Imaginez un champ d’éoliennes géantes se dressant fièrement au large des côtes bretonnes, leurs pales tournoyant gracieusement au gré du vent marin. C’est précisément ce que vous pourrez admirer en jetant un œil au nouveau parc éolien en mer de Saint-Brieuc, dans les Côtes-d’Armor. Ce projet titanesque, fruit de 12 années de développement et 3 ans de travaux intensifs, est entré en service ce mardi matin, propulsant la Bretagne vers un avenir énergétique plus vert.
62 éoliennes pour alimenter 800 000 foyers
Avec l’entrée en service de ce nouveau parc éolien géant, la Bretagne franchit une étape cruciale dans sa transition énergétique. Un symbole fort pour cette région à la pointe dans bien des domaines, et qui compte bien le rester en matière d’énergies renouvelables. De quoi inspirer d’autres territoires à se lancer dans l’aventure de l’éolien en mer ?
Avec l’entrée en service de ce nouveau parc éolien géant, la Bretagne franchit une étape cruciale dans sa transition énergétique. Un symbole fort pour cette région à la pointe dans bien des domaines, et qui compte bien le rester en matière d’énergies renouvelables. De quoi inspirer d’autres territoires à se lancer dans l’aventure de l’éolien en mer ?
Si la construction du parc éolien a nécessité d’interdire temporairement certaines activités comme la pêche dans le périmètre du chantier, celles-ci devraient pouvoir reprendre prochainement. Un arrêté préfectoral est attendu dans les semaines à venir pour autoriser le retour des professionnels de la mer dans cette zone, une fois les dernières vérifications de sécurité effectuées.
Avec l’entrée en service de ce nouveau parc éolien géant, la Bretagne franchit une étape cruciale dans sa transition énergétique. Un symbole fort pour cette région à la pointe dans bien des domaines, et qui compte bien le rester en matière d’énergies renouvelables. De quoi inspirer d’autres territoires à se lancer dans l’aventure de l’éolien en mer ?
Si la construction du parc éolien a nécessité d’interdire temporairement certaines activités comme la pêche dans le périmètre du chantier, celles-ci devraient pouvoir reprendre prochainement. Un arrêté préfectoral est attendu dans les semaines à venir pour autoriser le retour des professionnels de la mer dans cette zone, une fois les dernières vérifications de sécurité effectuées.
Avec l’entrée en service de ce nouveau parc éolien géant, la Bretagne franchit une étape cruciale dans sa transition énergétique. Un symbole fort pour cette région à la pointe dans bien des domaines, et qui compte bien le rester en matière d’énergies renouvelables. De quoi inspirer d’autres territoires à se lancer dans l’aventure de l’éolien en mer ?
La pêche bientôt de retour dans la zone
Si la construction du parc éolien a nécessité d’interdire temporairement certaines activités comme la pêche dans le périmètre du chantier, celles-ci devraient pouvoir reprendre prochainement. Un arrêté préfectoral est attendu dans les semaines à venir pour autoriser le retour des professionnels de la mer dans cette zone, une fois les dernières vérifications de sécurité effectuées.
Avec l’entrée en service de ce nouveau parc éolien géant, la Bretagne franchit une étape cruciale dans sa transition énergétique. Un symbole fort pour cette région à la pointe dans bien des domaines, et qui compte bien le rester en matière d’énergies renouvelables. De quoi inspirer d’autres territoires à se lancer dans l’aventure de l’éolien en mer ?
La pêche bientôt de retour dans la zone
Si la construction du parc éolien a nécessité d’interdire temporairement certaines activités comme la pêche dans le périmètre du chantier, celles-ci devraient pouvoir reprendre prochainement. Un arrêté préfectoral est attendu dans les semaines à venir pour autoriser le retour des professionnels de la mer dans cette zone, une fois les dernières vérifications de sécurité effectuées.
Avec l’entrée en service de ce nouveau parc éolien géant, la Bretagne franchit une étape cruciale dans sa transition énergétique. Un symbole fort pour cette région à la pointe dans bien des domaines, et qui compte bien le rester en matière d’énergies renouvelables. De quoi inspirer d’autres territoires à se lancer dans l’aventure de l’éolien en mer ?
Pourtant, les ambitions hexagonales vont bien au-delà, avec un objectif de 18 GW en 2035 et 45 GW à l’horizon 2050. Pour y parvenir, le gouvernement mise notamment sur l’éolien flottant, une technologie prometteuse qui permettrait d’installer des parcs plus au large, là où les vents sont plus réguliers et puissants.
La pêche bientôt de retour dans la zone
Si la construction du parc éolien a nécessité d’interdire temporairement certaines activités comme la pêche dans le périmètre du chantier, celles-ci devraient pouvoir reprendre prochainement. Un arrêté préfectoral est attendu dans les semaines à venir pour autoriser le retour des professionnels de la mer dans cette zone, une fois les dernières vérifications de sécurité effectuées.
