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Sophia Chikirou dénonce le retour de « l’hollandisme » au sein de la gauche

Sophia Chikirou, proche de Jean-Luc Mélenchon, dénonce vertement le choix des socialistes pour Matignon. Pour la députée LFI, la proposition de nommer Laurence Tubiana révèle un retour en force de « l'hollandisme », qu'elle compare à...

En pleine négociation houleuse sur la formation d’un gouvernement, la gauche se retrouve à nouveau divisée. Le dernier épisode en date : la proposition des socialistes d’envoyer Laurence Tubiana, ancienne présidente de la Convention citoyenne pour le Climat, à Matignon. Une suggestion qui a fait bondir Sophia Chikirou, députée insoumise de Paris et proche de Jean-Luc Mélenchon.

Le spectre de l’hollandisme

Pour l’élue LFI, ce choix révèle ni plus ni moins qu’un retour en force de « l’hollandisme », courant incarné par l’ancien président François Hollande, au sein du Parti socialiste. Sur le réseau social X (anciennement Twitter), Sophia Chikirou n’y est pas allée de main morte pour fustiger cette orientation :

Le hollandisme c’est comme les punaises de lit : tu as employé les grands moyens pour t’en débarrasser, tu y as cru quelque temps et tu as repris une vie saine (à gauche) mais en quelques semaines, ça gratte à nouveau et ça sort de partout… Il va falloir recommencer !

– Sophia Chikirou, députée LFI

Cet énième psychodrame illustre la complexité de faire cohabiter sous une même bannière des forces politiques aux sensibilités diverses, des écologistes à LFI en passant par le PS et le PCF. Malgré une volonté affichée d’unité, les divergences idéologiques et les rivalités de personnes menacent constamment la cohésion de l’alliance.

Les négociations sur le futur gouvernement constituent un test grandeur nature pour la NUPES. Bien que créditée d’une majorité relative à l’Assemblée, la coalition doit encore s’entendre sur un programme commun et une répartition des postes clés. Un défi de taille au vu des dissensions actuelles, qui font le jeu des opposants.

Pour l’heure, socialistes, écologistes et communistes ont décidé de reprendre les tractations sans LFI, après la suspension du dialogue par les Insoumis. Un coup de force dénoncé par ces derniers, qui réclament des gages sur des points programmatiques. L’avenir dira si la NUPES parviendra à surmonter ses contradictions pour incarner une alternative crédible. Le chemin s’annonce d’ores et déjà semé d’embûches.

Cet énième psychodrame illustre la complexité de faire cohabiter sous une même bannière des forces politiques aux sensibilités diverses, des écologistes à LFI en passant par le PS et le PCF. Malgré une volonté affichée d’unité, les divergences idéologiques et les rivalités de personnes menacent constamment la cohésion de l’alliance.

Les négociations sur le futur gouvernement constituent un test grandeur nature pour la NUPES. Bien que créditée d’une majorité relative à l’Assemblée, la coalition doit encore s’entendre sur un programme commun et une répartition des postes clés. Un défi de taille au vu des dissensions actuelles, qui font le jeu des opposants.

Pour l’heure, socialistes, écologistes et communistes ont décidé de reprendre les tractations sans LFI, après la suspension du dialogue par les Insoumis. Un coup de force dénoncé par ces derniers, qui réclament des gages sur des points programmatiques. L’avenir dira si la NUPES parviendra à surmonter ses contradictions pour incarner une alternative crédible. Le chemin s’annonce d’ores et déjà semé d’embûches.

Une métaphore pour le moins imagée, qui illustre le ras-le-bol de l’aile gauche de la NUPES face à ce qu’elle considère comme un reniement des engagements pris durant la campagne des législatives.

Laurence Tubiana, une figure clivante

Le choix de Laurence Tubiana cristallise les tensions. Bien que respectée pour son engagement écologique, notamment lors de la COP21 et son rôle dans l’Accord de Paris sur le climat, l’économiste est vue d’un mauvais œil par LFI. En cause : sa signature d’une tribune appelant la NUPES à tendre la main à d’autres forces progressistes, une démarche assimilée à un rapprochement avec la macronie.

Pour Manuel Bompard, coordinateur de LFI, cette proposition « ne semble pas sérieuse ». Les Insoumis, qui avaient proposé sans succès la députée Huguette Bello pour Matignon, accusent le PS de vouloir imposer une ligne droitière au sein de la coalition de gauche.

Le difficile équilibre de la NUPES

Cet énième psychodrame illustre la complexité de faire cohabiter sous une même bannière des forces politiques aux sensibilités diverses, des écologistes à LFI en passant par le PS et le PCF. Malgré une volonté affichée d’unité, les divergences idéologiques et les rivalités de personnes menacent constamment la cohésion de l’alliance.

Les négociations sur le futur gouvernement constituent un test grandeur nature pour la NUPES. Bien que créditée d’une majorité relative à l’Assemblée, la coalition doit encore s’entendre sur un programme commun et une répartition des postes clés. Un défi de taille au vu des dissensions actuelles, qui font le jeu des opposants.

Pour l’heure, socialistes, écologistes et communistes ont décidé de reprendre les tractations sans LFI, après la suspension du dialogue par les Insoumis. Un coup de force dénoncé par ces derniers, qui réclament des gages sur des points programmatiques. L’avenir dira si la NUPES parviendra à surmonter ses contradictions pour incarner une alternative crédible. Le chemin s’annonce d’ores et déjà semé d’embûches.

Une métaphore pour le moins imagée, qui illustre le ras-le-bol de l’aile gauche de la NUPES face à ce qu’elle considère comme un reniement des engagements pris durant la campagne des législatives.

Laurence Tubiana, une figure clivante

Le choix de Laurence Tubiana cristallise les tensions. Bien que respectée pour son engagement écologique, notamment lors de la COP21 et son rôle dans l’Accord de Paris sur le climat, l’économiste est vue d’un mauvais œil par LFI. En cause : sa signature d’une tribune appelant la NUPES à tendre la main à d’autres forces progressistes, une démarche assimilée à un rapprochement avec la macronie.

Pour Manuel Bompard, coordinateur de LFI, cette proposition « ne semble pas sérieuse ». Les Insoumis, qui avaient proposé sans succès la députée Huguette Bello pour Matignon, accusent le PS de vouloir imposer une ligne droitière au sein de la coalition de gauche.

Le difficile équilibre de la NUPES

Cet énième psychodrame illustre la complexité de faire cohabiter sous une même bannière des forces politiques aux sensibilités diverses, des écologistes à LFI en passant par le PS et le PCF. Malgré une volonté affichée d’unité, les divergences idéologiques et les rivalités de personnes menacent constamment la cohésion de l’alliance.

Les négociations sur le futur gouvernement constituent un test grandeur nature pour la NUPES. Bien que créditée d’une majorité relative à l’Assemblée, la coalition doit encore s’entendre sur un programme commun et une répartition des postes clés. Un défi de taille au vu des dissensions actuelles, qui font le jeu des opposants.

Pour l’heure, socialistes, écologistes et communistes ont décidé de reprendre les tractations sans LFI, après la suspension du dialogue par les Insoumis. Un coup de force dénoncé par ces derniers, qui réclament des gages sur des points programmatiques. L’avenir dira si la NUPES parviendra à surmonter ses contradictions pour incarner une alternative crédible. Le chemin s’annonce d’ores et déjà semé d’embûches.

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