Les États-Unis retiennent leur souffle. Dans la nuit du 14 juillet, Donald Trump a échappé de peu à une tentative d’assassinat lors d’un meeting en Pennsylvanie. L’ancien président, en lice pour 2024, s’en sort avec une légère blessure mais l’événement fait l’effet d’une bombe. Il révèle au grand jour la violence politique qui mine le pays et promet une campagne présidentielle explosive.
L’attentat, paroxysme d’une société polarisée à l’extrême
Pour Jean-Eric Branaa, spécialiste des États-Unis, cette attaque est “la conclusion paroxystique de la violence politique dans laquelle est en train de sombrer la société américaine”. Une violence attisée par une polarisation et une radicalisation croissantes, nourries par des discours de plus en plus clivants et agressifs des deux côtés de l’échiquier politique.
Plus que jamais, la présidentielle de 2024 s’annonce comme “une lutte sans merci” sur fond de violences politiques et de lourds enjeux pour l’avenir de la démocratie américaine. Avec un Donald Trump en position de force, porté par son nouveau statut de héros miraculé, et un Joe Biden en position défensive.
Reste à savoir si le choc de l’attentat poussera les acteurs politiques à retrouver le chemin du dialogue et à mettre un terme à la dangereuse escalade verbale actuelle. Le chaos guette les États-Unis et il y a urgence à “faire attention avec les mots” comme le rappelle Jean-Eric Branaa. Sous peine de voir l’Amérique s’enfoncer dans une spirale de violence politique incontrôlable.
Plus que jamais, la présidentielle de 2024 s’annonce comme “une lutte sans merci” sur fond de violences politiques et de lourds enjeux pour l’avenir de la démocratie américaine. Avec un Donald Trump en position de force, porté par son nouveau statut de héros miraculé, et un Joe Biden en position défensive.
Reste à savoir si le choc de l’attentat poussera les acteurs politiques à retrouver le chemin du dialogue et à mettre un terme à la dangereuse escalade verbale actuelle. Le chaos guette les États-Unis et il y a urgence à “faire attention avec les mots” comme le rappelle Jean-Eric Branaa. Sous peine de voir l’Amérique s’enfoncer dans une spirale de violence politique incontrôlable.
Pour les démocrates, c’est donc la gestion du chaos qui s’annonce. Avec comme seul objectif de limiter la casse en laissant Joe Biden tenter de se montrer le plus “présidentiel” possible, comme lors de son allocution solennelle dimanche soir.
Une élection sous haute tension
Plus que jamais, la présidentielle de 2024 s’annonce comme “une lutte sans merci” sur fond de violences politiques et de lourds enjeux pour l’avenir de la démocratie américaine. Avec un Donald Trump en position de force, porté par son nouveau statut de héros miraculé, et un Joe Biden en position défensive.
Reste à savoir si le choc de l’attentat poussera les acteurs politiques à retrouver le chemin du dialogue et à mettre un terme à la dangereuse escalade verbale actuelle. Le chaos guette les États-Unis et il y a urgence à “faire attention avec les mots” comme le rappelle Jean-Eric Branaa. Sous peine de voir l’Amérique s’enfoncer dans une spirale de violence politique incontrôlable.
Pour les démocrates, c’est donc la gestion du chaos qui s’annonce. Avec comme seul objectif de limiter la casse en laissant Joe Biden tenter de se montrer le plus “présidentiel” possible, comme lors de son allocution solennelle dimanche soir.
Une élection sous haute tension
Plus que jamais, la présidentielle de 2024 s’annonce comme “une lutte sans merci” sur fond de violences politiques et de lourds enjeux pour l’avenir de la démocratie américaine. Avec un Donald Trump en position de force, porté par son nouveau statut de héros miraculé, et un Joe Biden en position défensive.
Reste à savoir si le choc de l’attentat poussera les acteurs politiques à retrouver le chemin du dialogue et à mettre un terme à la dangereuse escalade verbale actuelle. Le chaos guette les États-Unis et il y a urgence à “faire attention avec les mots” comme le rappelle Jean-Eric Branaa. Sous peine de voir l’Amérique s’enfoncer dans une spirale de violence politique incontrôlable.
Face à un Trump auréolé du statut de héros, Joe Biden apparaît bien pâle. Beaucoup de démocrates voyaient dans la jeune et dynamique Kamala Harris une alternative pour relancer une campagne mal engagée. Mais avec le choc de l’attentat, changer de candidat maintenant “serait ajouter au chaos qu’il vient d’y avoir” estime Jean-Eric Branaa.
Pour les démocrates, c’est donc la gestion du chaos qui s’annonce. Avec comme seul objectif de limiter la casse en laissant Joe Biden tenter de se montrer le plus “présidentiel” possible, comme lors de son allocution solennelle dimanche soir.
Une élection sous haute tension
Plus que jamais, la présidentielle de 2024 s’annonce comme “une lutte sans merci” sur fond de violences politiques et de lourds enjeux pour l’avenir de la démocratie américaine. Avec un Donald Trump en position de force, porté par son nouveau statut de héros miraculé, et un Joe Biden en position défensive.
