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Vif échange entre le Pape et Israël sur les enfants tués à Gaza

Le Pape François a vivement condamné la mort de 7 enfants palestiniens dans une frappe israélienne à Gaza, suscitant l'ire d'Israël qui juge ses propos "décevants" et "déconnectés des réalités du conflit". Un nouvel épisode de tensions...

C’est un échange aussi vif qu’inhabituel entre le Vatican et Israël qui a eu lieu ce week-end. En cause : les propos du Pape François condamnant fermement la mort de sept enfants palestiniens, tués vendredi dans une frappe israélienne sur la bande de Gaza. Une prise de position jugée « décevante » et « déconnectée » par les autorités israéliennes.

Le Pape ému par la « cruauté » à Gaza

Samedi, devant les membres du gouvernement du Saint-Siège, le souverain pontife a exprimé son émotion face au drame qui a frappé une famille palestinienne la veille. Sept enfants ont en effet péri sous les bombes israéliennes dans la bande de Gaza, d’après la Défense civile locale.

Hier (vendredi), des enfants ont été bombardés. C’est de la cruauté, ce n’est pas la guerre. Je tiens à le dire parce que cela me touche au cœur.

a déclaré le Pape François, visiblement ému

Une prise de parole forte, qui rompt avec la diplomatie habituelle du Saint-Siège sur ce conflit sensible. Le Pape n’a en effet pas hésité à pointer du doigt la responsabilité d’Israël, sans chercher à ménager les susceptibilités.

Israël dénonce des critiques « déconnectées »

La réaction des autorités israéliennes ne s’est pas fait attendre. Dans un communiqué publié dans la foulée, le ministère des Affaires étrangères a fustigé les propos du Pape, les jugeant « décevants car déconnectés du contexte réel et factuel de la lutte d’Israël contre le terrorisme djihadiste ».

Accusant le souverain pontife de « deux poids, deux mesures », la diplomatie israélienne a estimé que « les critiques devraient être uniquement adressées aux terroristes, pas à la démocratie qui se défend face à eux. » Et d’ajouter : « Il faut en finir avec le deux poids, deux mesures, et la mise à l’index de l’État hébreu et de son peuple ».

Des tensions récurrentes

Ce n’est pas la première fois que le Pape François exprime publiquement son inquiétude face aux souffrances des Palestiniens, en particulier à Gaza. En mai 2021 déjà, au plus fort de l’escalade meurtrière entre Israël et le Hamas, il avait appelé à la fin des violences, plaidant pour que « les armes se taisent » et que « la paix l’emporte ».

La guerre à Gaza en chiffres

Depuis le déclenchement de la dernière guerre à Gaza en octobre 2023, suite à une attaque sans précédent du Hamas en Israël :

  • 1208 personnes ont été tuées côté israélien, en majorité des civils
  • Plus de 45 000 Palestiniens ont péri dans les frappes de représailles israéliennes, dont une majorité de civils selon l’ONU
  • 251 personnes, dont 96 toujours retenues, ont été enlevées en Israël par le Hamas le 7 octobre
  • 34 otages israéliens sont déclarés morts en captivité à Gaza

Des chiffres terribles, qui témoignent de l’ampleur de la tragédie humaine qui se joue depuis plus d’un an maintenant dans cette région meurtrie. Et malgré les appels répétés de la communauté internationale, aucune issue ne semble malheureusement se profiler à l’horizon.

Un dialogue de sourds ?

Au-delà de la polémique, cet échange acerbe entre le Pape et Israël illustre surtout le fossé qui sépare les deux parties sur ce conflit. D’un côté, le Vatican qui appelle à la retenue et au respect du droit international humanitaire. De l’autre, un État hébreu qui se sent assiégé et estime n’avoir d’autre choix que de riposter avec fermeté face aux attaques.

Un dialogue de sourds qui rend peu probable, à court terme, une désescalade et encore moins une résolution pacifique du conflit. Les civils, et en premier lieu les enfants, continueront hélas d’en payer le prix fort, comme l’a souligné avec force le Pape François ce week-end. Un cri d’alarme qui résonne comme un appel solennel à la raison et à l’humanité, dans une région plus que jamais à vif.

La guerre à Gaza en chiffres

Depuis le déclenchement de la dernière guerre à Gaza en octobre 2023, suite à une attaque sans précédent du Hamas en Israël :

  • 1208 personnes ont été tuées côté israélien, en majorité des civils
  • Plus de 45 000 Palestiniens ont péri dans les frappes de représailles israéliennes, dont une majorité de civils selon l’ONU
  • 251 personnes, dont 96 toujours retenues, ont été enlevées en Israël par le Hamas le 7 octobre
  • 34 otages israéliens sont déclarés morts en captivité à Gaza

Des chiffres terribles, qui témoignent de l’ampleur de la tragédie humaine qui se joue depuis plus d’un an maintenant dans cette région meurtrie. Et malgré les appels répétés de la communauté internationale, aucune issue ne semble malheureusement se profiler à l’horizon.

