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Tensions franco-israéliennes : Macron et Netanyahou s’affrontent

🔥 Clash Macron-Netanyahou sur la création d'Israël : les dessous d'une crise diplomatique explosive. La France et Israël au bord de la rupture ?

Les relations entre la France et Israël traversent une zone de turbulences. Tout a commencé par une déclaration d’Emmanuel Macron en Conseil des ministres, rapportée par une source proche de l’Élysée. Le Président français aurait enjoint à son homologue israélien, Benyamin Netanyahou, de ne pas oublier que son pays “a été créé par une décision de l’ONU”. Des propos qui ont fait bondir le Premier ministre israélien.

Quand l’Histoire s’invite dans la diplomatie

En rappelant que l’État d’Israël doit son existence légale à la résolution 181 adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 29 novembre 1947, Emmanuel Macron a remis une pièce dans la machine complexe du conflit israélo-palestinien. Cette résolution prévoyait le partage de la Palestine en deux États, l’un juif, l’autre arabe. Elle fut suivie le 14 mai 1948 par la proclamation d’indépendance d’Israël par David Ben Gourion.

Mais pour Benyamin Netanyahou, on ne peut réduire la légitimité de l’État hébreu à une simple décision onusienne. Dans un message adressé au Président français, il affirme que “ce n’est pas la résolution de l’ONU qui a créé l’État d’Israël”.

Des visions divergentes sur le rôle de l’ONU

Au-delà du dossier israélo-palestinien, c’est toute la politique étrangère d’Emmanuel Macron qui est sous les projecteurs. Le Président français a fait du multilatéralisme et du respect du droit international les piliers de son action sur la scène mondiale. Mais force est de constater que cette ligne se heurte souvent aux réalités géopolitiques et aux rapports de force sur le terrain.

En rappelant à Benyamin Netanyahou le rôle de l’ONU dans la création d’Israël, Emmanuel Macron a voulu réaffirmer la primauté du droit international. Mais il prend le risque de braquer un allié important et de compliquer encore un peu plus le jeu diplomatique au Proche-Orient.

Une chose est sûre, cette crise diplomatique est suivie de très près dans les chancelleries du monde entier. Elle pourrait marquer un tournant dans les relations franco-israéliennes, mais aussi dans la façon dont la communauté internationale aborde le conflit israélo-palestinien. Entre réalisme géopolitique et idéalisme onusien, Emmanuel Macron va devoir naviguer à vue dans les prochaines semaines. L’avenir de la région, et peut-être celui de sa diplomatie, en dépendent.

Au-delà du dossier israélo-palestinien, c’est toute la politique étrangère d’Emmanuel Macron qui est sous les projecteurs. Le Président français a fait du multilatéralisme et du respect du droit international les piliers de son action sur la scène mondiale. Mais force est de constater que cette ligne se heurte souvent aux réalités géopolitiques et aux rapports de force sur le terrain.

En rappelant à Benyamin Netanyahou le rôle de l’ONU dans la création d’Israël, Emmanuel Macron a voulu réaffirmer la primauté du droit international. Mais il prend le risque de braquer un allié important et de compliquer encore un peu plus le jeu diplomatique au Proche-Orient.

Une chose est sûre, cette crise diplomatique est suivie de très près dans les chancelleries du monde entier. Elle pourrait marquer un tournant dans les relations franco-israéliennes, mais aussi dans la façon dont la communauté internationale aborde le conflit israélo-palestinien. Entre réalisme géopolitique et idéalisme onusien, Emmanuel Macron va devoir naviguer à vue dans les prochaines semaines. L’avenir de la région, et peut-être celui de sa diplomatie, en dépendent.

De son côté, la France essaie de jouer les médiateurs, appelant à un cessez-le-feu et à la retenue de toutes les parties. Mais le ton employé par Emmanuel Macron envers Benyamin Netanyahou semble indiquer un durcissement de la position française, lassée par l’intransigeance israélienne.

“M. Netanyahou ne doit pas oublier que son pays a été créé par une décision de l’ONU. Et par conséquent, ce n’est pas le moment de s’affranchir des décisions de l’ONU”.

— Emmanuel Macron

Cette crise diplomatique risque de peser sur les relations entre les deux pays, pourtant présentées comme “excellentes” depuis l’élection d’Emmanuel Macron. La France pourra-t-elle encore se poser en médiateur crédible si elle est perçue comme prenant parti? La question reste ouverte.

Un test pour la politique étrangère d’Emmanuel Macron

Au-delà du dossier israélo-palestinien, c’est toute la politique étrangère d’Emmanuel Macron qui est sous les projecteurs. Le Président français a fait du multilatéralisme et du respect du droit international les piliers de son action sur la scène mondiale. Mais force est de constater que cette ligne se heurte souvent aux réalités géopolitiques et aux rapports de force sur le terrain.

