Le temps presse pour l’Olympique de Marseille. Après un nul frustrant face à Angers et une défaite inquiétante à Strasbourg, les hommes de Roberto De Zerbi doivent impérativement renouer avec la victoire ce dimanche au Stade de la Mosson face à Montpellier. Un match crucial pour ne pas laisser filer le peloton de tête en championnat. Et pour cette rencontre, l’entraîneur marseillais pourrait bien opérer quelques changements tactiques majeurs.
L’heure du 4-3-3 avec Rabiot en sentinelle ?
Selon nos informations, Roberto De Zerbi réfléchirait sérieusement à aligner son équipe en 4-3-3 face aux Héraultais, avec une sentinelle devant la défense. Un poste qui semble taillé pour Adrien Rabiot, actuellement en pleine bourre avec la Juventus. Le milieu français apporterait toute son expérience et sa qualité de passe pour orienter le jeu marseillais.
Rabiot a le profil idéal pour ce rôle. Il peut casser les lignes par la passe et sa vista permettrait de lancer rapidement les attaquants.
Une source proche du club
Un trio offensif Ünder-Harit-Malinovskyi
Avec ce nouveau système en 4-3-3, Cengiz Ünder et Amine Harit pourraient être alignés sur les ailes, de part et d’autre de Ruslan Malinovskyi en pointe. Un trio offensif mobile et percutant, capable de faire des différences en un contre un. De quoi profiter des longs ballons distillés par Rabiot depuis le milieu.
Guendouzi et Veretout pour l’impact physique
Aux côtés de Rabiot, Mattéo Guendouzi et Jordan Veretout pourraient être alignés dans un registre plus travailleur. Les deux milieux auraient pour mission d’imposer un gros pressing, de gratter des ballons et de percuter vers l’avant. Un duo box-to-box qui collerait parfaitement avec la philosophie de jeu prônée par De Zerbi depuis son arrivée.
Gigot et Balerdi, une charnière à sécuriser
Défensivement, les absences de Chancel Mbemba et d’Eric Bailly devraient contraindre De Zerbi à aligner Samuel Gigot et Leonardo Balerdi en charnière centrale. Un duo qui avait montré quelques limites sur les dernières rencontres. Il faudra donc les mettre dans les meilleures dispositions, avec des latéraux capables d’apporter le surnombre comme Jonathan Clauss et Nuno Tavares.
Blanco pour parer au plus pressé
Enfin, dans les buts, Ruben Blanco devrait enchaîner une deuxième titularisation consécutive, en l’absence de Pau Lopez blessé. L’Espagnol avait été précieux face à Angers et aura à cœur de réitérer une prestation solide pour convaincre son coach.
Reste à savoir si ces changements tactiques suffiront pour relancer l’OM. Les Marseillais n’auront en tout cas pas le droit à l’erreur face à des Montpelliérains qui restent sur quatre matchs sans défaite. Un bon test pour jauger la capacité de réaction des joueurs olympiens. Et pour Roberto De Zerbi de montrer toute l’étendue de sa science tactique.
Aux côtés de Rabiot, Mattéo Guendouzi et Jordan Veretout pourraient être alignés dans un registre plus travailleur. Les deux milieux auraient pour mission d’imposer un gros pressing, de gratter des ballons et de percuter vers l’avant. Un duo box-to-box qui collerait parfaitement avec la philosophie de jeu prônée par De Zerbi depuis son arrivée.
Gigot et Balerdi, une charnière à sécuriser
Défensivement, les absences de Chancel Mbemba et d’Eric Bailly devraient contraindre De Zerbi à aligner Samuel Gigot et Leonardo Balerdi en charnière centrale. Un duo qui avait montré quelques limites sur les dernières rencontres. Il faudra donc les mettre dans les meilleures dispositions, avec des latéraux capables d’apporter le surnombre comme Jonathan Clauss et Nuno Tavares.
Blanco pour parer au plus pressé
Enfin, dans les buts, Ruben Blanco devrait enchaîner une deuxième titularisation consécutive, en l’absence de Pau Lopez blessé. L’Espagnol avait été précieux face à Angers et aura à cœur de réitérer une prestation solide pour convaincre son coach.
Reste à savoir si ces changements tactiques suffiront pour relancer l’OM. Les Marseillais n’auront en tout cas pas le droit à l’erreur face à des Montpelliérains qui restent sur quatre matchs sans défaite. Un bon test pour jauger la capacité de réaction des joueurs olympiens. Et pour Roberto De Zerbi de montrer toute l’étendue de sa science tactique.