un rappel urgent de la nécessité de placer les considérations humanitaires au-dessus des conflits. Les enfants de Gaza méritent cette protection, cette priorité absolue.

Espérons que cet événement tragique serve de catalyseur pour un sursaut de conscience, pour une trêve durable permettant de mener à bien la vaccination. Espérons qu’il marque le début d’un nouveau chapitre, où la santé et la vie seront enfin mises au premier plan. Les enfants de Gaza ont assez souffert, il est temps de leur donner une chance de se construire un avenir. Et cela commence par leur droit inaliénable à la santé, à la protection, à la vie.

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