Les relations russo-américaines n’ont jamais été aussi tendues depuis la Guerre Froide. Alors que le conflit ukrainien s’enlise, Washington et Moscou s’accusent mutuellement de jeter de l’huile sur le feu. Le spectre d’une guerre mondiale plane à nouveau sur le monde.
Washington nie vouloir la guerre, Moscou parle d’escalade
Jeudi, la Maison Blanche a assuré ne pas “chercher la guerre avec la Russie”. Mais dans le même temps, elle a accusé Moscou de “provoquer l’escalade” en Ukraine. Des propos qui font suite à ceux de Vladimir Poutine, lequel a estimé que le conflit avait désormais tout d’une guerre “mondiale”.
Karine Jean-Pierre, porte-parole de la Maison Blanche, a pointé du doigt la responsabilité russe. Selon elle, “c’est la Russie qui provoque l’escalade”, notamment en se tournant vers la Corée du Nord dont des militaires combattraient aux côtés des forces russes.
Le Pentagone se veut rassurant
De son côté, le Pentagone a tenu à calmer le jeu. Sa porte-parole adjointe, Sabrina Singh, a affirmé que les États-Unis ne “cherchaient pas un conflit régional plus large” en Europe. “Nous ne cherchons pas la guerre avec la Russie”, a-t-elle insisté, tout en promettant un soutien continu à l’Ukraine.
Poutine brandit la menace nucléaire
Mais les récentes déclarations de Vladimir Poutine n’incitent guère à l’optimisme. Le maître du Kremlin a prévenu qu’il n’excluait pas de frapper les pays occidentaux, brandissant à demi-mot la menace nucléaire. Des propos tenus après une journée de tensions extrêmes où la Russie a utilisé un missile balistique hypersonique de dernière génération en Ukraine.
Cette guerre des mots entre les deux puissances fait craindre le pire. D’un côté, une Russie qui semble prête à tout pour ne pas perdre la face en Ukraine. De l’autre, des États-Unis déterminés à soutenir Kiev, quitte à aller au bord du gouffre. Au milieu, une Europe qui retient son souffle, espérant que la raison l’emportera.
Car si personne ne souhaite voir ce conflit dégénérer en une confrontation globale, force est de constater que le risque n’a jamais été aussi grand. Chaque jour apporte son lot de provocations et de menaces, faisant monter la tension d’un cran supplémentaire. Une escalade dangereuse qui pourrait, si elle n’est pas maîtrisée, nous faire basculer dans l’impensable.
L’Histoire nous a appris que les guerres commencent souvent par accident, par une succession de malentendus et de provocations. C’est ce scénario catastrophe que la communauté internationale doit à tout prix éviter. Il est plus que jamais crucial que toutes les parties fassent preuve de retenue et privilégient la voie diplomatique. Car dans une guerre mondiale, il n’y aurait que des perdants. Et l’humanité pourrait bien ne pas s’en relever.
Selon des sources proches du dossier, Moscou aurait prévenu Washington 30 minutes avant ce tir de missile, via les “canaux de réduction du risque nucléaire”. Une information confirmée par le Pentagone.
Washington préoccupé mais ferme
Face à cette escalade verbale et militaire, les États-Unis se disent “préoccupés” mais restent fermes. “Nous prenons au sérieux la rhétorique qui sort de Russie”, a déclaré Sabrina Singh, tout en réaffirmant que les États-Unis n’avaient “pas de raison” de modifier leur doctrine nucléaire.
Karine Jean-Pierre a elle aussi tenu à rassurer, indiquant que malgré l’extension par la Russie de la possibilité d’un recours à l’arme atomique, Washington maintiendrait le cap.
Jusqu’où ira l’escalade ?
Cette guerre des mots entre les deux puissances fait craindre le pire. D’un côté, une Russie qui semble prête à tout pour ne pas perdre la face en Ukraine. De l’autre, des États-Unis déterminés à soutenir Kiev, quitte à aller au bord du gouffre. Au milieu, une Europe qui retient son souffle, espérant que la raison l’emportera.
Car si personne ne souhaite voir ce conflit dégénérer en une confrontation globale, force est de constater que le risque n’a jamais été aussi grand. Chaque jour apporte son lot de provocations et de menaces, faisant monter la tension d’un cran supplémentaire. Une escalade dangereuse qui pourrait, si elle n’est pas maîtrisée, nous faire basculer dans l’impensable.
L’Histoire nous a appris que les guerres commencent souvent par accident, par une succession de malentendus et de provocations. C’est ce scénario catastrophe que la communauté internationale doit à tout prix éviter. Il est plus que jamais crucial que toutes les parties fassent preuve de retenue et privilégient la voie diplomatique. Car dans une guerre mondiale, il n’y aurait que des perdants. Et l’humanité pourrait bien ne pas s’en relever.
Selon des sources proches du dossier, Moscou aurait prévenu Washington 30 minutes avant ce tir de missile, via les “canaux de réduction du risque nucléaire”. Une information confirmée par le Pentagone.
Washington préoccupé mais ferme
Face à cette escalade verbale et militaire, les États-Unis se disent “préoccupés” mais restent fermes. “Nous prenons au sérieux la rhétorique qui sort de Russie”, a déclaré Sabrina Singh, tout en réaffirmant que les États-Unis n’avaient “pas de raison” de modifier leur doctrine nucléaire.
Karine Jean-Pierre a elle aussi tenu à rassurer, indiquant que malgré l’extension par la Russie de la possibilité d’un recours à l’arme atomique, Washington maintiendrait le cap.
Jusqu’où ira l’escalade ?
Cette guerre des mots entre les deux puissances fait craindre le pire. D’un côté, une Russie qui semble prête à tout pour ne pas perdre la face en Ukraine. De l’autre, des États-Unis déterminés à soutenir Kiev, quitte à aller au bord du gouffre. Au milieu, une Europe qui retient son souffle, espérant que la raison l’emportera.
Car si personne ne souhaite voir ce conflit dégénérer en une confrontation globale, force est de constater que le risque n’a jamais été aussi grand. Chaque jour apporte son lot de provocations et de menaces, faisant monter la tension d’un cran supplémentaire. Une escalade dangereuse qui pourrait, si elle n’est pas maîtrisée, nous faire basculer dans l’impensable.
L’Histoire nous a appris que les guerres commencent souvent par accident, par une succession de malentendus et de provocations. C’est ce scénario catastrophe que la communauté internationale doit à tout prix éviter. Il est plus que jamais crucial que toutes les parties fassent preuve de retenue et privilégient la voie diplomatique. Car dans une guerre mondiale, il n’y aurait que des perdants. Et l’humanité pourrait bien ne pas s’en relever.