En rappelant à Benyamin Netanyahou le rôle de l’ONU dans la création d’Israël, Emmanuel Macron a voulu réaffirmer la primauté du droit international. Mais il prend le risque de braquer un allié important et de compliquer encore un peu plus le jeu diplomatique au Proche-Orient.

Une chose est sûre, cette crise diplomatique est suivie de très près dans les chancelleries du monde entier. Elle pourrait marquer un tournant dans les relations franco-israéliennes, mais aussi dans la façon dont la communauté internationale aborde le conflit israélo-palestinien. Entre réalisme géopolitique et idéalisme onusien, Emmanuel Macron va devoir naviguer à vue dans les prochaines semaines. L’avenir de la région, et peut-être celui de sa diplomatie, en dépendent.

De son côté, la France essaie de jouer les médiateurs, appelant à un cessez-le-feu et à la retenue de toutes les parties. Mais le ton employé par Emmanuel Macron envers Benyamin Netanyahou semble indiquer un durcissement de la position française, lassée par l’intransigeance israélienne.

“M. Netanyahou ne doit pas oublier que son pays a été créé par une décision de l’ONU. Et par conséquent, ce n’est pas le moment de s’affranchir des décisions de l’ONU”.

— Emmanuel Macron

Cette crise diplomatique risque de peser sur les relations entre les deux pays, pourtant présentées comme “excellentes” depuis l’élection d’Emmanuel Macron. La France pourra-t-elle encore se poser en médiateur crédible si elle est perçue comme prenant parti? La question reste ouverte.

Un test pour la politique étrangère d’Emmanuel Macron

Au-delà du dossier israélo-palestinien, c’est toute la politique étrangère d’Emmanuel Macron qui est sous les projecteurs. Le Président français a fait du multilatéralisme et du respect du droit international les piliers de son action sur la scène mondiale. Mais force est de constater que cette ligne se heurte souvent aux réalités géopolitiques et aux rapports de force sur le terrain.

En rappelant à Benyamin Netanyahou le rôle de l’ONU dans la création d’Israël, Emmanuel Macron a voulu réaffirmer la primauté du droit international. Mais il prend le risque de braquer un allié important et de compliquer encore un peu plus le jeu diplomatique au Proche-Orient.

Une chose est sûre, cette crise diplomatique est suivie de très près dans les chancelleries du monde entier. Elle pourrait marquer un tournant dans les relations franco-israéliennes, mais aussi dans la façon dont la communauté internationale aborde le conflit israélo-palestinien. Entre réalisme géopolitique et idéalisme onusien, Emmanuel Macron va devoir naviguer à vue dans les prochaines semaines. L’avenir de la région, et peut-être celui de sa diplomatie, en dépendent.

Si cette passe d’armes reste pour l’instant dans le champ diplomatique, elle intervient dans un contexte régional particulièrement tendu. Israël mène actuellement une offensive terrestre contre le Hezbollah dans le sud du Liban, où sont déployés des Casques bleus de la FINUL. L’escalade militaire fait craindre un embrasement régional.

De son côté, la France essaie de jouer les médiateurs, appelant à un cessez-le-feu et à la retenue de toutes les parties. Mais le ton employé par Emmanuel Macron envers Benyamin Netanyahou semble indiquer un durcissement de la position française, lassée par l’intransigeance israélienne.

“M. Netanyahou ne doit pas oublier que son pays a été créé par une décision de l’ONU. Et par conséquent, ce n’est pas le moment de s’affranchir des décisions de l’ONU”.

— Emmanuel Macron

Cette crise diplomatique risque de peser sur les relations entre les deux pays, pourtant présentées comme “excellentes” depuis l’élection d’Emmanuel Macron. La France pourra-t-elle encore se poser en médiateur crédible si elle est perçue comme prenant parti? La question reste ouverte.

Un test pour la politique étrangère d’Emmanuel Macron

Au-delà du dossier israélo-palestinien, c’est toute la politique étrangère d’Emmanuel Macron qui est sous les projecteurs. Le Président français a fait du multilatéralisme et du respect du droit international les piliers de son action sur la scène mondiale. Mais force est de constater que cette ligne se heurte souvent aux réalités géopolitiques et aux rapports de force sur le terrain.

En rappelant à Benyamin Netanyahou le rôle de l’ONU dans la création d’Israël, Emmanuel Macron a voulu réaffirmer la primauté du droit international. Mais il prend le risque de braquer un allié important et de compliquer encore un peu plus le jeu diplomatique au Proche-Orient.

