C’est une affaire qui secoue le monde médiatique et politique. Ivanne Trippenbach, journaliste au Monde, a porté plainte pour cyberharcèlement et menaces, notamment contre un député, après avoir couvert les obsèques de Jean-Marie Le Pen le 11 janvier dernier. Retour sur ce scandale qui soulève de sérieuses questions sur la protection des journalistes et la responsabilité des élus.
Une couverture des obsèques qui tourne au cauchemar
Ivanne Trippenbach était l’envoyée spéciale du Monde pour couvrir les funérailles de Jean-Marie Le Pen à La Trinité-sur-Mer (Morbihan). Mais depuis, elle fait l’objet d’une violente campagne de harcèlement en ligne, nourrie par de nombreuses contre-vérités selon le quotidien. D’après une source proche du dossier, il lui est reproché de s’être « introduite de force », « à l’insu » du Rassemblement national et de sa sécurité à l’intérieur de l’église. Des accusations que Le Monde conteste formellement.
Un député attise la haine
Une plainte déposée, Le Monde solidaire
Face à ce déferlement de haine, Ivanne Trippenbach a décidé de saisir la justice. Elle a déposé plainte auprès du Pôle national de lutte contre la haine en ligne, visant le député mais aussi d’autres comptes sur les réseaux sociaux. Le Monde a indiqué être « pleinement associé à cette démarche », apportant tout son soutien à sa journaliste.
Il n’y a aucun appel à harcèlement, menace ou quoi que ce soit
Alexandre Allegret-Pilot, se défendant des accusations
De son côté, le député mis en cause se défend de tout appel à la haine. « Il n’y a aucun appel à harcèlement, menace ou quoi que ce soit », affirme-t-il, précisant avoir lui-même déposé plainte contre la journaliste pour des « articles extrêmement diffamatoires » à son encontre. Affaire à suivre…
Les journalistes, cibles récurrentes
Ce cas n’est malheureusement pas isolé. Les journalistes sont de plus en plus la cible de campagnes de harcèlement, notamment sur les réseaux sociaux, visant à les intimider et les faire taire. Un phénomène inquiétant qui met en péril :
- L’indépendance de la presse
- La liberté d’informer
- La sécurité des journalistes
Il est urgent que des mesures soient prises pour mieux protéger les journalistes et sanctionner fermement ceux qui les harcèlent ou les menacent. C’est une question de démocratie.
La responsabilité des élus pointée du doigt
Au-delà des anonymes haineux sur internet, cette affaire montre aussi la responsabilité de certains élus qui, par leurs propos, peuvent attiser la haine contre les journalistes. Un député n’a pas à lancer ce genre d' »appel » contre une reporter qui ne fait que son travail. C’est une ligne rouge qui ne doit pas être franchie.
Espérons que la justice fera toute la lumière sur cette affaire et qu’elle contribuera à rappeler l’importance cruciale de la liberté de la presse et de la protection des journalistes. Un combat de tous les jours, plus que jamais d’actualité, pour la défense de nos démocraties.
Une plainte déposée, Le Monde solidaire
Face à ce déferlement de haine, Ivanne Trippenbach a décidé de saisir la justice. Elle a déposé plainte auprès du Pôle national de lutte contre la haine en ligne, visant le député mais aussi d’autres comptes sur les réseaux sociaux. Le Monde a indiqué être « pleinement associé à cette démarche », apportant tout son soutien à sa journaliste.
Il n’y a aucun appel à harcèlement, menace ou quoi que ce soit
Alexandre Allegret-Pilot, se défendant des accusations
De son côté, le député mis en cause se défend de tout appel à la haine. « Il n’y a aucun appel à harcèlement, menace ou quoi que ce soit », affirme-t-il, précisant avoir lui-même déposé plainte contre la journaliste pour des « articles extrêmement diffamatoires » à son encontre. Affaire à suivre…
Les journalistes, cibles récurrentes
Ce cas n’est malheureusement pas isolé. Les journalistes sont de plus en plus la cible de campagnes de harcèlement, notamment sur les réseaux sociaux, visant à les intimider et les faire taire. Un phénomène inquiétant qui met en péril :
- L’indépendance de la presse
- La liberté d’informer
- La sécurité des journalistes
Il est urgent que des mesures soient prises pour mieux protéger les journalistes et sanctionner fermement ceux qui les harcèlent ou les menacent. C’est une question de démocratie.
La responsabilité des élus pointée du doigt
Au-delà des anonymes haineux sur internet, cette affaire montre aussi la responsabilité de certains élus qui, par leurs propos, peuvent attiser la haine contre les journalistes. Un député n’a pas à lancer ce genre d' »appel » contre une reporter qui ne fait que son travail. C’est une ligne rouge qui ne doit pas être franchie.
Espérons que la justice fera toute la lumière sur cette affaire et qu’elle contribuera à rappeler l’importance cruciale de la liberté de la presse et de la protection des journalistes. Un combat de tous les jours, plus que jamais d’actualité, pour la défense de nos démocraties.
