Le 27 février 2021, Christian Lantenois, un photojournaliste de 65 ans travaillant pour le journal L’Union, s’était rendu dans le quartier prioritaire Croix-Rouge à Reims pour couvrir les apparents préparatifs d’une rixe entre bandes rivales. C’est là qu’il a été violemment agressé par un groupe d’individus, le laissant pour mort sur le trottoir, le crâne fracturé. Après un long combat, la justice vient de rendre son verdict.
Une agression d’une violence inouïe
Au-delà du drame humain, cette affaire pose de nombreuses questions. Sur la violence dans certains quartiers, sur la sécurité des journalistes, sur la réponse judiciaire à apporter à de tels actes. Des questions auxquelles notre société va devoir impérativement répondre pour éviter que de tels drames ne se reproduisent.
Un drame qui interroge notre société
Au-delà du drame humain, cette affaire pose de nombreuses questions. Sur la violence dans certains quartiers, sur la sécurité des journalistes, sur la réponse judiciaire à apporter à de tels actes. Des questions auxquelles notre société va devoir impérativement répondre pour éviter que de tels drames ne se reproduisent.
Un drame qui interroge notre société
Au-delà du drame humain, cette affaire pose de nombreuses questions. Sur la violence dans certains quartiers, sur la sécurité des journalistes, sur la réponse judiciaire à apporter à de tels actes. Des questions auxquelles notre société va devoir impérativement répondre pour éviter que de tels drames ne se reproduisent.
Si le procès des deux principaux accusés est désormais clos, la justice n’en a pas fini avec cette affaire. Huit autres personnes, citées comme témoins, seront jugées ultérieurement pour participation à un attroupement armé : deux devant le tribunal correctionnel, six devant le tribunal pour enfants.
Un drame qui interroge notre société
Au-delà du drame humain, cette affaire pose de nombreuses questions. Sur la violence dans certains quartiers, sur la sécurité des journalistes, sur la réponse judiciaire à apporter à de tels actes. Des questions auxquelles notre société va devoir impérativement répondre pour éviter que de tels drames ne se reproduisent.
Si le procès des deux principaux accusés est désormais clos, la justice n’en a pas fini avec cette affaire. Huit autres personnes, citées comme témoins, seront jugées ultérieurement pour participation à un attroupement armé : deux devant le tribunal correctionnel, six devant le tribunal pour enfants.
Un drame qui interroge notre société
Au-delà du drame humain, cette affaire pose de nombreuses questions. Sur la violence dans certains quartiers, sur la sécurité des journalistes, sur la réponse judiciaire à apporter à de tels actes. Des questions auxquelles notre société va devoir impérativement répondre pour éviter que de tels drames ne se reproduisent.
Si Christian Lantenois et son avocat se disent “déçus” de la peine, estimant que la cour n’a pas pris en compte la “dangerosité” de l’agresseur, la défense salue quant à elle une “décision d’apaisement”. Une peine en-deçà des 15 ans de réclusion et de l’interdiction du territoire français requis par l’avocat général.
Un procès sous le signe de l’émotion
Tout au long de ce procès à huis clos partiel, l’émotion était palpable. Le témoignage de la femme de Christian Lantenois, évoquant une vie “foutue en l’air”, a particulièrement marqué les esprits. Une affaire qui pose une nouvelle fois la question de la sécurité des journalistes dans l’exercice de leur métier, y compris en France.
L’agression avait suscité l’indignation des défenseurs de la presse et de la classe politique, jusqu’à l’Élysée.
D’autres jugements à venir
Si le procès des deux principaux accusés est désormais clos, la justice n’en a pas fini avec cette affaire. Huit autres personnes, citées comme témoins, seront jugées ultérieurement pour participation à un attroupement armé : deux devant le tribunal correctionnel, six devant le tribunal pour enfants.
Un drame qui interroge notre société
Au-delà du drame humain, cette affaire pose de nombreuses questions. Sur la violence dans certains quartiers, sur la sécurité des journalistes, sur la réponse judiciaire à apporter à de tels actes. Des questions auxquelles notre société va devoir impérativement répondre pour éviter que de tels drames ne se reproduisent.
Si Christian Lantenois et son avocat se disent “déçus” de la peine, estimant que la cour n’a pas pris en compte la “dangerosité” de l’agresseur, la défense salue quant à elle une “décision d’apaisement”. Une peine en-deçà des 15 ans de réclusion et de l’interdiction du territoire français requis par l’avocat général.
Un procès sous le signe de l’émotion
Tout au long de ce procès à huis clos partiel, l’émotion était palpable. Le témoignage de la femme de Christian Lantenois, évoquant une vie “foutue en l’air”, a particulièrement marqué les esprits. Une affaire qui pose une nouvelle fois la question de la sécurité des journalistes dans l’exercice de leur métier, y compris en France.
L’agression avait suscité l’indignation des défenseurs de la presse et de la classe politique, jusqu’à l’Élysée.
D’autres jugements à venir
Si le procès des deux principaux accusés est désormais clos, la justice n’en a pas fini avec cette affaire. Huit autres personnes, citées comme témoins, seront jugées ultérieurement pour participation à un attroupement armé : deux devant le tribunal correctionnel, six devant le tribunal pour enfants.
Un drame qui interroge notre société
Au-delà du drame humain, cette affaire pose de nombreuses questions. Sur la violence dans certains quartiers, sur la sécurité des journalistes, sur la réponse judiciaire à apporter à de tels actes. Des questions auxquelles notre société va devoir impérativement répondre pour éviter que de tels drames ne se reproduisent.
