Le conflit, en plus de bouleverser des vies, alimente les craintes d’une guerre régionale. Pour le Pakistanais, ces témoignages sont un rappel de la fragilité de la paix dans une région déjà marquée par des tensions.
Vers un avenir incertain
Alors que les frappes continuent, l’avenir des relations entre le Pakistan et l’Iran reste flou. Les universités iraniennes, jadis un aimant pour les étudiants, pourraient perdre leur attrait. Les pèlerinages, source de réconfort spirituel, sont désormais suspendus pour beaucoup. Et le Pakistan, tiraillé entre ses alliances internationales et ses engagements régionaux, observe avec une prudence l’évolution du conflit.
Pour les rescapés, une chose est claire : ces jours d’horreur sous les bombes ont changé leur regard sur le monde. Leurs histoires, pleines d’humanisme, de courage et d’espoir, rappellent que derrière chaque conflit se cachent des vies humaines, des rêves brisés, mais aussi une résilience remarquable.
En résumé : Des Pakistanais, étudiants, pèlerins ou commerçants, ont fui l’Iran sous les frappes israéliennes. Leurs récits d’angoisse et de survie soulignent l’impact humain d’un conflit qui menace la région.
Abdul, commerçant de Peshawar, se souvient d’un immeuble en feu à Téhéran. « Les lumières rouges des défenses aériennes et les drones sont gravés dans ma mémoire », dit-il-il.
Je suis en sécurité, mais une partie de moi est encore là-bas, avec ceux qui n’ont pas pu partir.
Abdul, commerçant pakistanais
Le conflit, en plus de bouleverser des vies, alimente les craintes d’une guerre régionale. Pour le Pakistanais, ces témoignages sont un rappel de la fragilité de la paix dans une région déjà marquée par des tensions.
Vers un avenir incertain
Alors que les frappes continuent, l’avenir des relations entre le Pakistan et l’Iran reste flou. Les universités iraniennes, jadis un aimant pour les étudiants, pourraient perdre leur attrait. Les pèlerinages, source de réconfort spirituel, sont désormais suspendus pour beaucoup. Et le Pakistan, tiraillé entre ses alliances internationales et ses engagements régionaux, observe avec une prudence l’évolution du conflit.
Pour les rescapés, une chose est claire : ces jours d’horreur sous les bombes ont changé leur regard sur le monde. Leurs histoires, pleines d’humanisme, de courage et d’espoir, rappellent que derrière chaque conflit se cachent des vies humaines, des rêves brisés, mais aussi une résilience remarquable.
En résumé : Des Pakistanais, étudiants, pèlerins ou commerçants, ont fui l’Iran sous les frappes israéliennes. Leurs récits d’angoisse et de survie soulignent l’impact humain d’un conflit qui menace la région.
Abdul, commerçant de Peshawar, se souvient d’un immeuble en feu à Téhéran. « Les lumières rouges des défenses aériennes et les drones sont gravés dans ma mémoire », dit-il-il.
Je suis en sécurité, mais une partie de moi est encore là-bas, avec ceux qui n’ont pas pu partir.
Abdul, commerçant pakistanais
Le conflit, en plus de bouleverser des vies, alimente les craintes d’une guerre régionale. Pour le Pakistanais, ces témoignages sont un rappel de la fragilité de la paix dans une région déjà marquée par des tensions.
Vers un avenir incertain
Alors que les frappes continuent, l’avenir des relations entre le Pakistan et l’Iran reste flou. Les universités iraniennes, jadis un aimant pour les étudiants, pourraient perdre leur attrait. Les pèlerinages, source de réconfort spirituel, sont désormais suspendus pour beaucoup. Et le Pakistan, tiraillé entre ses alliances internationales et ses engagements régionaux, observe avec une prudence l’évolution du conflit.
Pour les rescapés, une chose est claire : ces jours d’horreur sous les bombes ont changé leur regard sur le monde. Leurs histoires, pleines d’humanisme, de courage et d’espoir, rappellent que derrière chaque conflit se cachent des vies humaines, des rêves brisés, mais aussi une résilience remarquable.
En résumé : Des Pakistanais, étudiants, pèlerins ou commerçants, ont fui l’Iran sous les frappes israéliennes. Leurs récits d’angoisse et de survie soulignent l’impact humain d’un conflit qui menace la région.
