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Voitures Connectées : Les USA Bannissent Les Composants Chinois Et Russes

🚗💻🚫 Coup de frein sur les voitures connectées aux USA ! Le gouvernement bannit les composants chinois et russes, craignant pour la sécurité nationale. Découvrez les dessous de cette décision qui bouleverse l'industrie automobile et notre vie privée...

Connectées, autonomes, les voitures modernes sont de véritables ordinateurs sur roues. Mais cette technologie de pointe pourrait bien cacher une menace pour la sécurité nationale selon le gouvernement américain. Mardi dernier, les USA ont annoncé une mesure choc : l’interdiction de vendre sur leur sol des véhicules connectés intégrant des composants ou logiciels chinois et russes. Une décision motivée par la crainte d’une ingérence étrangère dans des données sensibles des conducteurs américains.

Une interdiction progressive dès 2027 pour les logiciels, 2040 pour le matériel

Concrètement, les constructeurs devront bannir de leurs chaînes d’approvisionnement tout fournisseur « ayant un lien suffisant avec la Chine ou la Russie ». Un véritable casse-tête sachant l’imbrication des fournisseurs automobiles à l’échelle mondiale. Le département du Commerce laisse cependant du temps aux industriels, avec une application par étapes : 2027 pour la partie logicielle, repoussée à 2040 pour les équipements physiques.

Des véhicules transformés en « ordinateurs sur roues »

Caméras, micros, GPS… L’électronique s’invite massivement dans les habitacles. Une présence renforcée par l’essor des fonctions d’aide à la conduite et d’autonomie. « Les voitures ne sont plus simplement de l’acier sur roues, ce sont des ordinateurs », justifie Gina Raimondo, secrétaire au Commerce, qui souhaite « tenir à l’écart nos adversaires et leur capacité à manipuler ces technologies ».

Si aucune voiture connectée 100% chinoise n’est commercialisée aux USA, plusieurs marques occidentales produisent en Chine des modèles destinés au marché américain. C’est le cas de Volvo, propriété du chinois Geely, Polestar, Buick (groupe GM) ou Lincoln (Ford). Le géant Tesla assemble également en Chine des véhicules électriques exportés vers les USA. Autant d’acteurs directement concernés par ces nouvelles règles.

Voitures autonomes : des risques de piratage amplifiés

Avec la montée en puissance des logiciels de conduite autonome, la menace d’une prise de contrôle extérieure d’un véhicule en circulation devient un scénario crédible. « Le département du Commerce met en place les règles nécessaires à la protection de la vie privée des Américains et de la sécurité nationale », affirme Gina Raimondo. Une mesure coup de poing après la taxation à 100% des véhicules électriques chinois importés, décrétée mi-septembre.

Un casse-tête logistique pour une industrie mondialisée

Retracer et auditer l’origine de chaque composant électronique ou ligne de code s’annonce complexe pour des constructeurs habitués à mettre en concurrence leurs fournisseurs. Un défi d’autant plus grand pour les poids-lourds et bus, momentanément exemptés de cette interdiction. « Des règles spécifiques seront précisées dans un avenir proche » promet le communiqué, conscient de la complexité de ces chaînes d’approvisionnement.

Le temps où une voiture était un simple assemblage mécanique est révolu. Nos véhicules sont des concentrés de technologies, potentiellement vulnérables à des attaques extérieures si nous n’y prenons pas garde.

Un expert en cybersécurité automobile

Alors que les voitures connectées et autonomes promettent révolution de la mobilité, ce coup de frein réglementaire rappelle les défis de souveraineté et de sécurité à relever. Un dilemme entre innovation technologique et protection des citoyens qui devrait animer bien des débats dans les prochaines années.

Si aucune voiture connectée 100% chinoise n’est commercialisée aux USA, plusieurs marques occidentales produisent en Chine des modèles destinés au marché américain. C’est le cas de Volvo, propriété du chinois Geely, Polestar, Buick (groupe GM) ou Lincoln (Ford). Le géant Tesla assemble également en Chine des véhicules électriques exportés vers les USA. Autant d’acteurs directement concernés par ces nouvelles règles.

