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Venezuela : L’opposant Marquez accusé de coup d’État

Rebondissement au Venezuela : l'opposant Enrique Marquez, ex-candidat à la présidentielle, est accusé d'avoir fomenté un coup d'État contre le président Maduro à quelques jours de son investiture. Une centaine d'arrestations, dont des Américains, sèment le trouble...

Le Venezuela est à nouveau secoué par les accusations de coup d’État à l’approche de l’investiture du président contesté Nicolas Maduro. Mercredi, le ministre de l’Intérieur Diosdado Cabello a lancé une bombe en affirmant que l’opposant Enrique Marquez, ancien candidat à la présidentielle arrêté la veille, serait impliqué dans un complot visant à renverser le chef de l’État.

Selon le ministre, plus d’une centaine de personnes ont été interpellées en lien avec ce projet qualifié « d’agression mercenaire financée par les États-Unis ». Parmi elles figureraient deux Américains, « un haut responsable du FBI et un haut responsable militaire ». Marquez serait « lié au gringo du FBI », a ajouté M. Cabello à la télévision.

L’entourage de l’opposition dans le viseur

Les autorités s’en prennent aussi à l’entourage d’Edmundo Gonzalez Urrutia, un autre leader de l’opposition qui clame sa victoire à la présidentielle de juillet dernier. Le gendre de ce dernier a été arrêté, sa femme Mariana Gonzalez s’insurgeant : « Depuis quand est-ce un crime d’être de la famille d’Edmundo Gonzalez Urrutia? »

Depuis la réélection de Maduro en juillet, avec 52% des voix selon le Conseil national électoral (CNE), Marquez multiplie les recours en justice pour faire annuler le scrutin. Le manque de transparence du CNE, qui invoque un piratage informatique pour ne pas publier les procès-verbaux, renforce les soupçons de fraude.

De son côté, l’opposition revendique la victoire avec plus de 67% des voix pour Gonzalez Urrutia, en s’appuyant sur ses propres procès-verbaux.

– Une source proche de l’opposition

Un appel à manifester malgré la répression

Dans ce climat délétère, la figure de proue de l’opposition Maria Corina Machado a appelé à une grande manifestation jeudi, veille de l’investiture. Avec un message fort : « Quand un pays décide de changer et d’être libre, personne ne peut l’arrêter ». Un pari risqué face à un régime qui n’hésite pas à verrouiller par les arrestations.

Cette nouvelle crise politique illustre une fois de plus la profonde fracture qui divise la société vénézuélienne. D’un côté, un pouvoir socialiste usé par les années Maduro. De l’autre, une opposition déterminée mais confrontée à la répression. Et au milieu, une population étranglée par une interminable crise économique et sociale. L’investiture de vendredi s’annonce sous haute tension au Venezuela.

Depuis la réélection de Maduro en juillet, avec 52% des voix selon le Conseil national électoral (CNE), Marquez multiplie les recours en justice pour faire annuler le scrutin. Le manque de transparence du CNE, qui invoque un piratage informatique pour ne pas publier les procès-verbaux, renforce les soupçons de fraude.

De son côté, l’opposition revendique la victoire avec plus de 67% des voix pour Gonzalez Urrutia, en s’appuyant sur ses propres procès-verbaux.

– Une source proche de l’opposition

Un appel à manifester malgré la répression

Dans ce climat délétère, la figure de proue de l’opposition Maria Corina Machado a appelé à une grande manifestation jeudi, veille de l’investiture. Avec un message fort : « Quand un pays décide de changer et d’être libre, personne ne peut l’arrêter ». Un pari risqué face à un régime qui n’hésite pas à verrouiller par les arrestations.

Cette nouvelle crise politique illustre une fois de plus la profonde fracture qui divise la société vénézuélienne. D’un côté, un pouvoir socialiste usé par les années Maduro. De l’autre, une opposition déterminée mais confrontée à la répression. Et au milieu, une population étranglée par une interminable crise économique et sociale. L’investiture de vendredi s’annonce sous haute tension au Venezuela.

Le ministre a également exhibé un texte prétendument trouvé sur l’ordinateur de Marquez. Ce document lui attribuerait une proposition audacieuse : que Gonzalez Urrutia « prête serment et prenne le pouvoir » dans une représentation diplomatique du Venezuela à l’étranger. Un scénario explosif alors que l’opposant effectue une tournée internationale.

Une présidentielle toujours contestée

Depuis la réélection de Maduro en juillet, avec 52% des voix selon le Conseil national électoral (CNE), Marquez multiplie les recours en justice pour faire annuler le scrutin. Le manque de transparence du CNE, qui invoque un piratage informatique pour ne pas publier les procès-verbaux, renforce les soupçons de fraude.

De son côté, l’opposition revendique la victoire avec plus de 67% des voix pour Gonzalez Urrutia, en s’appuyant sur ses propres procès-verbaux.

– Une source proche de l’opposition

Un appel à manifester malgré la répression

Dans ce climat délétère, la figure de proue de l’opposition Maria Corina Machado a appelé à une grande manifestation jeudi, veille de l’investiture. Avec un message fort : « Quand un pays décide de changer et d’être libre, personne ne peut l’arrêter ». Un pari risqué face à un régime qui n’hésite pas à verrouiller par les arrestations.

Cette nouvelle crise politique illustre une fois de plus la profonde fracture qui divise la société vénézuélienne. D’un côté, un pouvoir socialiste usé par les années Maduro. De l’autre, une opposition déterminée mais confrontée à la répression. Et au milieu, une population étranglée par une interminable crise économique et sociale. L’investiture de vendredi s’annonce sous haute tension au Venezuela.

Le ministre a également exhibé un texte prétendument trouvé sur l’ordinateur de Marquez. Ce document lui attribuerait une proposition audacieuse : que Gonzalez Urrutia « prête serment et prenne le pouvoir » dans une représentation diplomatique du Venezuela à l’étranger. Un scénario explosif alors que l’opposant effectue une tournée internationale.

Une présidentielle toujours contestée

Depuis la réélection de Maduro en juillet, avec 52% des voix selon le Conseil national électoral (CNE), Marquez multiplie les recours en justice pour faire annuler le scrutin. Le manque de transparence du CNE, qui invoque un piratage informatique pour ne pas publier les procès-verbaux, renforce les soupçons de fraude.

De son côté, l’opposition revendique la victoire avec plus de 67% des voix pour Gonzalez Urrutia, en s’appuyant sur ses propres procès-verbaux.

– Une source proche de l’opposition

Un appel à manifester malgré la répression

Dans ce climat délétère, la figure de proue de l’opposition Maria Corina Machado a appelé à une grande manifestation jeudi, veille de l’investiture. Avec un message fort : « Quand un pays décide de changer et d’être libre, personne ne peut l’arrêter ». Un pari risqué face à un régime qui n’hésite pas à verrouiller par les arrestations.

Cette nouvelle crise politique illustre une fois de plus la profonde fracture qui divise la société vénézuélienne. D’un côté, un pouvoir socialiste usé par les années Maduro. De l’autre, une opposition déterminée mais confrontée à la répression. Et au milieu, une population étranglée par une interminable crise économique et sociale. L’investiture de vendredi s’annonce sous haute tension au Venezuela.

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