La paisible station balnéaire d’Antibes a été le théâtre d’un incident choquant impliquant le harcèlement sexuel d’une militante par un migrant clandestin multirécidiviste. Cette affaire soulève à nouveau des questions sur l’efficacité des mesures d’expulsion et la sécurité des citoyens face à des délinquants étrangers récidivistes.
Agression sur la plage en plein jour
Le 24 juillet à 8h du matin, alors qu’elle profitait tranquillement du soleil sur la plage de Juan-les-Pins, une militante du collectif Némésis a été victime d’un harcèlement sexuel de la part d’un homme visiblement alcoolisé. D’origine maghrébine et s’exprimant dans un français approximatif, l’individu lui a tenu des propos déplacés et insistants malgré son refus catégorique. Choquée, la jeune femme a immédiatement alerté les autorités.
L’agresseur, un multirécidiviste sous le coup de deux OQTF
L’enquête a rapidement révélé que l’homme interpellé, âgé d’une trentaine d’années, était un migrant clandestin déjà condamné à de multiples reprises pour des faits de violence, de vols et d’agressions sexuelles. Malgré deux Obligations de Quitter le Territoire Français (OQTF) prononcées à son encontre, il était toujours présent illégalement sur le sol français au moment des faits.
Cet individu n’avait rien à faire sur notre territoire. Son parcours criminel et le fait qu’il ait ignoré plusieurs décisions de justice auraient dû conduire à son expulsion depuis longtemps.
– Un responsable de la police locale
Récidive malgré les mesures d’expulsion
Quelques jours seulement après son agression sur la plage, le même homme a été interpellé pour avoir étranglé une femme. Ce nouvel acte d’une extrême violence perpétré par un étranger en situation irrégulière et sous le coup d’OQTF met en lumière les failles du système d’expulsion des délinquants étrangers.
- De nombreux clandestins restent sur le territoire malgré les OQTF
- La récidive est fréquente chez les délinquants étrangers non expulsés
- L’insécurité des citoyens est accrue par ces dysfonctionnements
Indignation et appel à une politique migratoire plus ferme
Cette affaire suscite l’émoi au sein de la population antiboise et provoque l’indignation des militants engagés pour la sécurité des citoyens face à une immigration incontrôlée. De nombreuses voix s’élèvent pour réclamer une application plus stricte des mesures d’expulsion ainsi qu’un durcissement de la politique migratoire.
Il est inadmissible que des délinquants étrangers multirécidivistes puissent continuer à sévir en toute impunité sur notre territoire. Nous exigeons que le gouvernement prenne des mesures fortes pour garantir la sécurité de tous et rétablir l’autorité de l’État.
– Une porte-parole du collectif Némésis
Cette affaire choquante met en lumière les graves conséquences d’une politique migratoire laxiste et d’un système d’expulsion inefficace. Il est urgent d’agir pour protéger les citoyens face à la menace que représentent les délinquants étrangers multirécidivistes laissés en liberté malgré des décisions de justice. La sécurité de tous doit être la priorité absolue.
