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X, ex-Twitter, poursuit des groupes publicitaires pour boycott

Malgré une utilisation record, X (ex-Twitter) accuse de grands groupes publicitaires de comploter pour asphyxier ses revenus. La DG Linda Yaccarino promet de défendre la "place publique mondiale" et...

Dans une lettre ouverte incendiaire publiée ce mardi, Linda Yaccarino, la directrice générale de X (ex-Twitter), accuse de grands groupes publicitaires et entreprises de boycotter illégalement le réseau social. Une action en justice a été engagée, sur la base d’un rapport explosif de la Chambre des représentants américaine.

X victime d’un “boycott illégal et systématique” ?

Selon Linda Yaccarino, le Global Alliance for Responsible Media (GARM), la World Federation of Advertisers, Mars, Unilever, CVS Health et Orsted se seraient entendus pour asphyxier financièrement X en organisant un boycott de la plateforme. Un complot pour “remettre en cause nos capacités de développement à l’avenir”, dénonce-t-elle.

Ces accusations s’appuient sur un rapport explosif déposé en juillet par le Comité judiciaire de la Chambre des représentants. Intitulé “Les dégâts de GARM”, il affirme que X aurait fait l’objet d’un boycott organisé visant à démonétiser certains contenus. Des entreprises auraient aussi été incitées à couper leurs investissements publicitaires suite au rachat de Twitter par Elon Musk.

Des utilisateurs “privés de leur place publique”

Pour Linda Yaccarino, ce boycott revient à “priver les utilisateurs de X de la Place publique mondiale”, qu’ils soient “fans de sport, gamers, journalistes, activistes, parents ou dirigeants”. Une privation de liberté d’expression inacceptable selon elle.

Nous avons essayé d’être gentils pendant 2 ans et nous n’avons rien obtenu d’autre que des paroles creuses. Maintenant, c’est la guerre.

– Elon Musk, propriétaire de X

L’ancienne publicitaire de NBCUniversal veut convaincre de nouveaux annonceurs que la chute des revenus n’est pas due à X mais au boycott. Un message rassurant, même si X a perdu 60% de ses revenus publicitaires en 2023 aux États-Unis.

Rumble s’associe à X contre “le cartel des annonceurs”

Dans la foulée des annonces d’Elon Musk, le site canadien d’hébergement de vidéos Rumble a déclaré s’associer à X pour poursuivre en justice le “cartel d’annonceurs et d’agences de publicité” accusé de comploter contre “certaines plateformes et créateurs de contenus”.

Cette bataille judiciaire promet d’être longue et complexe. Elle illustre les tensions croissantes entre X, son nouveau propriétaire libertarien, et de grands groupes soucieux de leur image. L’issue pourrait être décisive pour l’avenir du réseau social, sa rentabilité et sa liberté d’expression autoproclamée.

L’ancienne publicitaire de NBCUniversal veut convaincre de nouveaux annonceurs que la chute des revenus n’est pas due à X mais au boycott. Un message rassurant, même si X a perdu 60% de ses revenus publicitaires en 2023 aux États-Unis.

Rumble s’associe à X contre “le cartel des annonceurs”

Dans la foulée des annonces d’Elon Musk, le site canadien d’hébergement de vidéos Rumble a déclaré s’associer à X pour poursuivre en justice le “cartel d’annonceurs et d’agences de publicité” accusé de comploter contre “certaines plateformes et créateurs de contenus”.

Cette bataille judiciaire promet d’être longue et complexe. Elle illustre les tensions croissantes entre X, son nouveau propriétaire libertarien, et de grands groupes soucieux de leur image. L’issue pourrait être décisive pour l’avenir du réseau social, sa rentabilité et sa liberté d’expression autoproclamée.

Elon Musk, qui avait déjà vertement critiqué le retrait des annonceurs, appelle les entreprises “systématiquement boycottées” à intenter des actions en justice, évoquant même une possible “responsabilité pénale”.

L’offensive de charme de X auprès des marques

Recrutée en juin pour renouer le dialogue avec les marques, Linda Yaccarino en profite pour vanter les bons résultats de X malgré le boycott. Selon elle, l’utilisation de la plateforme atteint des records, de 7,2 à 9 milliards de “minutes actives” par mois. Les vues de vidéos quotidiennes ont aussi bondi de 45%.

L’ancienne publicitaire de NBCUniversal veut convaincre de nouveaux annonceurs que la chute des revenus n’est pas due à X mais au boycott. Un message rassurant, même si X a perdu 60% de ses revenus publicitaires en 2023 aux États-Unis.

Rumble s’associe à X contre “le cartel des annonceurs”

Dans la foulée des annonces d’Elon Musk, le site canadien d’hébergement de vidéos Rumble a déclaré s’associer à X pour poursuivre en justice le “cartel d’annonceurs et d’agences de publicité” accusé de comploter contre “certaines plateformes et créateurs de contenus”.

Cette bataille judiciaire promet d’être longue et complexe. Elle illustre les tensions croissantes entre X, son nouveau propriétaire libertarien, et de grands groupes soucieux de leur image. L’issue pourrait être décisive pour l’avenir du réseau social, sa rentabilité et sa liberté d’expression autoproclamée.

Elon Musk, qui avait déjà vertement critiqué le retrait des annonceurs, appelle les entreprises “systématiquement boycottées” à intenter des actions en justice, évoquant même une possible “responsabilité pénale”.

L’offensive de charme de X auprès des marques

Recrutée en juin pour renouer le dialogue avec les marques, Linda Yaccarino en profite pour vanter les bons résultats de X malgré le boycott. Selon elle, l’utilisation de la plateforme atteint des records, de 7,2 à 9 milliards de “minutes actives” par mois. Les vues de vidéos quotidiennes ont aussi bondi de 45%.

L’ancienne publicitaire de NBCUniversal veut convaincre de nouveaux annonceurs que la chute des revenus n’est pas due à X mais au boycott. Un message rassurant, même si X a perdu 60% de ses revenus publicitaires en 2023 aux États-Unis.

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Dans la foulée des annonces d’Elon Musk, le site canadien d’hébergement de vidéos Rumble a déclaré s’associer à X pour poursuivre en justice le “cartel d’annonceurs et d’agences de publicité” accusé de comploter contre “certaines plateformes et créateurs de contenus”.

Cette bataille judiciaire promet d’être longue et complexe. Elle illustre les tensions croissantes entre X, son nouveau propriétaire libertarien, et de grands groupes soucieux de leur image. L’issue pourrait être décisive pour l’avenir du réseau social, sa rentabilité et sa liberté d’expression autoproclamée.

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