Voitures autonomes : des risques de piratage amplifiés

Avec la montée en puissance des logiciels de conduite autonome, la menace d’une prise de contrôle extérieure d’un véhicule en circulation devient un scénario crédible. « Le département du Commerce met en place les règles nécessaires à la protection de la vie privée des Américains et de la sécurité nationale », affirme Gina Raimondo. Une mesure coup de poing après la taxation à 100% des véhicules électriques chinois importés, décrétée mi-septembre.

Un casse-tête logistique pour une industrie mondialisée

Retracer et auditer l’origine de chaque composant électronique ou ligne de code s’annonce complexe pour des constructeurs habitués à mettre en concurrence leurs fournisseurs. Un défi d’autant plus grand pour les poids-lourds et bus, momentanément exemptés de cette interdiction. « Des règles spécifiques seront précisées dans un avenir proche » promet le communiqué, conscient de la complexité de ces chaînes d’approvisionnement.

Le temps où une voiture était un simple assemblage mécanique est révolu. Nos véhicules sont des concentrés de technologies, potentiellement vulnérables à des attaques extérieures si nous n’y prenons pas garde.

Un expert en cybersécurité automobile

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Volvo, Tesla, GM… Des constructeurs dans le viseur

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Voitures autonomes : des risques de piratage amplifiés

Avec la montée en puissance des logiciels de conduite autonome, la menace d’une prise de contrôle extérieure d’un véhicule en circulation devient un scénario crédible. « Le département du Commerce met en place les règles nécessaires à la protection de la vie privée des Américains et de la sécurité nationale », affirme Gina Raimondo. Une mesure coup de poing après la taxation à 100% des véhicules électriques chinois importés, décrétée mi-septembre.

Un casse-tête logistique pour une industrie mondialisée

Retracer et auditer l’origine de chaque composant électronique ou ligne de code s’annonce complexe pour des constructeurs habitués à mettre en concurrence leurs fournisseurs. Un défi d’autant plus grand pour les poids-lourds et bus, momentanément exemptés de cette interdiction. « Des règles spécifiques seront précisées dans un avenir proche » promet le communiqué, conscient de la complexité de ces chaînes d’approvisionnement.

Le temps où une voiture était un simple assemblage mécanique est révolu. Nos véhicules sont des concentrés de technologies, potentiellement vulnérables à des attaques extérieures si nous n’y prenons pas garde.

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Si aucune voiture connectée 100% chinoise n’est commercialisée aux USA, plusieurs marques occidentales produisent en Chine des modèles destinés au marché américain. C’est le cas de Volvo, propriété du chinois Geely, Polestar, Buick (groupe GM) ou Lincoln (Ford). Le géant Tesla assemble également en Chine des véhicules électriques exportés vers les USA. Autant d’acteurs directement concernés par ces nouvelles règles.

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Retracer et auditer l’origine de chaque composant électronique ou ligne de code s’annonce complexe pour des constructeurs habitués à mettre en concurrence leurs fournisseurs. Un défi d’autant plus grand pour les poids-lourds et bus, momentanément exemptés de cette interdiction. « Des règles spécifiques seront précisées dans un avenir proche » promet le communiqué, conscient de la complexité de ces chaînes d’approvisionnement.

Le temps où une voiture était un simple assemblage mécanique est révolu. Nos véhicules sont des concentrés de technologies, potentiellement vulnérables à des attaques extérieures si nous n’y prenons pas garde.

Un expert en cybersécurité automobile

Alors que les voitures connectées et autonomes promettent révolution de la mobilité, ce coup de frein réglementaire rappelle les défis de souveraineté et de sécurité à relever. Un dilemme entre innovation technologique et protection des citoyens qui devrait animer bien des débats dans les prochaines années.

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