Alors que l’accord de cessez-le-feu conclu en novembre dernier prévoyait un retrait des troupes israéliennes du sud du Liban d’ici le 26 janvier, le processus est loin d’être achevé. Face à cette situation, le président libanais Joseph Aoun a haussé le ton ce samedi, réclamant le départ de l’armée israélienne « dans les délais fixés ».
Lors d’une rencontre avec le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, le chef de l’État a rappelé l’attachement du Liban à « la nécessité du retrait des forces israéliennes de ses territoires occupés dans le délai fixé par l’accord » de cessez-le-feu. Ce dernier, conclu en novembre suite à une courte mais intense guerre entre le Hezbollah et Israël, stipule que l’armée libanaise doit se déployer dans le sud du pays, aux côtés des Casques bleus de l’ONU, et ce dans un délai de 60 jours.
Violations persistantes malgré l’accord
Or, à quelques jours de l’échéance, la situation sur le terrain est loin d’être réglée. Le président Aoun a dénoncé « la poursuite des violations israéliennes terrestres et aériennes », pointant notamment du doigt « le dynamitage des maisons et la destruction des villages frontaliers qui vont à l’encontre de l’accord ». Des actes qui témoignent d’un retrait israélien pour le moins poussif et partiel.
Face à ce qu’il considère comme des « centaines de violations » israéliennes, le chef du Hezbollah Naïm Qassem a averti ce samedi que sa formation pourrait « perdre patience ». Une menace à peine voilée de reprise des hostilités si le retrait ne s’accélère pas.
Avec le retrait des forces israéliennes et la présence de l’armée libanaise sur l’ensemble du territoire libanais, il sera possible d’ouvrir un nouveau chapitre de paix.
Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU
L’ONU, par la voix de son secrétaire général, tente d’apaiser les tensions. Antonio Guterres a déclaré qu’avec un retrait israélien complet et un déploiement de l’armée libanaise sur tout le territoire, « il sera possible d’ouvrir un nouveau chapitre de paix ». Mais à quelques jours de l’échéance du 26 janvier, cet espoir de paix durable semble encore bien fragile. Les prochains jours seront décisifs pour savoir si l’accord sera respecté ou si la région basculera de nouveau dans un cycle de violences.
Face à ce qu’il considère comme des « centaines de violations » israéliennes, le chef du Hezbollah Naïm Qassem a averti ce samedi que sa formation pourrait « perdre patience ». Une menace à peine voilée de reprise des hostilités si le retrait ne s’accélère pas.
Avec le retrait des forces israéliennes et la présence de l’armée libanaise sur l’ensemble du territoire libanais, il sera possible d’ouvrir un nouveau chapitre de paix.
Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU
L’ONU, par la voix de son secrétaire général, tente d’apaiser les tensions. Antonio Guterres a déclaré qu’avec un retrait israélien complet et un déploiement de l’armée libanaise sur tout le territoire, « il sera possible d’ouvrir un nouveau chapitre de paix ». Mais à quelques jours de l’échéance du 26 janvier, cet espoir de paix durable semble encore bien fragile. Les prochains jours seront décisifs pour savoir si l’accord sera respecté ou si la région basculera de nouveau dans un cycle de violences.
Signe des tensions qui demeurent, le chef de l’ONU a révélé vendredi que les Casques bleus avaient mis au jour « plus de 100 caches d’armes appartenant au Hezbollah ou à d’autres groupes armés depuis le 27 novembre », date d’entrée en vigueur du cessez-le-feu. Une découverte inquiétante qui montre que le désarmement dans la zone est loin d’être acquis.
Face à ce qu’il considère comme des « centaines de violations » israéliennes, le chef du Hezbollah Naïm Qassem a averti ce samedi que sa formation pourrait « perdre patience ». Une menace à peine voilée de reprise des hostilités si le retrait ne s’accélère pas.
Avec le retrait des forces israéliennes et la présence de l’armée libanaise sur l’ensemble du territoire libanais, il sera possible d’ouvrir un nouveau chapitre de paix.
Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU
L’ONU, par la voix de son secrétaire général, tente d’apaiser les tensions. Antonio Guterres a déclaré qu’avec un retrait israélien complet et un déploiement de l’armée libanaise sur tout le territoire, « il sera possible d’ouvrir un nouveau chapitre de paix ». Mais à quelques jours de l’échéance du 26 janvier, cet espoir de paix durable semble encore bien fragile. Les prochains jours seront décisifs pour savoir si l’accord sera respecté ou si la région basculera de nouveau dans un cycle de violences.