Mais le plus choquant reste les propos tenus par Alexandre Allegret-Pilot, député UDR. Sur Twitter, il a posté au sujet de la journaliste : « Lâchez-vous. Qui vit par l’épée périra par l’épée ». Un appel à la haine qui n’est pas passé inaperçu. Aurélien Rousseau, député Place publique, a dénoncé « un appel visant à exciter la meute. On ne sait jamais comment finissent ce type de cris de haine ».
Une plainte déposée, Le Monde solidaire
Face à ce déferlement de haine, Ivanne Trippenbach a décidé de saisir la justice. Elle a déposé plainte auprès du Pôle national de lutte contre la haine en ligne, visant le député mais aussi d’autres comptes sur les réseaux sociaux. Le Monde a indiqué être « pleinement associé à cette démarche », apportant tout son soutien à sa journaliste.
Il n’y a aucun appel à harcèlement, menace ou quoi que ce soit
Alexandre Allegret-Pilot, se défendant des accusations
De son côté, le député mis en cause se défend de tout appel à la haine. « Il n’y a aucun appel à harcèlement, menace ou quoi que ce soit », affirme-t-il, précisant avoir lui-même déposé plainte contre la journaliste pour des « articles extrêmement diffamatoires » à son encontre. Affaire à suivre…
Les journalistes, cibles récurrentes
Ce cas n’est malheureusement pas isolé. Les journalistes sont de plus en plus la cible de campagnes de harcèlement, notamment sur les réseaux sociaux, visant à les intimider et les faire taire. Un phénomène inquiétant qui met en péril :
- L’indépendance de la presse
- La liberté d’informer
- La sécurité des journalistes
Il est urgent que des mesures soient prises pour mieux protéger les journalistes et sanctionner fermement ceux qui les harcèlent ou les menacent. C’est une question de démocratie.
La responsabilité des élus pointée du doigt
Au-delà des anonymes haineux sur internet, cette affaire montre aussi la responsabilité de certains élus qui, par leurs propos, peuvent attiser la haine contre les journalistes. Un député n’a pas à lancer ce genre d' »appel » contre une reporter qui ne fait que son travail. C’est une ligne rouge qui ne doit pas être franchie.
Espérons que la justice fera toute la lumière sur cette affaire et qu’elle contribuera à rappeler l’importance cruciale de la liberté de la presse et de la protection des journalistes. Un combat de tous les jours, plus que jamais d’actualité, pour la défense de nos démocraties.
Mais le plus choquant reste les propos tenus par Alexandre Allegret-Pilot, député UDR. Sur Twitter, il a posté au sujet de la journaliste : « Lâchez-vous. Qui vit par l’épée périra par l’épée ». Un appel à la haine qui n’est pas passé inaperçu. Aurélien Rousseau, député Place publique, a dénoncé « un appel visant à exciter la meute. On ne sait jamais comment finissent ce type de cris de haine ».
Une plainte déposée, Le Monde solidaire
Face à ce déferlement de haine, Ivanne Trippenbach a décidé de saisir la justice. Elle a déposé plainte auprès du Pôle national de lutte contre la haine en ligne, visant le député mais aussi d’autres comptes sur les réseaux sociaux. Le Monde a indiqué être « pleinement associé à cette démarche », apportant tout son soutien à sa journaliste.
Il n’y a aucun appel à harcèlement, menace ou quoi que ce soit
Alexandre Allegret-Pilot, se défendant des accusations
De son côté, le député mis en cause se défend de tout appel à la haine. « Il n’y a aucun appel à harcèlement, menace ou quoi que ce soit », affirme-t-il, précisant avoir lui-même déposé plainte contre la journaliste pour des « articles extrêmement diffamatoires » à son encontre. Affaire à suivre…
Les journalistes, cibles récurrentes
Ce cas n’est malheureusement pas isolé. Les journalistes sont de plus en plus la cible de campagnes de harcèlement, notamment sur les réseaux sociaux, visant à les intimider et les faire taire. Un phénomène inquiétant qui met en péril :
- L’indépendance de la presse
- La liberté d’informer
- La sécurité des journalistes
Il est urgent que des mesures soient prises pour mieux protéger les journalistes et sanctionner fermement ceux qui les harcèlent ou les menacent. C’est une question de démocratie.
La responsabilité des élus pointée du doigt
Au-delà des anonymes haineux sur internet, cette affaire montre aussi la responsabilité de certains élus qui, par leurs propos, peuvent attiser la haine contre les journalistes. Un député n’a pas à lancer ce genre d' »appel » contre une reporter qui ne fait que son travail. C’est une ligne rouge qui ne doit pas être franchie.
Espérons que la justice fera toute la lumière sur cette affaire et qu’elle contribuera à rappeler l’importance cruciale de la liberté de la presse et de la protection des journalistes. Un combat de tous les jours, plus que jamais d’actualité, pour la défense de nos démocraties.