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Cuba Annonce une Réforme Économique Majeure pour Relancer sa Croissance

Cuba prend un virage économique décisif en instaurant un taux de change flottant pour son peso. Une mesure phare pour redresser l'économie de l'île, mais parviendra-t-elle à juguler l'inflation et à relancer la croissance ? Les détails de cette réforme d'envergure...

Cuba s’apprête à franchir un cap économique majeur avec l’introduction d’un taux de change flottant pour sa monnaie nationale, le peso cubain. Cette mesure phare, annoncée mercredi par le Premier ministre Manuel Marrero, vise à réduire l’écart abyssal entre le taux officiel et celui du marché noir, dans un contexte d’inflation galopante atteignant les 28% en glissement annuel à fin octobre.

Une réforme pour plus de flexibilité du peso

Lors d’une session parlementaire dressant le bilan du plan gouvernemental lancé il y a un an pour redresser l’économie, Manuel Marrero a souligné que ce « nouveau régime des changes suppose une plus grande flexibilité du taux de change ». Concrètement, le taux devra fluctuer en fonction de l’offre et de la demande de devises sur le marché.

Mais le Premier ministre a tenu à rassurer en précisant qu’il s’agirait d’un « processus qui se déroulera progressivement ». Car la dernière réforme monétaire de 2021, couplée à l’ouverture de certains secteurs aux acteurs privés, a eu des effets dévastateurs sur le peso cubain.

Le marché noir explose, l’inflation s’envole

Depuis ces changements, la monnaie nationale a connu une dépréciation vertigineuse. Un marché parallèle s’est développé, avec des taux s’éloignant toujours plus du cours officiel. Résultat : une inflation galopante jusque-là inconnue dans ce pays à l’économie centralisée.

Affaiblie par des problèmes structurels et asphyxiée par l’embargo américain en place depuis 1962 et récemment durci, l’économie cubaine peine à se relever. La réforme du taux de change sera-t-elle le déclic tant attendu ? Réponse dans les prochains mois, qui s’annoncent décisifs pour l’avenir économique de l’île.

À l’heure où Cuba joue son va-tout pour redresser son économie, tous les regards sont braqués sur l’évolution du peso et l’efficacité de ce nouveau système de change. Un pari risqué, mais vital pour redonner des couleurs au pays et offrir de meilleures perspectives à sa population.

Face à ce tableau sombre, le gouvernement mise sur un retour de la croissance en 2025, avec une hausse du PIB de 1%. Mais le défi est immense pour ce pays, qui traverse sa pire crise économique depuis 30 ans.

Affaiblie par des problèmes structurels et asphyxiée par l’embargo américain en place depuis 1962 et récemment durci, l’économie cubaine peine à se relever. La réforme du taux de change sera-t-elle le déclic tant attendu ? Réponse dans les prochains mois, qui s’annoncent décisifs pour l’avenir économique de l’île.

À l’heure où Cuba joue son va-tout pour redresser son économie, tous les regards sont braqués sur l’évolution du peso et l’efficacité de ce nouveau système de change. Un pari risqué, mais vital pour redonner des couleurs au pays et offrir de meilleures perspectives à sa population.

Face à ce tableau sombre, le gouvernement mise sur un retour de la croissance en 2025, avec une hausse du PIB de 1%. Mais le défi est immense pour ce pays, qui traverse sa pire crise économique depuis 30 ans.

Affaiblie par des problèmes structurels et asphyxiée par l’embargo américain en place depuis 1962 et récemment durci, l’économie cubaine peine à se relever. La réforme du taux de change sera-t-elle le déclic tant attendu ? Réponse dans les prochains mois, qui s’annoncent décisifs pour l’avenir économique de l’île.

À l’heure où Cuba joue son va-tout pour redresser son économie, tous les regards sont braqués sur l’évolution du peso et l’efficacité de ce nouveau système de change. Un pari risqué, mais vital pour redonner des couleurs au pays et offrir de meilleures perspectives à sa population.