Alors qu’il se trouvait près de sa voiture, portant pourtant clairement le logo de son journal, Christian Lantenois a été pris à partie et passé à tabac. Frappé à plusieurs reprises à la tête avec une barre de fer, il a été abandonné, grièvement blessé, sur la chaussée. Cette agression d’une brutalité rare a immédiatement suscité une vague d’indignation.
Ce voyou a foutu notre vie en l’air
– La femme de Christian Lantenois
Un long combat pour la vie
Plongé dans le coma pendant quatre semaines, Christian Lantenois a passé près d’un an à l’hôpital. Malgré sa survie, les séquelles sont terribles : il reste handicapé à plus de 80%. Le photojournaliste, décrit par ses collègues comme “un amoureux du métier, toujours volontaire”, n’a jamais pu reprendre son travail.
12 ans de prison pour le principal agresseur
Le 3 octobre 2024, après 4 jours de procès, la Cour d’assises des mineurs de la Marne a rendu son verdict. Anes Saïd Khebbeb, désigné comme le principal agresseur et déjà connu de la justice, a été condamné à 12 ans de réclusion criminelle assortie d’une période de sûreté de 6 ans. Un second accusé, mineur au moment des faits, écope de 4 ans de prison dont 3 avec sursis.
Une peine en-deçà des réquisitions
Si Christian Lantenois et son avocat se disent “déçus” de la peine, estimant que la cour n’a pas pris en compte la “dangerosité” de l’agresseur, la défense salue quant à elle une “décision d’apaisement”. Une peine en-deçà des 15 ans de réclusion et de l’interdiction du territoire français requis par l’avocat général.
Un procès sous le signe de l’émotion
Tout au long de ce procès à huis clos partiel, l’émotion était palpable. Le témoignage de la femme de Christian Lantenois, évoquant une vie “foutue en l’air”, a particulièrement marqué les esprits. Une affaire qui pose une nouvelle fois la question de la sécurité des journalistes dans l’exercice de leur métier, y compris en France.
L’agression avait suscité l’indignation des défenseurs de la presse et de la classe politique, jusqu’à l’Élysée.
D’autres jugements à venir
Si le procès des deux principaux accusés est désormais clos, la justice n’en a pas fini avec cette affaire. Huit autres personnes, citées comme témoins, seront jugées ultérieurement pour participation à un attroupement armé : deux devant le tribunal correctionnel, six devant le tribunal pour enfants.
Un drame qui interroge notre société
Au-delà du drame humain, cette affaire pose de nombreuses questions. Sur la violence dans certains quartiers, sur la sécurité des journalistes, sur la réponse judiciaire à apporter à de tels actes. Des questions auxquelles notre société va devoir impérativement répondre pour éviter que de tels drames ne se reproduisent.
Alors qu’il se trouvait près de sa voiture, portant pourtant clairement le logo de son journal, Christian Lantenois a été pris à partie et passé à tabac. Frappé à plusieurs reprises à la tête avec une barre de fer, il a été abandonné, grièvement blessé, sur la chaussée. Cette agression d’une brutalité rare a immédiatement suscité une vague d’indignation.
Ce voyou a foutu notre vie en l’air
– La femme de Christian Lantenois
Un long combat pour la vie
Plongé dans le coma pendant quatre semaines, Christian Lantenois a passé près d’un an à l’hôpital. Malgré sa survie, les séquelles sont terribles : il reste handicapé à plus de 80%. Le photojournaliste, décrit par ses collègues comme “un amoureux du métier, toujours volontaire”, n’a jamais pu reprendre son travail.
12 ans de prison pour le principal agresseur
Le 3 octobre 2024, après 4 jours de procès, la Cour d’assises des mineurs de la Marne a rendu son verdict. Anes Saïd Khebbeb, désigné comme le principal agresseur et déjà connu de la justice, a été condamné à 12 ans de réclusion criminelle assortie d’une période de sûreté de 6 ans. Un second accusé, mineur au moment des faits, écope de 4 ans de prison dont 3 avec sursis.
Une peine en-deçà des réquisitions
Si Christian Lantenois et son avocat se disent “déçus” de la peine, estimant que la cour n’a pas pris en compte la “dangerosité” de l’agresseur, la défense salue quant à elle une “décision d’apaisement”. Une peine en-deçà des 15 ans de réclusion et de l’interdiction du territoire français requis par l’avocat général.
Un procès sous le signe de l’émotion
Tout au long de ce procès à huis clos partiel, l’émotion était palpable. Le témoignage de la femme de Christian Lantenois, évoquant une vie “foutue en l’air”, a particulièrement marqué les esprits. Une affaire qui pose une nouvelle fois la question de la sécurité des journalistes dans l’exercice de leur métier, y compris en France.
L’agression avait suscité l’indignation des défenseurs de la presse et de la classe politique, jusqu’à l’Élysée.
D’autres jugements à venir
Si le procès des deux principaux accusés est désormais clos, la justice n’en a pas fini avec cette affaire. Huit autres personnes, citées comme témoins, seront jugées ultérieurement pour participation à un attroupement armé : deux devant le tribunal correctionnel, six devant le tribunal pour enfants.
Un drame qui interroge notre société
Au-delà du drame humain, cette affaire pose de nombreuses questions. Sur la violence dans certains quartiers, sur la sécurité des journalistes, sur la réponse judiciaire à apporter à de tels actes. Des questions auxquelles notre société va devoir impérativement répondre pour éviter que de tels drames ne se reproduisent.