Une chose est sûre, cette crise diplomatique est suivie de très près dans les chancelleries du monde entier. Elle pourrait marquer un tournant dans les relations franco-israéliennes, mais aussi dans la façon dont la communauté internationale aborde le conflit israélo-palestinien. Entre réalisme géopolitique et idéalisme onusien, Emmanuel Macron va devoir naviguer à vue dans les prochaines semaines. L’avenir de la région, et peut-être celui de sa diplomatie, en dépendent.

Si cette passe d’armes reste pour l’instant dans le champ diplomatique, elle intervient dans un contexte régional particulièrement tendu. Israël mène actuellement une offensive terrestre contre le Hezbollah dans le sud du Liban, où sont déployés des Casques bleus de la FINUL. L’escalade militaire fait craindre un embrasement régional.

De son côté, la France essaie de jouer les médiateurs, appelant à un cessez-le-feu et à la retenue de toutes les parties. Mais le ton employé par Emmanuel Macron envers Benyamin Netanyahou semble indiquer un durcissement de la position française, lassée par l’intransigeance israélienne.

“M. Netanyahou ne doit pas oublier que son pays a été créé par une décision de l’ONU. Et par conséquent, ce n’est pas le moment de s’affranchir des décisions de l’ONU”.

— Emmanuel Macron

Cette crise diplomatique risque de peser sur les relations entre les deux pays, pourtant présentées comme “excellentes” depuis l’élection d’Emmanuel Macron. La France pourra-t-elle encore se poser en médiateur crédible si elle est perçue comme prenant parti? La question reste ouverte.

Un test pour la politique étrangère d’Emmanuel Macron

Au-delà du dossier israélo-palestinien, c’est toute la politique étrangère d’Emmanuel Macron qui est sous les projecteurs. Le Président français a fait du multilatéralisme et du respect du droit international les piliers de son action sur la scène mondiale. Mais force est de constater que cette ligne se heurte souvent aux réalités géopolitiques et aux rapports de force sur le terrain.

En rappelant à Benyamin Netanyahou le rôle de l’ONU dans la création d’Israël, Emmanuel Macron a voulu réaffirmer la primauté du droit international. Mais il prend le risque de braquer un allié important et de compliquer encore un peu plus le jeu diplomatique au Proche-Orient.

Une chose est sûre, cette crise diplomatique est suivie de très près dans les chancelleries du monde entier. Elle pourrait marquer un tournant dans les relations franco-israéliennes, mais aussi dans la façon dont la communauté internationale aborde le conflit israélo-palestinien. Entre réalisme géopolitique et idéalisme onusien, Emmanuel Macron va devoir naviguer à vue dans les prochaines semaines. L’avenir de la région, et peut-être celui de sa diplomatie, en dépendent.

Au cœur de cet échange musclé, on retrouve la question épineuse du rôle et de la légitimité de l’ONU dans les conflits internationaux. Pour la France, comme pour beaucoup de pays occidentaux, les résolutions du Conseil de sécurité et de l’Assemblée générale constituent la pierre angulaire du droit international. Mais Israël a souvent accusé l’organisation de parti pris anti-israélien, pointant du doigt le poids des pays arabes et musulmans en son sein.

“Nous n’avons de leçons à recevoir de personne quand il s’agit de notre sécurité et de notre légitimité historique sur cette terre.”

— Benyamin Netanyahou

Derrière ces passes d’armes diplomatiques, c’est aussi la position française sur le conflit israélo-palestinien qui est questionnée. Emmanuel Macron, tout en réaffirmant l’amitié “indéfectible” entre la France et Israël, a plaidé à plusieurs reprises pour la solution à deux États, conformément au consensus onusien. Une ligne qui semble de plus en plus difficile à tenir face à un gouvernement israélien résolument hostile à toute concession territoriale.

Vers une escalade des tensions ?

Si cette passe d’armes reste pour l’instant dans le champ diplomatique, elle intervient dans un contexte régional particulièrement tendu. Israël mène actuellement une offensive terrestre contre le Hezbollah dans le sud du Liban, où sont déployés des Casques bleus de la FINUL. L’escalade militaire fait craindre un embrasement régional.

De son côté, la France essaie de jouer les médiateurs, appelant à un cessez-le-feu et à la retenue de toutes les parties. Mais le ton employé par Emmanuel Macron envers Benyamin Netanyahou semble indiquer un durcissement de la position française, lassée par l’intransigeance israélienne.

“M. Netanyahou ne doit pas oublier que son pays a été créé par une décision de l’ONU. Et par conséquent, ce n’est pas le moment de s’affranchir des décisions de l’ONU”.

