Dans un contexte d’instabilité chronique et d’une violence croissante des groupes armés en Haïti, l’Union européenne a décidé de passer à l’action. Selon une source diplomatique, le Conseil de l’UE a adopté lundi des sanctions ciblées contre trois puissants chefs de gangs haïtiens, une décision aussitôt saluée par la France qui dit en être à l’initiative.
Un gel des avoirs et une interdiction de voyager dans l’UE
Les sanctions européennes, qui «envoient un signal de fermeté de l’Union européenne» d’après Paris, consistent en un gel des avoirs détenus dans l’UE par les individus visés, ainsi qu’une interdiction de voyager sur le territoire de l’Union. Une mesure forte prise «au vu de l’escalade de la violence des gangs, des violations graves et incessantes des droits de l’homme commises par les gangs dans le pays et de l’impunité persistante des auteurs de ces actes», a précisé le Conseil dans un communiqué.
Jonel Catel, Gabriel Jean-Pierre et Ferdens Tilus dans le viseur
Dans ce contexte, la France apparaît particulièrement mobilisée. Paris, qui dit être à l’initiative de ces sanctions européennes, entretient des liens historiques avec son ancienne colonie. Une implication qui s’inscrit aussi dans le cadre de la politique étrangère française, traditionnellement active dans la région des Caraïbes.
Reste à voir si ces mesures suffiront à infléchir la dynamique de violence en Haïti. Si elles constituent indéniablement un signal fort, elles ne s’attaquent pas aux racines profondes de l’instabilité chronique qui mine le pays depuis des décennies. Un défi immense qui nécessitera une mobilisation de long terme de la communauté internationale, au-delà des sanctions ciblées.
Dans ce contexte, la France apparaît particulièrement mobilisée. Paris, qui dit être à l’initiative de ces sanctions européennes, entretient des liens historiques avec son ancienne colonie. Une implication qui s’inscrit aussi dans le cadre de la politique étrangère française, traditionnellement active dans la région des Caraïbes.
Reste à voir si ces mesures suffiront à infléchir la dynamique de violence en Haïti. Si elles constituent indéniablement un signal fort, elles ne s’attaquent pas aux racines profondes de l’instabilité chronique qui mine le pays depuis des décennies. Un défi immense qui nécessitera une mobilisation de long terme de la communauté internationale, au-delà des sanctions ciblées.
Haïti est depuis des décennies en proie à une instabilité politique chronique et, ces derniers mois, à une violence croissante des groupes armés. Malgré l’arrivée au pouvoir d’un nouveau Premier ministre en novembre, Alix Didier Fils-Aimé, et le déploiement cet été d’une mission multinationale d’appui à la police haïtienne, menée par le Kenya et soutenue par l’ONU et les États-Unis, les violences ne faiblissent pas.
Au moins 184 personnes ont été tuées les 7 et 8 décembre dans l’agglomération de Port-au-Prince, lors d’exactions ordonnées par un « puissant chef de gang » contre des « pratiquants du culte vaudou ».
– Source onusienne
Cette escalade meurtrière illustre la spirale de violence dans laquelle s’enfonce Haïti, livrée aux gangs qui contrôlent une grande partie du territoire. Face à l’impuissance des autorités locales, la communauté internationale tente de réagir, comme en témoignent ces sanctions européennes. Mais beaucoup reste à faire pour ramener la stabilité et la sécurité dans ce pays des Caraïbes profondément meurtri.
La France en première ligne
Dans ce contexte, la France apparaît particulièrement mobilisée. Paris, qui dit être à l’initiative de ces sanctions européennes, entretient des liens historiques avec son ancienne colonie. Une implication qui s’inscrit aussi dans le cadre de la politique étrangère française, traditionnellement active dans la région des Caraïbes.
Reste à voir si ces mesures suffiront à infléchir la dynamique de violence en Haïti. Si elles constituent indéniablement un signal fort, elles ne s’attaquent pas aux racines profondes de l’instabilité chronique qui mine le pays depuis des décennies. Un défi immense qui nécessitera une mobilisation de long terme de la communauté internationale, au-delà des sanctions ciblées.
Haïti est depuis des décennies en proie à une instabilité politique chronique et, ces derniers mois, à une violence croissante des groupes armés. Malgré l’arrivée au pouvoir d’un nouveau Premier ministre en novembre, Alix Didier Fils-Aimé, et le déploiement cet été d’une mission multinationale d’appui à la police haïtienne, menée par le Kenya et soutenue par l’ONU et les États-Unis, les violences ne faiblissent pas.
Au moins 184 personnes ont été tuées les 7 et 8 décembre dans l’agglomération de Port-au-Prince, lors d’exactions ordonnées par un « puissant chef de gang » contre des « pratiquants du culte vaudou ».
– Source onusienne
Cette escalade meurtrière illustre la spirale de violence dans laquelle s’enfonce Haïti, livrée aux gangs qui contrôlent une grande partie du territoire. Face à l’impuissance des autorités locales, la communauté internationale tente de réagir, comme en témoignent ces sanctions européennes. Mais beaucoup reste à faire pour ramener la stabilité et la sécurité dans ce pays des Caraïbes profondément meurtri.
La France en première ligne
Dans ce contexte, la France apparaît particulièrement mobilisée. Paris, qui dit être à l’initiative de ces sanctions européennes, entretient des liens historiques avec son ancienne colonie. Une implication qui s’inscrit aussi dans le cadre de la politique étrangère française, traditionnellement active dans la région des Caraïbes.