Un dialogue de sourds ?

Au-delà de la polémique, cet échange acerbe entre le Pape et Israël illustre surtout le fossé qui sépare les deux parties sur ce conflit. D’un côté, le Vatican qui appelle à la retenue et au respect du droit international humanitaire. De l’autre, un État hébreu qui se sent assiégé et estime n’avoir d’autre choix que de riposter avec fermeté face aux attaques.

Un dialogue de sourds qui rend peu probable, à court terme, une désescalade et encore moins une résolution pacifique du conflit. Les civils, et en premier lieu les enfants, continueront hélas d’en payer le prix fort, comme l’a souligné avec force le Pape François ce week-end. Un cri d’alarme qui résonne comme un appel solennel à la raison et à l’humanité, dans une région plus que jamais à vif.

Mais cette prise de position sans ambages sur un bombardement spécifique, ayant fait plusieurs victimes parmi les enfants, marque une étape supplémentaire. Elle illustre la préoccupation grandissante du Vatican face à l’enlisement d’un conflit qui ne cesse de faire de nouvelles victimes innocentes.

La guerre à Gaza en chiffres

Depuis le déclenchement de la dernière guerre à Gaza en octobre 2023, suite à une attaque sans précédent du Hamas en Israël :

  • 1208 personnes ont été tuées côté israélien, en majorité des civils
  • Plus de 45 000 Palestiniens ont péri dans les frappes de représailles israéliennes, dont une majorité de civils selon l’ONU
  • 251 personnes, dont 96 toujours retenues, ont été enlevées en Israël par le Hamas le 7 octobre
  • 34 otages israéliens sont déclarés morts en captivité à Gaza

Des chiffres terribles, qui témoignent de l’ampleur de la tragédie humaine qui se joue depuis plus d’un an maintenant dans cette région meurtrie. Et malgré les appels répétés de la communauté internationale, aucune issue ne semble malheureusement se profiler à l’horizon.

Un dialogue de sourds ?

Au-delà de la polémique, cet échange acerbe entre le Pape et Israël illustre surtout le fossé qui sépare les deux parties sur ce conflit. D’un côté, le Vatican qui appelle à la retenue et au respect du droit international humanitaire. De l’autre, un État hébreu qui se sent assiégé et estime n’avoir d’autre choix que de riposter avec fermeté face aux attaques.

Un dialogue de sourds qui rend peu probable, à court terme, une désescalade et encore moins une résolution pacifique du conflit. Les civils, et en premier lieu les enfants, continueront hélas d’en payer le prix fort, comme l’a souligné avec force le Pape François ce week-end. Un cri d’alarme qui résonne comme un appel solennel à la raison et à l’humanité, dans une région plus que jamais à vif.

Mais cette prise de position sans ambages sur un bombardement spécifique, ayant fait plusieurs victimes parmi les enfants, marque une étape supplémentaire. Elle illustre la préoccupation grandissante du Vatican face à l’enlisement d’un conflit qui ne cesse de faire de nouvelles victimes innocentes.

La guerre à Gaza en chiffres

Depuis le déclenchement de la dernière guerre à Gaza en octobre 2023, suite à une attaque sans précédent du Hamas en Israël :

  • 1208 personnes ont été tuées côté israélien, en majorité des civils
  • Plus de 45 000 Palestiniens ont péri dans les frappes de représailles israéliennes, dont une majorité de civils selon l’ONU
  • 251 personnes, dont 96 toujours retenues, ont été enlevées en Israël par le Hamas le 7 octobre
  • 34 otages israéliens sont déclarés morts en captivité à Gaza

Des chiffres terribles, qui témoignent de l’ampleur de la tragédie humaine qui se joue depuis plus d’un an maintenant dans cette région meurtrie. Et malgré les appels répétés de la communauté internationale, aucune issue ne semble malheureusement se profiler à l’horizon.

Un dialogue de sourds ?

Au-delà de la polémique, cet échange acerbe entre le Pape et Israël illustre surtout le fossé qui sépare les deux parties sur ce conflit. D’un côté, le Vatican qui appelle à la retenue et au respect du droit international humanitaire. De l’autre, un État hébreu qui se sent assiégé et estime n’avoir d’autre choix que de riposter avec fermeté face aux attaques.

Un dialogue de sourds qui rend peu probable, à court terme, une désescalade et encore moins une résolution pacifique du conflit. Les civils, et en premier lieu les enfants, continueront hélas d’en payer le prix fort, comme l’a souligné avec force le Pape François ce week-end. Un cri d’alarme qui résonne comme un appel solennel à la raison et à l’humanité, dans une région plus que jamais à vif.

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