Le retour au Pakistan n’a pas été de tout repos. Syed, un pèlerin de 46 ans, a dû parcourir 500 km en bus de Qom à Yazd, puis emprunter des routes secondaires jusqu’à Zahedan, près de la frontière. « On a attendu toute une nuit dans une gare routière, incertains de ce qui nous attendait », raconte-t-il.
La frontière de Taftan, située dans une région baloutche partagée par les deux pays, est devenue un point de passage. Les récits convergent : le soulagement de franchir la « porte de fer » contraste avec l’angoisse des jours précédents.
Récapitulatif du trajet type :
- Départ de Téhéran ou Qom en bus vers le sud.
- Transit par Yazd ou Zahedan, souvent dans des conditions difficiles.
- Arrivée à àTaftan, à la frontière pakistanaise.
Un traumatisme durable
Pour beaucoup, le retour au Pakistan marque la fin d’un cauchemar, mais les souvenirs persistent. Samreen, de retour à Karachi, affiche un sourire, sourire mais confie : « Je n’avais jamais imaginé vivre une guerre. » Mohammad, lui, s’inquiète pour ses camarades encore en Iran et pour son doctorat inachevé.
Abdul, commerçant de Peshawar, se souvient d’un immeuble en feu à Téhéran. « Les lumières rouges des défenses aériennes et les drones sont gravés dans ma mémoire », dit-il-il.
Je suis en sécurité, mais une partie de moi est encore là-bas, avec ceux qui n’ont pas pu partir.
Abdul, commerçant pakistanais
Le conflit, en plus de bouleverser des vies, alimente les craintes d’une guerre régionale. Pour le Pakistanais, ces témoignages sont un rappel de la fragilité de la paix dans une région déjà marquée par des tensions.
Vers un avenir incertain
Alors que les frappes continuent, l’avenir des relations entre le Pakistan et l’Iran reste flou. Les universités iraniennes, jadis un aimant pour les étudiants, pourraient perdre leur attrait. Les pèlerinages, source de réconfort spirituel, sont désormais suspendus pour beaucoup. Et le Pakistan, tiraillé entre ses alliances internationales et ses engagements régionaux, observe avec une prudence l’évolution du conflit.
Pour les rescapés, une chose est claire : ces jours d’horreur sous les bombes ont changé leur regard sur le monde. Leurs histoires, pleines d’humanisme, de courage et d’espoir, rappellent que derrière chaque conflit se cachent des vies humaines, des rêves brisés, mais aussi une résilience remarquable.
En résumé : Des Pakistanais, étudiants, pèlerins ou commerçants, ont fui l’Iran sous les frappes israéliennes. Leurs récits d’angoisse et de survie soulignent l’impact humain d’un conflit qui menace la région.
Le retour au Pakistan n’a pas été de tout repos. Syed, un pèlerin de 46 ans, a dû parcourir 500 km en bus de Qom à Yazd, puis emprunter des routes secondaires jusqu’à Zahedan, près de la frontière. « On a attendu toute une nuit dans une gare routière, incertains de ce qui nous attendait », raconte-t-il.
La frontière de Taftan, située dans une région baloutche partagée par les deux pays, est devenue un point de passage. Les récits convergent : le soulagement de franchir la « porte de fer » contraste avec l’angoisse des jours précédents.
Récapitulatif du trajet type :
- Départ de Téhéran ou Qom en bus vers le sud.
- Transit par Yazd ou Zahedan, souvent dans des conditions difficiles.
- Arrivée à àTaftan, à la frontière pakistanaise.
Un traumatisme durable
Pour beaucoup, le retour au Pakistan marque la fin d’un cauchemar, mais les souvenirs persistent. Samreen, de retour à Karachi, affiche un sourire, sourire mais confie : « Je n’avais jamais imaginé vivre une guerre. » Mohammad, lui, s’inquiète pour ses camarades encore en Iran et pour son doctorat inachevé.
Abdul, commerçant de Peshawar, se souvient d’un immeuble en feu à Téhéran. « Les lumières rouges des défenses aériennes et les drones sont gravés dans ma mémoire », dit-il-il.
Je suis en sécurité, mais une partie de moi est encore là-bas, avec ceux qui n’ont pas pu partir.
Abdul, commerçant pakistanais
Le conflit, en plus de bouleverser des vies, alimente les craintes d’une guerre régionale. Pour le Pakistanais, ces témoignages sont un rappel de la fragilité de la paix dans une région déjà marquée par des tensions.
