C’est un exploit retentissant qu’a réalisé Botafogo samedi en remportant la Copa Libertadores, la plus prestigieuse compétition sud-américaine. Le club de Rio de Janeiro, détenu par l’homme d’affaires américain John Textor, a triomphé 3-1 face à l’Atlético Mineiro en finale. Un sacre d’autant plus méritoire que les vainqueurs ont joué quasiment tout le match à 10 contre 11 après l’expulsion sévère de Gregore dès la première minute.
Un jackpot pour Textor et Botafogo
Au-delà de la performance sportive, ce succès en Libertadores représente une vraie manne financière pour Botafogo et son propriétaire. Selon des sources proches du dossier, le club va empocher plus de 70 millions d’euros grâce à ce titre :
- 23 millions pour la victoire finale en Libertadores
- 50 millions pour la qualification à la Coupe du monde des clubs
De quoi renflouer les caisses du club et, peut-être, soulager la situation préoccupante de l’autre club de Textor, l’Olympique Lyonnais, dans le viseur de la DNCG, le gendarme financier du foot français. Une bouffée d’oxygène inespérée.
Les larmes de joie de Textor
Submergé par l’émotion après le coup de sifflet final, John Textor n’a pu contenir ses larmes au micro d’ESPN Brésil :
« Je l’ai déjà dit, mais ils le méritent. Ils ont travaillé tellement dur et ils l’ont gagnée ! Je les aime!(…) Ils disaient que nous n’étions pas forts mentalement et nos garçons ont prouvé le contraire. Ils avaient tort. »
John Textor, propriétaire de Botafogo
Le dirigeant américain a tenu à remettre les pendules à l’heure face aux critiques :
« J’ai fait plus de bonnes choses que de mauvaises. »
John Textor, propriétaire de Botafogo
Botafogo rêve du doublé
Désormais auréolé du titre de champion d’Amérique du Sud, John Textor ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Son objectif avoué : réaliser le doublé en décrochant aussi le Championnat du Brésil, où Botafogo caracole actuellement en tête avec 3 points d’avance sur Palmeiras à 2 journées de la fin.
« J’ai grandi en Floride qui entretient des relations fortes avec l’Amérique du Sud. Pour moi, c’est plus important que tout ce qui se passe en Europe. C’est phénoménal. »
John Textor, propriétaire de Botafogo
Textor ne cache pas ses ambitions :
« On est encore dans la course. On a encore deux matchs à jouer. On veut gagner, pas être deuxièmes. »
John Textor, propriétaire de Botafogo
Pas de doute, le propriétaire américain compte bien restaurer la grandeur de Botafogo, qui n’avait plus remporté la Libertadores depuis 1995. D’ores et déjà qualifié pour la prochaine Coupe du Monde des Clubs, le club de Rio peut rêver de faire trembler les meilleurs clubs européens. Une perspective excitante pour tout le peuple brésilien.
Le calme avant la tempête à Lyon ?
Pendant que Botafogo célèbre son triomphe historique, l’autre club de John Textor, l’Olympique Lyonnais, a rendez-vous avec son destin ce dimanche. Actuel 7e de Ligue 1, l’OL reçoit l’OGC Nice pour le compte de la 13e journée, avec l’obligation de l’emporter pour ne pas voir le podium s’éloigner définitivement. Une victoire lyonnaise atténuerait la pression sur son propriétaire américain, très critiqué depuis son arrivée dans le Rhône.
John Textor réussira-t-il à guider ses deux clubs vers les sommets ? Réponse dans les prochaines semaines. Une chose est sûre : depuis Rio jusqu’aux rives du Rhône, l’homme d’affaires américain compte laisser son empreinte dans le monde du football. Et ce n’est peut-être qu’un début…
Désormais auréolé du titre de champion d’Amérique du Sud, John Textor ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Son objectif avoué : réaliser le doublé en décrochant aussi le Championnat du Brésil, où Botafogo caracole actuellement en tête avec 3 points d’avance sur Palmeiras à 2 journées de la fin.
« J’ai grandi en Floride qui entretient des relations fortes avec l’Amérique du Sud. Pour moi, c’est plus important que tout ce qui se passe en Europe. C’est phénoménal. »
John Textor, propriétaire de Botafogo
Textor ne cache pas ses ambitions :
« On est encore dans la course. On a encore deux matchs à jouer. On veut gagner, pas être deuxièmes. »
John Textor, propriétaire de Botafogo
Pas de doute, le propriétaire américain compte bien restaurer la grandeur de Botafogo, qui n’avait plus remporté la Libertadores depuis 1995. D’ores et déjà qualifié pour la prochaine Coupe du Monde des Clubs, le club de Rio peut rêver de faire trembler les meilleurs clubs européens. Une perspective excitante pour tout le peuple brésilien.
Le calme avant la tempête à Lyon ?
Pendant que Botafogo célèbre son triomphe historique, l’autre club de John Textor, l’Olympique Lyonnais, a rendez-vous avec son destin ce dimanche. Actuel 7e de Ligue 1, l’OL reçoit l’OGC Nice pour le compte de la 13e journée, avec l’obligation de l’emporter pour ne pas voir le podium s’éloigner définitivement. Une victoire lyonnaise atténuerait la pression sur son propriétaire américain, très critiqué depuis son arrivée dans le Rhône.
John Textor réussira-t-il à guider ses deux clubs vers les sommets ? Réponse dans les prochaines semaines. Une chose est sûre : depuis Rio jusqu’aux rives du Rhône, l’homme d’affaires américain compte laisser son empreinte dans le monde du football. Et ce n’est peut-être qu’un début…