Reste à voir si ces mesures suffiront à infléchir la dynamique de violence en Haïti. Si elles constituent indéniablement un signal fort, elles ne s’attaquent pas aux racines profondes de l’instabilité chronique qui mine le pays depuis des décennies. Un défi immense qui nécessitera une mobilisation de long terme de la communauté internationale, au-delà des sanctions ciblées.
Parmi les trois chefs de gangs ciblés figurent Jonel Catel, à la tête du gang Terre Noir, Gabriel Jean-Pierre, chef de la coalition des gangs GPep, et Ferdens Tilus, dirigeant du gang Kokorat San Ras. Ces hommes sont accusés de s’être «livrés à des activités criminelles et à des violences en Haïti impliquant des groupes armés et des réseaux criminels qui encouragent la violence, notamment des vols, des demandes de rançon, des enlèvements, des extorsions, des meurtres et des viols», a détaillé le Conseil.
L’UE prête à envisager des mesures supplémentaires
Face à la gravité de la situation, l’Union européenne s’est dite prête à envisager, si besoin, des «mesures supplémentaires en réponse à la violence persistante qui touche le pays». Un avertissement clair envoyé aux groupes criminels qui sèment le chaos en Haïti.
Un pays en proie à une instabilité chronique
Haïti est depuis des décennies en proie à une instabilité politique chronique et, ces derniers mois, à une violence croissante des groupes armés. Malgré l’arrivée au pouvoir d’un nouveau Premier ministre en novembre, Alix Didier Fils-Aimé, et le déploiement cet été d’une mission multinationale d’appui à la police haïtienne, menée par le Kenya et soutenue par l’ONU et les États-Unis, les violences ne faiblissent pas.
Au moins 184 personnes ont été tuées les 7 et 8 décembre dans l’agglomération de Port-au-Prince, lors d’exactions ordonnées par un « puissant chef de gang » contre des « pratiquants du culte vaudou ».
– Source onusienne
Cette escalade meurtrière illustre la spirale de violence dans laquelle s’enfonce Haïti, livrée aux gangs qui contrôlent une grande partie du territoire. Face à l’impuissance des autorités locales, la communauté internationale tente de réagir, comme en témoignent ces sanctions européennes. Mais beaucoup reste à faire pour ramener la stabilité et la sécurité dans ce pays des Caraïbes profondément meurtri.
La France en première ligne
Dans ce contexte, la France apparaît particulièrement mobilisée. Paris, qui dit être à l’initiative de ces sanctions européennes, entretient des liens historiques avec son ancienne colonie. Une implication qui s’inscrit aussi dans le cadre de la politique étrangère française, traditionnellement active dans la région des Caraïbes.
Reste à voir si ces mesures suffiront à infléchir la dynamique de violence en Haïti. Si elles constituent indéniablement un signal fort, elles ne s’attaquent pas aux racines profondes de l’instabilité chronique qui mine le pays depuis des décennies. Un défi immense qui nécessitera une mobilisation de long terme de la communauté internationale, au-delà des sanctions ciblées.
Parmi les trois chefs de gangs ciblés figurent Jonel Catel, à la tête du gang Terre Noir, Gabriel Jean-Pierre, chef de la coalition des gangs GPep, et Ferdens Tilus, dirigeant du gang Kokorat San Ras. Ces hommes sont accusés de s’être «livrés à des activités criminelles et à des violences en Haïti impliquant des groupes armés et des réseaux criminels qui encouragent la violence, notamment des vols, des demandes de rançon, des enlèvements, des extorsions, des meurtres et des viols», a détaillé le Conseil.
L’UE prête à envisager des mesures supplémentaires
Face à la gravité de la situation, l’Union européenne s’est dite prête à envisager, si besoin, des «mesures supplémentaires en réponse à la violence persistante qui touche le pays». Un avertissement clair envoyé aux groupes criminels qui sèment le chaos en Haïti.
Un pays en proie à une instabilité chronique
Haïti est depuis des décennies en proie à une instabilité politique chronique et, ces derniers mois, à une violence croissante des groupes armés. Malgré l’arrivée au pouvoir d’un nouveau Premier ministre en novembre, Alix Didier Fils-Aimé, et le déploiement cet été d’une mission multinationale d’appui à la police haïtienne, menée par le Kenya et soutenue par l’ONU et les États-Unis, les violences ne faiblissent pas.
Au moins 184 personnes ont été tuées les 7 et 8 décembre dans l’agglomération de Port-au-Prince, lors d’exactions ordonnées par un « puissant chef de gang » contre des « pratiquants du culte vaudou ».
– Source onusienne
Cette escalade meurtrière illustre la spirale de violence dans laquelle s’enfonce Haïti, livrée aux gangs qui contrôlent une grande partie du territoire. Face à l’impuissance des autorités locales, la communauté internationale tente de réagir, comme en témoignent ces sanctions européennes. Mais beaucoup reste à faire pour ramener la stabilité et la sécurité dans ce pays des Caraïbes profondément meurtri.
La France en première ligne
Dans ce contexte, la France apparaît particulièrement mobilisée. Paris, qui dit être à l’initiative de ces sanctions européennes, entretient des liens historiques avec son ancienne colonie. Une implication qui s’inscrit aussi dans le cadre de la politique étrangère française, traditionnellement active dans la région des Caraïbes.
Reste à voir si ces mesures suffiront à infléchir la dynamique de violence en Haïti. Si elles constituent indéniablement un signal fort, elles ne s’attaquent pas aux racines profondes de l’instabilité chronique qui mine le pays depuis des décennies. Un défi immense qui nécessitera une mobilisation de long terme de la communauté internationale, au-delà des sanctions ciblées.