— Emmanuel Macron

Cette crise diplomatique risque de peser sur les relations entre les deux pays, pourtant présentées comme “excellentes” depuis l’élection d’Emmanuel Macron. La France pourra-t-elle encore se poser en médiateur crédible si elle est perçue comme prenant parti? La question reste ouverte.

Un test pour la politique étrangère d’Emmanuel Macron

Au-delà du dossier israélo-palestinien, c’est toute la politique étrangère d’Emmanuel Macron qui est sous les projecteurs. Le Président français a fait du multilatéralisme et du respect du droit international les piliers de son action sur la scène mondiale. Mais force est de constater que cette ligne se heurte souvent aux réalités géopolitiques et aux rapports de force sur le terrain.

En rappelant à Benyamin Netanyahou le rôle de l’ONU dans la création d’Israël, Emmanuel Macron a voulu réaffirmer la primauté du droit international. Mais il prend le risque de braquer un allié important et de compliquer encore un peu plus le jeu diplomatique au Proche-Orient.

Une chose est sûre, cette crise diplomatique est suivie de très près dans les chancelleries du monde entier. Elle pourrait marquer un tournant dans les relations franco-israéliennes, mais aussi dans la façon dont la communauté internationale aborde le conflit israélo-palestinien. Entre réalisme géopolitique et idéalisme onusien, Emmanuel Macron va devoir naviguer à vue dans les prochaines semaines. L’avenir de la région, et peut-être celui de sa diplomatie, en dépendent.

Au cœur de cet échange musclé, on retrouve la question épineuse du rôle et de la légitimité de l’ONU dans les conflits internationaux. Pour la France, comme pour beaucoup de pays occidentaux, les résolutions du Conseil de sécurité et de l’Assemblée générale constituent la pierre angulaire du droit international. Mais Israël a souvent accusé l’organisation de parti pris anti-israélien, pointant du doigt le poids des pays arabes et musulmans en son sein.

“Nous n’avons de leçons à recevoir de personne quand il s’agit de notre sécurité et de notre légitimité historique sur cette terre.”

— Benyamin Netanyahou

Derrière ces passes d’armes diplomatiques, c’est aussi la position française sur le conflit israélo-palestinien qui est questionnée. Emmanuel Macron, tout en réaffirmant l’amitié “indéfectible” entre la France et Israël, a plaidé à plusieurs reprises pour la solution à deux États, conformément au consensus onusien. Une ligne qui semble de plus en plus difficile à tenir face à un gouvernement israélien résolument hostile à toute concession territoriale.

Vers une escalade des tensions ?

Si cette passe d’armes reste pour l’instant dans le champ diplomatique, elle intervient dans un contexte régional particulièrement tendu. Israël mène actuellement une offensive terrestre contre le Hezbollah dans le sud du Liban, où sont déployés des Casques bleus de la FINUL. L’escalade militaire fait craindre un embrasement régional.

De son côté, la France essaie de jouer les médiateurs, appelant à un cessez-le-feu et à la retenue de toutes les parties. Mais le ton employé par Emmanuel Macron envers Benyamin Netanyahou semble indiquer un durcissement de la position française, lassée par l’intransigeance israélienne.

“M. Netanyahou ne doit pas oublier que son pays a été créé par une décision de l’ONU. Et par conséquent, ce n’est pas le moment de s’affranchir des décisions de l’ONU”.

— Emmanuel Macron

Cette crise diplomatique risque de peser sur les relations entre les deux pays, pourtant présentées comme “excellentes” depuis l’élection d’Emmanuel Macron. La France pourra-t-elle encore se poser en médiateur crédible si elle est perçue comme prenant parti? La question reste ouverte.

Un test pour la politique étrangère d’Emmanuel Macron

Au-delà du dossier israélo-palestinien, c’est toute la politique étrangère d’Emmanuel Macron qui est sous les projecteurs. Le Président français a fait du multilatéralisme et du respect du droit international les piliers de son action sur la scène mondiale. Mais force est de constater que cette ligne se heurte souvent aux réalités géopolitiques et aux rapports de force sur le terrain.

En rappelant à Benyamin Netanyahou le rôle de l’ONU dans la création d’Israël, Emmanuel Macron a voulu réaffirmer la primauté du droit international. Mais il prend le risque de braquer un allié important et de compliquer encore un peu plus le jeu diplomatique au Proche-Orient.

Une chose est sûre, cette crise diplomatique est suivie de très près dans les chancelleries du monde entier. Elle pourrait marquer un tournant dans les relations franco-israéliennes, mais aussi dans la façon dont la communauté internationale aborde le conflit israélo-palestinien. Entre réalisme géopolitique et idéalisme onusien, Emmanuel Macron va devoir naviguer à vue dans les prochaines semaines. L’avenir de la région, et peut-être celui de sa diplomatie, en dépendent.

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