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Vendée Globe : Sébastien Simon Déplore l’Absence de Vent

Sébastien Simon, actuellement 3e du Vendée Globe, se lamente du manque de vent. "Il n'y a pas de vent, pas de vent... C'était prévisible. J'espère que j'aurai une petite brise dans la journée", confie-t-il, dépité mais émerveillé par la beauté du spectacle marin qui s'offre à lui...

Dans la journée du 31 décembre, au cœur de l’océan, les concurrents du Vendée Globe font face à une météo qui met leurs nerfs à rude épreuve. Sébastien Simon, skipper de Groupe Dubreuil, actuellement en 3e position, témoigne de son exaspération face à l’absence de vent.

Une météo capricieuse, source de frustration pour les marins

Torse nu sous le soleil, le visage marqué par la lassitude, Sébastien Simon se confie sans détour. « Il n’y a pas de vent, pas de vent… C’était prévisible. J’espère que j’aurai une petite brise dans la journée », soupire-t-il, oscillant entre résignation et espoir. Une situation partagée par Yoann Richomme, leader du Vendée Globe, qui décrit une « mer d’huile » où « ça n’avance pas ».

Des zones de calme incontournables

Sur cette édition du Vendée Globe, les zones de calme font partie intégrante du parcours. Impossible pour les skippers de les éviter totalement. « C’est un peu la loterie. C’est comme ça, ça fait partie du jeu », relativise Yoann Richomme. Une navigation au ralenti qui peut durer plusieurs heures, mettant à l’épreuve la patience des marins en quête de vitesse.

On n’a pas le choix, il faut passer par là. Alors autant en profiter pour se reposer et admirer le paysage.

Un skipper du Vendée Globe

Garder le moral malgré l’attente

Si l’absence de vent cause de la frustration, les marins du Vendée Globe savent aussi l’accepter et composer avec. « Il y aura d’autres transitions », positive Yoann Richomme. Sébastien Simon, lui, choisit de se concentrer sur la beauté du spectacle qui s’offre à lui : « En attendant, le spectacle est magnifique… », confie-t-il, contemplant l’immensité de l’océan.

  • Garder son calme et sa lucidité
  • Profiter de ces moments pour récupérer
  • Relativiser et accepter les aléas de la course

Entre stratégie, mental d’acier et débrouillardise, les skippers doivent puiser dans leurs ressources pour gérer au mieux ces périodes de calme. Un défi supplémentaire dans cette course en solitaire extrême, où chaque mille gagné compte. Les prochains jours leur réserveront sans doute d’autres surprises météo, pour le meilleur et pour le pire.

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