Avec l’entrée en service de ce nouveau parc éolien géant, la Bretagne franchit une étape cruciale dans sa transition énergétique. Un symbole fort pour cette région à la pointe dans bien des domaines, et qui compte bien le rester en matière d’énergies renouvelables. De quoi inspirer d’autres territoires à se lancer dans l’aventure de l’éolien en mer ?
Pourtant, les ambitions hexagonales vont bien au-delà, avec un objectif de 18 GW en 2035 et 45 GW à l’horizon 2050. Pour y parvenir, le gouvernement mise notamment sur l’éolien flottant, une technologie prometteuse qui permettrait d’installer des parcs plus au large, là où les vents sont plus réguliers et puissants.
La pêche bientôt de retour dans la zone
Si la construction du parc éolien a nécessité d’interdire temporairement certaines activités comme la pêche dans le périmètre du chantier, celles-ci devraient pouvoir reprendre prochainement. Un arrêté préfectoral est attendu dans les semaines à venir pour autoriser le retour des professionnels de la mer dans cette zone, une fois les dernières vérifications de sécurité effectuées.
Avec l’entrée en service de ce nouveau parc éolien géant, la Bretagne franchit une étape cruciale dans sa transition énergétique. Un symbole fort pour cette région à la pointe dans bien des domaines, et qui compte bien le rester en matière d’énergies renouvelables. De quoi inspirer d’autres territoires à se lancer dans l’aventure de l’éolien en mer ?
Malgré un démarrage timide et un retard certain sur ses propres objectifs, la France met les bouchées doubles pour rattraper son retard en matière d’éolien offshore. Après la mise en service du tout premier parc au large de Saint-Nazaire l’an dernier, celui de Fécamp en Normandie devrait suivre dans les prochains jours. Trois autres sites sont également attendus d’ici 2026, portant la capacité totale installée à près de 3 GW.
Pourtant, les ambitions hexagonales vont bien au-delà, avec un objectif de 18 GW en 2035 et 45 GW à l’horizon 2050. Pour y parvenir, le gouvernement mise notamment sur l’éolien flottant, une technologie prometteuse qui permettrait d’installer des parcs plus au large, là où les vents sont plus réguliers et puissants.
La pêche bientôt de retour dans la zone
Si la construction du parc éolien a nécessité d’interdire temporairement certaines activités comme la pêche dans le périmètre du chantier, celles-ci devraient pouvoir reprendre prochainement. Un arrêté préfectoral est attendu dans les semaines à venir pour autoriser le retour des professionnels de la mer dans cette zone, une fois les dernières vérifications de sécurité effectuées.
Avec l’entrée en service de ce nouveau parc éolien géant, la Bretagne franchit une étape cruciale dans sa transition énergétique. Un symbole fort pour cette région à la pointe dans bien des domaines, et qui compte bien le rester en matière d’énergies renouvelables. De quoi inspirer d’autres territoires à se lancer dans l’aventure de l’éolien en mer ?
Malgré un démarrage timide et un retard certain sur ses propres objectifs, la France met les bouchées doubles pour rattraper son retard en matière d’éolien offshore. Après la mise en service du tout premier parc au large de Saint-Nazaire l’an dernier, celui de Fécamp en Normandie devrait suivre dans les prochains jours. Trois autres sites sont également attendus d’ici 2026, portant la capacité totale installée à près de 3 GW.
Pourtant, les ambitions hexagonales vont bien au-delà, avec un objectif de 18 GW en 2035 et 45 GW à l’horizon 2050. Pour y parvenir, le gouvernement mise notamment sur l’éolien flottant, une technologie prometteuse qui permettrait d’installer des parcs plus au large, là où les vents sont plus réguliers et puissants.
La pêche bientôt de retour dans la zone
Si la construction du parc éolien a nécessité d’interdire temporairement certaines activités comme la pêche dans le périmètre du chantier, celles-ci devraient pouvoir reprendre prochainement. Un arrêté préfectoral est attendu dans les semaines à venir pour autoriser le retour des professionnels de la mer dans cette zone, une fois les dernières vérifications de sécurité effectuées.
Avec l’entrée en service de ce nouveau parc éolien géant, la Bretagne franchit une étape cruciale dans sa transition énergétique. Un symbole fort pour cette région à la pointe dans bien des domaines, et qui compte bien le rester en matière d’énergies renouvelables. De quoi inspirer d’autres territoires à se lancer dans l’aventure de l’éolien en mer ?
Concrètement, ce sont pas moins de 62 éoliennes Siemens Gamesa qui ont été installées à 16 km des côtes bretonnes. Avec une puissance unitaire de 8 mégawatts, elles représentent les aérogénérateurs les plus puissants jamais implantés en mer en France. Connectées au réseau électrique national, elles devraient produire environ 1820 gigawattheures par an, soit l’équivalent de 9% de la consommation électrique de la Bretagne. De quoi fournir en électricité renouvelable plus de 800 000 habitants !