Reste à savoir si le choc de l’attentat poussera les acteurs politiques à retrouver le chemin du dialogue et à mettre un terme à la dangereuse escalade verbale actuelle. Le chaos guette les États-Unis et il y a urgence à “faire attention avec les mots” comme le rappelle Jean-Eric Branaa. Sous peine de voir l’Amérique s’enfoncer dans une spirale de violence politique incontrôlable.
Face à un Trump auréolé du statut de héros, Joe Biden apparaît bien pâle. Beaucoup de démocrates voyaient dans la jeune et dynamique Kamala Harris une alternative pour relancer une campagne mal engagée. Mais avec le choc de l’attentat, changer de candidat maintenant “serait ajouter au chaos qu’il vient d’y avoir” estime Jean-Eric Branaa.
Pour les démocrates, c’est donc la gestion du chaos qui s’annonce. Avec comme seul objectif de limiter la casse en laissant Joe Biden tenter de se montrer le plus “présidentiel” possible, comme lors de son allocution solennelle dimanche soir.
Une élection sous haute tension
Plus que jamais, la présidentielle de 2024 s’annonce comme “une lutte sans merci” sur fond de violences politiques et de lourds enjeux pour l’avenir de la démocratie américaine. Avec un Donald Trump en position de force, porté par son nouveau statut de héros miraculé, et un Joe Biden en position défensive.
Reste à savoir si le choc de l’attentat poussera les acteurs politiques à retrouver le chemin du dialogue et à mettre un terme à la dangereuse escalade verbale actuelle. Le chaos guette les États-Unis et il y a urgence à “faire attention avec les mots” comme le rappelle Jean-Eric Branaa. Sous peine de voir l’Amérique s’enfoncer dans une spirale de violence politique incontrôlable.
Tel un héros américain blessé au combat mais jamais vaincu, Trump gagne ses galons de martyr et suscite une forte empathie. Une posture qui risque de galvaniser sa base électorale et de le rendre très difficile à battre.
Chez les démocrates, la “gestion du chaos”
Face à un Trump auréolé du statut de héros, Joe Biden apparaît bien pâle. Beaucoup de démocrates voyaient dans la jeune et dynamique Kamala Harris une alternative pour relancer une campagne mal engagée. Mais avec le choc de l’attentat, changer de candidat maintenant “serait ajouter au chaos qu’il vient d’y avoir” estime Jean-Eric Branaa.
Pour les démocrates, c’est donc la gestion du chaos qui s’annonce. Avec comme seul objectif de limiter la casse en laissant Joe Biden tenter de se montrer le plus “présidentiel” possible, comme lors de son allocution solennelle dimanche soir.
Une élection sous haute tension
Plus que jamais, la présidentielle de 2024 s’annonce comme “une lutte sans merci” sur fond de violences politiques et de lourds enjeux pour l’avenir de la démocratie américaine. Avec un Donald Trump en position de force, porté par son nouveau statut de héros miraculé, et un Joe Biden en position défensive.
Reste à savoir si le choc de l’attentat poussera les acteurs politiques à retrouver le chemin du dialogue et à mettre un terme à la dangereuse escalade verbale actuelle. Le chaos guette les États-Unis et il y a urgence à “faire attention avec les mots” comme le rappelle Jean-Eric Branaa. Sous peine de voir l’Amérique s’enfoncer dans une spirale de violence politique incontrôlable.
Tel un héros américain blessé au combat mais jamais vaincu, Trump gagne ses galons de martyr et suscite une forte empathie. Une posture qui risque de galvaniser sa base électorale et de le rendre très difficile à battre.
Chez les démocrates, la “gestion du chaos”
Face à un Trump auréolé du statut de héros, Joe Biden apparaît bien pâle. Beaucoup de démocrates voyaient dans la jeune et dynamique Kamala Harris une alternative pour relancer une campagne mal engagée. Mais avec le choc de l’attentat, changer de candidat maintenant “serait ajouter au chaos qu’il vient d’y avoir” estime Jean-Eric Branaa.
Pour les démocrates, c’est donc la gestion du chaos qui s’annonce. Avec comme seul objectif de limiter la casse en laissant Joe Biden tenter de se montrer le plus “présidentiel” possible, comme lors de son allocution solennelle dimanche soir.
Une élection sous haute tension
Plus que jamais, la présidentielle de 2024 s’annonce comme “une lutte sans merci” sur fond de violences politiques et de lourds enjeux pour l’avenir de la démocratie américaine. Avec un Donald Trump en position de force, porté par son nouveau statut de héros miraculé, et un Joe Biden en position défensive.
Reste à savoir si le choc de l’attentat poussera les acteurs politiques à retrouver le chemin du dialogue et à mettre un terme à la dangereuse escalade verbale actuelle. Le chaos guette les États-Unis et il y a urgence à “faire attention avec les mots” comme le rappelle Jean-Eric Branaa. Sous peine de voir l’Amérique s’enfoncer dans une spirale de violence politique incontrôlable.