Signe des tensions qui demeurent, le chef de l’ONU a révélé vendredi que les Casques bleus avaient mis au jour « plus de 100 caches d’armes appartenant au Hezbollah ou à d’autres groupes armés depuis le 27 novembre », date d’entrée en vigueur du cessez-le-feu. Une découverte inquiétante qui montre que le désarmement dans la zone est loin d’être acquis.
Face à ce qu’il considère comme des « centaines de violations » israéliennes, le chef du Hezbollah Naïm Qassem a averti ce samedi que sa formation pourrait « perdre patience ». Une menace à peine voilée de reprise des hostilités si le retrait ne s’accélère pas.
Avec le retrait des forces israéliennes et la présence de l’armée libanaise sur l’ensemble du territoire libanais, il sera possible d’ouvrir un nouveau chapitre de paix.
Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU
L’ONU, par la voix de son secrétaire général, tente d’apaiser les tensions. Antonio Guterres a déclaré qu’avec un retrait israélien complet et un déploiement de l’armée libanaise sur tout le territoire, « il sera possible d’ouvrir un nouveau chapitre de paix ». Mais à quelques jours de l’échéance du 26 janvier, cet espoir de paix durable semble encore bien fragile. Les prochains jours seront décisifs pour savoir si l’accord sera respecté ou si la région basculera de nouveau dans un cycle de violences.
De l’autre côté, le mouvement chiite Hezbollah, sorti affaibli de la confrontation, est censé retirer ses forces au nord du fleuve Litani, soit à environ 30 km de la frontière. Mais là aussi, le doute persiste sur une application complète de l’accord.
Plus de 100 caches d’armes découvertes
Signe des tensions qui demeurent, le chef de l’ONU a révélé vendredi que les Casques bleus avaient mis au jour « plus de 100 caches d’armes appartenant au Hezbollah ou à d’autres groupes armés depuis le 27 novembre », date d’entrée en vigueur du cessez-le-feu. Une découverte inquiétante qui montre que le désarmement dans la zone est loin d’être acquis.
Face à ce qu’il considère comme des « centaines de violations » israéliennes, le chef du Hezbollah Naïm Qassem a averti ce samedi que sa formation pourrait « perdre patience ». Une menace à peine voilée de reprise des hostilités si le retrait ne s’accélère pas.
Avec le retrait des forces israéliennes et la présence de l’armée libanaise sur l’ensemble du territoire libanais, il sera possible d’ouvrir un nouveau chapitre de paix.
Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU
L’ONU, par la voix de son secrétaire général, tente d’apaiser les tensions. Antonio Guterres a déclaré qu’avec un retrait israélien complet et un déploiement de l’armée libanaise sur tout le territoire, « il sera possible d’ouvrir un nouveau chapitre de paix ». Mais à quelques jours de l’échéance du 26 janvier, cet espoir de paix durable semble encore bien fragile. Les prochains jours seront décisifs pour savoir si l’accord sera respecté ou si la région basculera de nouveau dans un cycle de violences.
De l’autre côté, le mouvement chiite Hezbollah, sorti affaibli de la confrontation, est censé retirer ses forces au nord du fleuve Litani, soit à environ 30 km de la frontière. Mais là aussi, le doute persiste sur une application complète de l’accord.
Plus de 100 caches d’armes découvertes
Signe des tensions qui demeurent, le chef de l’ONU a révélé vendredi que les Casques bleus avaient mis au jour « plus de 100 caches d’armes appartenant au Hezbollah ou à d’autres groupes armés depuis le 27 novembre », date d’entrée en vigueur du cessez-le-feu. Une découverte inquiétante qui montre que le désarmement dans la zone est loin d’être acquis.
Face à ce qu’il considère comme des « centaines de violations » israéliennes, le chef du Hezbollah Naïm Qassem a averti ce samedi que sa formation pourrait « perdre patience ». Une menace à peine voilée de reprise des hostilités si le retrait ne s’accélère pas.
Avec le retrait des forces israéliennes et la présence de l’armée libanaise sur l’ensemble du territoire libanais, il sera possible d’ouvrir un nouveau chapitre de paix.
Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU
L’ONU, par la voix de son secrétaire général, tente d’apaiser les tensions. Antonio Guterres a déclaré qu’avec un retrait israélien complet et un déploiement de l’armée libanaise sur tout le territoire, « il sera possible d’ouvrir un nouveau chapitre de paix ». Mais à quelques jours de l’échéance du 26 janvier, cet espoir de paix durable semble encore bien fragile. Les prochains jours seront décisifs pour savoir si l’accord sera respecté ou si la région basculera de nouveau dans un cycle de violences.