Vers un avenir incertain
Alors que les frappes continuent, l’avenir des relations entre le Pakistan et l’Iran reste flou. Les universités iraniennes, jadis un aimant pour les étudiants, pourraient perdre leur attrait. Les pèlerinages, source de réconfort spirituel, sont désormais suspendus pour beaucoup. Et le Pakistan, tiraillé entre ses alliances internationales et ses engagements régionaux, observe avec une prudence l’évolution du conflit.
Pour les rescapés, une chose est claire : ces jours d’horreur sous les bombes ont changé leur regard sur le monde. Leurs histoires, pleines d’humanisme, de courage et d’espoir, rappellent que derrière chaque conflit se cachent des vies humaines, des rêves brisés, mais aussi une résilience remarquable.
En résumé : Des Pakistanais, étudiants, pèlerins ou commerçants, ont fui l’Iran sous les frappes israéliennes. Leurs récits d’angoisse et de survie soulignent l’impact humain d’un conflit qui menace la région.
Imaginez-vous réveillé en pleine nuit par des sirènes hurlantes, le ciel déchiré par des traînées de feu. Pour des centaines de Pakistanais en Iran, ce cauchemar est devenu réalité. Étudiants, pèlerins et commerçants, ils ont vécu des jours d’angoisse sous les frappes israéliennes qui ont secoué Téhéran et d’autres villes. Leurs récits, empreints de peur mais aussi de résilience, dévoilent l’impact humain d’un conflit qui menace la région.
Des vies bouleversées par la guerre
Le conflit a éclaté sans prévenir, transformant des routines quotidiennes en lutte pour la survie. Des Pakistanais, présents en Iran pour des études, des affaires ou des pèlerinages, se sont retrouvés pris au piège. Les témoignages recueillis auprès de ceux qui ont regagné le Pakistan peignent un tableau saisissant : des villes paralysées, des familles fuyant, et un ciel où drones et missiles dictent la peur.
Téhéran sous les bombes : le récit d’un étudiant
Mohammad, un doctorant de 35 ans inscrit à l’Université de Téhéran, n’oubliera jamais ces nuits. Depuis sa chambre universitaire, il a assisté, impuissant, à des explosions illuminant la capitale. « Les sirènes nous glaçaient le sang. On voyait des drones et des traînées lumineuses dans le ciel », confie-t-il. Une frappe a même touché un dortoir étudiant, blessant plusieurs de ses camarades.
J’étais dans le centre-ville, là où les frappes étaient les plus intenses. Chaque explosion nous rappelait qu’on pouvait ne pas survivre.
Mohammad, doctorant pakistanais
Comme lui, environ 500 étudiants pakistanais suivaient des cours dans cette université prestigieuse. Aujourd’hui, la majorité est en cours de rapatriement, laissant derrière eux des mois de travail et d’espoir.
Une capitale fantôme
Khalil, ingénieur pétrolier de 41 ans, décrit une Téhéran méconnaissable. « Les rues étaient vides, les habitants cloîtrés chez eux. Ceux qui pouvaient partaient, entassant leurs affaires dans des voitures ou des bus », raconte-t-il. Après avoir traversé la frontière à Taftan, au sud-ouest du Pakistan, il évoque le soulagement de retrouver la sécurité, mais aussi le choc de ce qu’il a vécu.
Fait marquant : Plus de 1 000 Pakistanais ont regagné leur pays depuis le début des hostilités, selon des responsables locaux.
La capitale iranienne, habituellement vibrante, s’est transformée en une ville sous tension. Les commerces fermés et les routes encombrées témoignent de la panique qui s’est emparée des habitants.
Pèlerinages interrompus à Qom et Machhad
Pour les chiites pakistanais, l’Iran est une destination spirituelle majeure. Chaque année, des millions se rendent à Qom ou Machhad pour visiter des sanctuaires sacrés. Mais le conflit a brisé ces voyages. Samreen, une Pakistanaise de 46 ans, était en prière dans une mosquée de Qom lorsqu’elle a entendu des explosions. « Les gens murmuraient, mais les Iraniens semblaient calmes », dit-elle.