D’un côté, Trump est “diabolisé” par ses opposants qui n’hésitent pas à le comparer à Hitler. De l’autre, le milliardaire jette de l’huile sur le feu avec des propos incendiaires comme son appel à “prendre d’assaut le Capitole” le 6 janvier 2021. “Lorsque dans un discours il exhorte ses militants à prendre d’assaut le Capitole, ce ne sont pas des paroles neutres”, souligne Jean-Eric Branaa.
Trump, un “héros américain” blessé
Paradoxalement, cette tentative d’assassinat risque de doper la popularité de Donald Trump et de le transformer en martyr. Avec l’image de l’ex-président blessé mais combatif, le poing levé, devant le drapeau américain, “Trump est désormais perçu comme un héros glorifié” analyse Jean-Eric Branaa.
C’est aussi le héros qui se dresse le poing levé en disant “Combattez”. Derrière lui, cette image du drapeau américain dans ce ciel bleu est iconique.
Jean-Eric Branaa
Tel un héros américain blessé au combat mais jamais vaincu, Trump gagne ses galons de martyr et suscite une forte empathie. Une posture qui risque de galvaniser sa base électorale et de le rendre très difficile à battre.
Chez les démocrates, la “gestion du chaos”
Face à un Trump auréolé du statut de héros, Joe Biden apparaît bien pâle. Beaucoup de démocrates voyaient dans la jeune et dynamique Kamala Harris une alternative pour relancer une campagne mal engagée. Mais avec le choc de l’attentat, changer de candidat maintenant “serait ajouter au chaos qu’il vient d’y avoir” estime Jean-Eric Branaa.
Pour les démocrates, c’est donc la gestion du chaos qui s’annonce. Avec comme seul objectif de limiter la casse en laissant Joe Biden tenter de se montrer le plus “présidentiel” possible, comme lors de son allocution solennelle dimanche soir.
Une élection sous haute tension
Plus que jamais, la présidentielle de 2024 s’annonce comme “une lutte sans merci” sur fond de violences politiques et de lourds enjeux pour l’avenir de la démocratie américaine. Avec un Donald Trump en position de force, porté par son nouveau statut de héros miraculé, et un Joe Biden en position défensive.
Reste à savoir si le choc de l’attentat poussera les acteurs politiques à retrouver le chemin du dialogue et à mettre un terme à la dangereuse escalade verbale actuelle. Le chaos guette les États-Unis et il y a urgence à “faire attention avec les mots” comme le rappelle Jean-Eric Branaa. Sous peine de voir l’Amérique s’enfoncer dans une spirale de violence politique incontrôlable.
D’un côté, Trump est “diabolisé” par ses opposants qui n’hésitent pas à le comparer à Hitler. De l’autre, le milliardaire jette de l’huile sur le feu avec des propos incendiaires comme son appel à “prendre d’assaut le Capitole” le 6 janvier 2021. “Lorsque dans un discours il exhorte ses militants à prendre d’assaut le Capitole, ce ne sont pas des paroles neutres”, souligne Jean-Eric Branaa.
Trump, un “héros américain” blessé
Paradoxalement, cette tentative d’assassinat risque de doper la popularité de Donald Trump et de le transformer en martyr. Avec l’image de l’ex-président blessé mais combatif, le poing levé, devant le drapeau américain, “Trump est désormais perçu comme un héros glorifié” analyse Jean-Eric Branaa.
C’est aussi le héros qui se dresse le poing levé en disant “Combattez”. Derrière lui, cette image du drapeau américain dans ce ciel bleu est iconique.
Jean-Eric Branaa
Tel un héros américain blessé au combat mais jamais vaincu, Trump gagne ses galons de martyr et suscite une forte empathie. Une posture qui risque de galvaniser sa base électorale et de le rendre très difficile à battre.
Chez les démocrates, la “gestion du chaos”
Face à un Trump auréolé du statut de héros, Joe Biden apparaît bien pâle. Beaucoup de démocrates voyaient dans la jeune et dynamique Kamala Harris une alternative pour relancer une campagne mal engagée. Mais avec le choc de l’attentat, changer de candidat maintenant “serait ajouter au chaos qu’il vient d’y avoir” estime Jean-Eric Branaa.
Pour les démocrates, c’est donc la gestion du chaos qui s’annonce. Avec comme seul objectif de limiter la casse en laissant Joe Biden tenter de se montrer le plus “présidentiel” possible, comme lors de son allocution solennelle dimanche soir.
Une élection sous haute tension
Plus que jamais, la présidentielle de 2024 s’annonce comme “une lutte sans merci” sur fond de violences politiques et de lourds enjeux pour l’avenir de la démocratie américaine. Avec un Donald Trump en position de force, porté par son nouveau statut de héros miraculé, et un Joe Biden en position défensive.
Reste à savoir si le choc de l’attentat poussera les acteurs politiques à retrouver le chemin du dialogue et à mettre un terme à la dangereuse escalade verbale actuelle. Le chaos guette les États-Unis et il y a urgence à “faire attention avec les mots” comme le rappelle Jean-Eric Branaa. Sous peine de voir l’Amérique s’enfoncer dans une spirale de violence politique incontrôlable.