Le monde du football est en émoi. Nasser Al-Khelaïfi, le très médiatique président du Paris Saint-Germain, se retrouve au cœur d’un sulfureux scandale de chantage orchestré par un mystérieux lobbyiste. Une affaire explosive qui menace de faire vaciller l’empire parisien et qui lève le voile sur les dessous troubles du ballon rond.
Un lobbyiste au cœur de la tourmente
Tayeb Benabderrahmane, lobbyiste franco-algérien, est pointé du doigt. Cet homme de l’ombre aurait fourni à certains membres du PSG des informations confidentielles obtenues illégalement auprès de policiers. Pire, il détiendrait des éléments compromettants visant directement Nasser Al-Khelaïfi et le Qatar, qui auraient servi à exercer un odieux chantage.
Une plainte pour diffamation
Face à ces accusations gravissimes, “NAK” contre-attaque. Ses avocats ont déposé une plainte pour diffamation contre Benabderrahmane. Ils dénoncent “une mafia, une montagne de mensonges et de manipulations”. Le club parisien se dit étranger à ces agissements délictueux et entend bien laver son honneur.
“La mafia, la montagne de mensonge et de manipulation qui existent depuis deux ans s’écroulent enfin.”
Source proche de Nasser Al-Khelaïfi
Le patron du PSG entendu comme partie civile
Dans le cadre de l’enquête sur ce tentaculaire scandale, qui vise notamment des faits de trafic d’influence et de corruption, Nasser Al-Khelaïfi a été entendu le 13 mai dernier en tant que partie civile. Un statut qui souligne son innocence et renforce la thèse d’un chantage dont il aurait été la cible.
Les zones d’ombre de l’affaire
Mais de nombreuses questions restent en suspens. Quelles informations compromettantes Benabderrahmane détiendrait-il sur le Qatar et Al-Khelaïfi ? Quel rôle exact ont joué les policiers et les membres du PSG mis en examen ? Le voile est loin d’être entièrement levé sur cette ténébreuse affaire.
Une chose est sûre, ce nouveau séisme qui ébranle le football français risque de laisser des traces. Après les soupçons de conflits d’intérêts, de matches truqués et de dopage qui ont terni son image ces dernières années, le ballon rond se serait bien passé de ce énième scandale. La quête de vérité et de transparence s’annonce longue et semée d’embûches.
Dans le cadre de l’enquête sur ce tentaculaire scandale, qui vise notamment des faits de trafic d’influence et de corruption, Nasser Al-Khelaïfi a été entendu le 13 mai dernier en tant que partie civile. Un statut qui souligne son innocence et renforce la thèse d’un chantage dont il aurait été la cible.
Les zones d’ombre de l’affaire
Mais de nombreuses questions restent en suspens. Quelles informations compromettantes Benabderrahmane détiendrait-il sur le Qatar et Al-Khelaïfi ? Quel rôle exact ont joué les policiers et les membres du PSG mis en examen ? Le voile est loin d’être entièrement levé sur cette ténébreuse affaire.
Une chose est sûre, ce nouveau séisme qui ébranle le football français risque de laisser des traces. Après les soupçons de conflits d’intérêts, de matches truqués et de dopage qui ont terni son image ces dernières années, le ballon rond se serait bien passé de ce énième scandale. La quête de vérité et de transparence s’annonce longue et semée d’embûches.