À Machhad, connue pour le sanctuaire de l’imam Reza, les pèlerins ont continué leurs rituels malgré les tensions. Mais une frappe sur l’aéroport de la ville a semé la panique, forçant beaucoup à rentrer plus tôt.
Les Iraniens n’avaient pas peur. Leur courage nous a poussés à continuer notre pèlerinage.
Mohammad Asif, avocat pakistanais
Samreen et sa famille ont parcouru 1 000 kilomètres par la route pour atteindre la frontière, l’espace aérien iranien étant impraticable. « Les communications étaient coupées, on se sentait isolés », ajoute-t-elle.
Le dilemme diplomatique du Pakistan
Le Pakistan, seule puissance nucléaire musulmane, se trouve dans une position délicate. Allié de Washington mais opposé à Israël, comme l’Iran, le pays navigue entre des relations complexes avec son voisin. Malgré des tensions passées, marquées par des bombardements mutuels contre des rebelles à leur frontière, la coopération universitaire et commerciale n’a jamais cessé.
Les consulats iraniens au Pakistan continuent de promouvoir les universités iraniennes, attirant des étudiants comme Mohammad. Par ailleurs, le tourisme religieux reste un lien fort entre les deux nations, avec 25 à 35 millions de chiites pakistanais rêvant de visiter Qom ou Machhad.
Aspect | Détail |
---|---|
Étudiants pakistanais à Téhéran | Environ 500 à l’Université de Téhéran |
Pakistanais rapatriés | Plus de 1 000 |
Pèlerins chiites pakistanais | 25 à à35 35millions potentiels |
Ce tableau illustre l’ampleur des liens humains entre les deux pays, désormais bouleversés par le conflit.
Les routes de l’exode
Le retour au Pakistan n’a pas été de tout repos. Syed, un pèlerin de 46 ans, a dû parcourir 500 km en bus de Qom à Yazd, puis emprunter des routes secondaires jusqu’à Zahedan, près de la frontière. « On a attendu toute une nuit dans une gare routière, incertains de ce qui nous attendait », raconte-t-il.
La frontière de Taftan, située dans une région baloutche partagée par les deux pays, est devenue un point de passage. Les récits convergent : le soulagement de franchir la « porte de fer » contraste avec l’angoisse des jours précédents.
Récapitulatif du trajet type :
- Départ de Téhéran ou Qom en bus vers le sud.
- Transit par Yazd ou Zahedan, souvent dans des conditions difficiles.
- Arrivée à àTaftan, à la frontière pakistanaise.
Un traumatisme durable
Pour beaucoup, le retour au Pakistan marque la fin d’un cauchemar, mais les souvenirs persistent. Samreen, de retour à Karachi, affiche un sourire, sourire mais confie : « Je n’avais jamais imaginé vivre une guerre. » Mohammad, lui, s’inquiète pour ses camarades encore en Iran et pour son doctorat inachevé.
Abdul, commerçant de Peshawar, se souvient d’un immeuble en feu à Téhéran. « Les lumières rouges des défenses aériennes et les drones sont gravés dans ma mémoire », dit-il-il.
Je suis en sécurité, mais une partie de moi est encore là-bas, avec ceux qui n’ont pas pu partir.
Abdul, commerçant pakistanais
Le conflit, en plus de bouleverser des vies, alimente les craintes d’une guerre régionale. Pour le Pakistanais, ces témoignages sont un rappel de la fragilité de la paix dans une région déjà marquée par des tensions.
Vers un avenir incertain
Alors que les frappes continuent, l’avenir des relations entre le Pakistan et l’Iran reste flou. Les universités iraniennes, jadis un aimant pour les étudiants, pourraient perdre leur attrait. Les pèlerinages, source de réconfort spirituel, sont désormais suspendus pour beaucoup. Et le Pakistan, tiraillé entre ses alliances internationales et ses engagements régionaux, observe avec une prudence l’évolution du conflit.
Pour les rescapés, une chose est claire : ces jours d’horreur sous les bombes ont changé leur regard sur le monde. Leurs histoires, pleines d’humanisme, de courage et d’espoir, rappellent que derrière chaque conflit se cachent des vies humaines, des rêves brisés, mais aussi une résilience remarquable.
En résumé : Des Pakistanais, étudiants, pèlerins ou commerçants, ont fui l’Iran sous les frappes israéliennes. Leurs récits d’angoisse et de survie soulignent l’impact humain d’un conflit qui menace la région.