Mercredi, le dollar s’échangeait ainsi à 320 pesos au marché noir, contre un taux officiel de 120 pesos. Et malgré un léger ralentissement, l’inflation restait à un niveau très élevé de 28% en octobre selon M. Marrero, après avoir atteint des sommets à 70% en 2021, 39% en 2022 et 30% en 2023.

Des perspectives économiques moroses

Ni le chef du gouvernement, ni le ministre de l’Économie Joaquin Alonso Vazquez n’ont communiqué de prévisions de croissance pour 2024. Mi-novembre, ce dernier avait néanmoins émis l’hypothèse d’une croissance nulle voire négative, en raison des catastrophes naturelles et des coupures d’électricité ayant frappé l’île ces derniers mois.

En 2023, le PIB cubain s’était déjà contracté de 1,9%. Et les exportations, principal moteur de croissance, n’ont pas atteint les résultats escomptés. Entre 2019 et 2023, elles ont chuté de 31,9%, plombées par la baisse des cours mondiaux et « la faible productivité nationale », notamment pour le sucre, le nickel et le charbon de bois.

L’espoir d’une reprise en 2025

Face à ce tableau sombre, le gouvernement mise sur un retour de la croissance en 2025, avec une hausse du PIB de 1%. Mais le défi est immense pour ce pays, qui traverse sa pire crise économique depuis 30 ans.

Affaiblie par des problèmes structurels et asphyxiée par l’embargo américain en place depuis 1962 et récemment durci, l’économie cubaine peine à se relever. La réforme du taux de change sera-t-elle le déclic tant attendu ? Réponse dans les prochains mois, qui s’annoncent décisifs pour l’avenir économique de l’île.

À l’heure où Cuba joue son va-tout pour redresser son économie, tous les regards sont braqués sur l’évolution du peso et l’efficacité de ce nouveau système de change. Un pari risqué, mais vital pour redonner des couleurs au pays et offrir de meilleures perspectives à sa population.

Mercredi, le dollar s’échangeait ainsi à 320 pesos au marché noir, contre un taux officiel de 120 pesos. Et malgré un léger ralentissement, l’inflation restait à un niveau très élevé de 28% en octobre selon M. Marrero, après avoir atteint des sommets à 70% en 2021, 39% en 2022 et 30% en 2023.

Des perspectives économiques moroses

Ni le chef du gouvernement, ni le ministre de l’Économie Joaquin Alonso Vazquez n’ont communiqué de prévisions de croissance pour 2024. Mi-novembre, ce dernier avait néanmoins émis l’hypothèse d’une croissance nulle voire négative, en raison des catastrophes naturelles et des coupures d’électricité ayant frappé l’île ces derniers mois.

En 2023, le PIB cubain s’était déjà contracté de 1,9%. Et les exportations, principal moteur de croissance, n’ont pas atteint les résultats escomptés. Entre 2019 et 2023, elles ont chuté de 31,9%, plombées par la baisse des cours mondiaux et « la faible productivité nationale », notamment pour le sucre, le nickel et le charbon de bois.

L’espoir d’une reprise en 2025

Face à ce tableau sombre, le gouvernement mise sur un retour de la croissance en 2025, avec une hausse du PIB de 1%. Mais le défi est immense pour ce pays, qui traverse sa pire crise économique depuis 30 ans.

Affaiblie par des problèmes structurels et asphyxiée par l’embargo américain en place depuis 1962 et récemment durci, l’économie cubaine peine à se relever. La réforme du taux de change sera-t-elle le déclic tant attendu ? Réponse dans les prochains mois, qui s’annoncent décisifs pour l’avenir économique de l’île.

À l’heure où Cuba joue son va-tout pour redresser son économie, tous les regards sont braqués sur l’évolution du peso et l’efficacité de ce nouveau système de change. Un pari risqué, mais vital pour redonner des couleurs au pays et offrir de meilleures perspectives à sa population.

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