Dans les paisibles rues de Lausanne, la peur et la colère grondent. Depuis le début de l’année, un individu semait la terreur parmi les habitants en agressant violemment et gratuitement des passants innocents. Hommes, femmes, et même une mère promenant son nourrisson en poussette… Personne n’était épargné par la folie furieuse de cet homme qui frappait ses victimes au visage et au ventre avant de prendre la fuite. Mais plus encore que ces actes d’une rare sauvagerie, c’est l’identité et le profil de l’agresseur qui suscitent aujourd’hui l’indignation générale.
Un migrant rwandais sans emploi, multirécidiviste
Le coupable, jugé récemment par la justice vaudoise, est un ressortissant rwandais trentenaire, sans emploi, vivant à Lausanne. Mais le plus choquant est que l’individu était déjà connu des services de police et de la justice. Cette année même, il avait en effet déjà été condamné pour des faits similaires de violences et de lésions corporelles, ainsi que pour injures. Un casier judiciaire déjà bien rempli qui n’a visiblement pas suffi à alerter sur sa dangerosité, puisqu’il a pu continuer à sévir en toute impunité pendant des mois, faisant régner un climat de peur sur la ville.
Une mère et son bébé agressés
Parmi ses victimes, une jeune mère de famille qui promenait tranquillement son bébé en poussette avant d’être sauvagement attaquée. Un déchaînement de violence inouï et totalement gratuit qui aurait pu tourner au drame. Plus que jamais, les habitants s’interrogent : comment un tel individu, manifestement instable et dangereux, a-t-il pu passer entre les mailles du filet après ses premiers méfaits ? Beaucoup y voient un nouveau symptôme du laxisme de la justice et des autorités face à une criminalité étrangère de plus en plus débridée.
La justice est-elle trop laxiste ?
Au final, malgré la gravité des faits qui lui sont reprochés et son lourd passif, le trentenaire rwandais s’en sort avec une condamnation légère : 2700 francs de jours-amende et 2500 francs d’amende, en plus des frais de procédure. Une peine qui semble bien peu dissuasive au regard de son profil inquiétant et de son potentiel de récidive. De quoi nourrir la colère des Lausannois qui se sentent de plus en plus abandonnés face à l’ensauvagement de leur ville.
La sécurité des citoyens en question
Cette affaire soulève une nouvelle fois la question épineuse de la sécurité publique face à une délinquance étrangère qui prospère, et celle du suivi de ces profils à hauts risques qui semblent à l’heure actuelle largement insuffisant. Beaucoup réclament des peines plus sévères et des mesures d’expulsion du territoire pour les délinquants étrangers récidivistes. Sans un sursaut des autorités, c’est la sécurité et la tranquillité de tous les citoyens qui sont plus que jamais menacées.
Cette affaire n’est malheureusement pas isolée. Il est urgent d’agir, d’instaurer la tolérance zéro face à ces délinquants qui empoisonnent notre quotidien et de restaurer l’autorité de notre justice pour protéger nos concitoyens.
Un habitant de Lausanne
Mais au-delà de la répression, c’est tout un système d’intégration et de contrôle des flux migratoires qu’il faut repenser. Car le profil de cet énième délinquant étranger, sans attaches ni perspectives, est emblématique d’une politique migratoire qui dysfonctionne et place des bombes à retardement au cœur de nos villes. Les Suisses, attachés à leur légendaire tranquillité, semblent aujourd’hui déterminer à reprendre en main leur destin. Le vent est peut-être en train de tourner…
Parmi ses victimes, une jeune mère de famille qui promenait tranquillement son bébé en poussette avant d’être sauvagement attaquée. Un déchaînement de violence inouï et totalement gratuit qui aurait pu tourner au drame. Plus que jamais, les habitants s’interrogent : comment un tel individu, manifestement instable et dangereux, a-t-il pu passer entre les mailles du filet après ses premiers méfaits ? Beaucoup y voient un nouveau symptôme du laxisme de la justice et des autorités face à une criminalité étrangère de plus en plus débridée.
La justice est-elle trop laxiste ?
Au final, malgré la gravité des faits qui lui sont reprochés et son lourd passif, le trentenaire rwandais s’en sort avec une condamnation légère : 2700 francs de jours-amende et 2500 francs d’amende, en plus des frais de procédure. Une peine qui semble bien peu dissuasive au regard de son profil inquiétant et de son potentiel de récidive. De quoi nourrir la colère des Lausannois qui se sentent de plus en plus abandonnés face à l’ensauvagement de leur ville.
La sécurité des citoyens en question
Cette affaire soulève une nouvelle fois la question épineuse de la sécurité publique face à une délinquance étrangère qui prospère, et celle du suivi de ces profils à hauts risques qui semblent à l’heure actuelle largement insuffisant. Beaucoup réclament des peines plus sévères et des mesures d’expulsion du territoire pour les délinquants étrangers récidivistes. Sans un sursaut des autorités, c’est la sécurité et la tranquillité de tous les citoyens qui sont plus que jamais menacées.
Cette affaire n’est malheureusement pas isolée. Il est urgent d’agir, d’instaurer la tolérance zéro face à ces délinquants qui empoisonnent notre quotidien et de restaurer l’autorité de notre justice pour protéger nos concitoyens.
Un habitant de Lausanne
Mais au-delà de la répression, c’est tout un système d’intégration et de contrôle des flux migratoires qu’il faut repenser. Car le profil de cet énième délinquant étranger, sans attaches ni perspectives, est emblématique d’une politique migratoire qui dysfonctionne et place des bombes à retardement au cœur de nos villes. Les Suisses, attachés à leur légendaire tranquillité, semblent aujourd’hui déterminer à reprendre en main leur destin. Le vent est peut-être en train de tourner…