Un investissement colossal porté par Iberdrola
Pour voir le jour, ce chantier d’envergure aura nécessité un investissement total de 2,4 milliards d’euros, entièrement financé par Iberdrola. Le géant espagnol de l’énergie, qui exploitera le site, n’en est pas à son coup d’essai puisqu’il a déjà construit plusieurs parcs éoliens marins de grande ampleur au Royaume-Uni, en Allemagne et aux États-Unis.
Nous sommes fiers de participer activement à la transition énergétique de la France avec ce nouveau parc éolien en mer
a déclaré le PDG d’Iberdrola
La France accélère sur l’éolien en mer
Malgré un démarrage timide et un retard certain sur ses propres objectifs, la France met les bouchées doubles pour rattraper son retard en matière d’éolien offshore. Après la mise en service du tout premier parc au large de Saint-Nazaire l’an dernier, celui de Fécamp en Normandie devrait suivre dans les prochains jours. Trois autres sites sont également attendus d’ici 2026, portant la capacité totale installée à près de 3 GW.
Pourtant, les ambitions hexagonales vont bien au-delà, avec un objectif de 18 GW en 2035 et 45 GW à l’horizon 2050. Pour y parvenir, le gouvernement mise notamment sur l’éolien flottant, une technologie prometteuse qui permettrait d’installer des parcs plus au large, là où les vents sont plus réguliers et puissants.
La pêche bientôt de retour dans la zone
Si la construction du parc éolien a nécessité d’interdire temporairement certaines activités comme la pêche dans le périmètre du chantier, celles-ci devraient pouvoir reprendre prochainement. Un arrêté préfectoral est attendu dans les semaines à venir pour autoriser le retour des professionnels de la mer dans cette zone, une fois les dernières vérifications de sécurité effectuées.
Avec l’entrée en service de ce nouveau parc éolien géant, la Bretagne franchit une étape cruciale dans sa transition énergétique. Un symbole fort pour cette région à la pointe dans bien des domaines, et qui compte bien le rester en matière d’énergies renouvelables. De quoi inspirer d’autres territoires à se lancer dans l’aventure de l’éolien en mer ?
Concrètement, ce sont pas moins de 62 éoliennes Siemens Gamesa qui ont été installées à 16 km des côtes bretonnes. Avec une puissance unitaire de 8 mégawatts, elles représentent les aérogénérateurs les plus puissants jamais implantés en mer en France. Connectées au réseau électrique national, elles devraient produire environ 1820 gigawattheures par an, soit l’équivalent de 9% de la consommation électrique de la Bretagne. De quoi fournir en électricité renouvelable plus de 800 000 habitants !
Un investissement colossal porté par Iberdrola
Pour voir le jour, ce chantier d’envergure aura nécessité un investissement total de 2,4 milliards d’euros, entièrement financé par Iberdrola. Le géant espagnol de l’énergie, qui exploitera le site, n’en est pas à son coup d’essai puisqu’il a déjà construit plusieurs parcs éoliens marins de grande ampleur au Royaume-Uni, en Allemagne et aux États-Unis.
Nous sommes fiers de participer activement à la transition énergétique de la France avec ce nouveau parc éolien en mer
a déclaré le PDG d’Iberdrola
La France accélère sur l’éolien en mer
Malgré un démarrage timide et un retard certain sur ses propres objectifs, la France met les bouchées doubles pour rattraper son retard en matière d’éolien offshore. Après la mise en service du tout premier parc au large de Saint-Nazaire l’an dernier, celui de Fécamp en Normandie devrait suivre dans les prochains jours. Trois autres sites sont également attendus d’ici 2026, portant la capacité totale installée à près de 3 GW.
Pourtant, les ambitions hexagonales vont bien au-delà, avec un objectif de 18 GW en 2035 et 45 GW à l’horizon 2050. Pour y parvenir, le gouvernement mise notamment sur l’éolien flottant, une technologie prometteuse qui permettrait d’installer des parcs plus au large, là où les vents sont plus réguliers et puissants.
La pêche bientôt de retour dans la zone
Si la construction du parc éolien a nécessité d’interdire temporairement certaines activités comme la pêche dans le périmètre du chantier, celles-ci devraient pouvoir reprendre prochainement. Un arrêté préfectoral est attendu dans les semaines à venir pour autoriser le retour des professionnels de la mer dans cette zone, une fois les dernières vérifications de sécurité effectuées.
Avec l’entrée en service de ce nouveau parc éolien géant, la Bretagne franchit une étape cruciale dans sa transition énergétique. Un symbole fort pour cette région à la pointe dans bien des domaines, et qui compte bien le rester en matière d’énergies renouvelables. De quoi inspirer d’autres territoires à se lancer dans l’aventure de l’éolien en mer ?