La Maison Blanche de Donald Trump vient de subir son premier grand revers. Alors que le président élu s’activait depuis deux semaines pour placer ses fidèles à des postes clés, c’est le très controversé Matt Gaetz qui a jeté l’éponge. L’élu républicain de Floride, choisi pour prendre les rênes du stratégique ministère de la Justice, a finalement renoncé, sonnant comme un coup de tonnerre à Washington.
Le pari risqué de Trump sur Gaetz
En désignant Matt Gaetz comme son futur ministre de la Justice, Donald Trump savait qu’il prenait un pari risqué. Le jeune élu, connu pour ses positions clivantes et son manque d’expérience juridique, figurait parmi les nominations les plus explosives révélées par le président élu. Trump misait sur la loyauté de ce fervent supporter, quitte à provoquer une levée de boucliers.
Mais la controverse entourant Gaetz, déjà visé par une enquête de la Chambre des représentants pour des faits présumés d’infractions sexuelles, a rapidement rattrapé la future administration. Face au tollé, le Floridien a préféré jeter l’éponge, expliquant que sa confirmation au Sénat risquait de virer à “une bagarre inutilement prolongée à Washington”. Un retrait en orme d’aveu d’échec pour Trump, qui voit l’un de ses choix les plus symboliques partir en fumée.
Les autres nominations polémiques en sursis
Au-delà de Gaetz, c’est toute une série de nominations fracassantes imaginées par Trump qui pourraient vaciller. Pete Hegseth, l’ex-militaire aux tatouages évoquant les Croisades pressenti pour la Défense, ou encore l’ancienne démocrate Tulsi Gabbard, soupçonnée de sympathies pro-russes, incarnent eux aussi des choix contestés qui sèment le trouble.
Selon des sources proches, certains sénateurs républicains, échaudés par le cas Gaetz, s’interrogent désormais ouvertement sur plusieurs de ces profils atypiques. Ils craignent que les futures auditions de confirmation ne tournent au chemin de croix, hypothéquant les cent premiers jours du mandat Trump.
L’ombre des accusations contre Gaetz
Si Matt Gaetz a préféré se retirer, c’est aussi parce que le spectre des accusations portées contre lui devenait de plus en plus menaçant. Visé depuis 2021 par une enquête portant sur des faits présumés de prostitution et de consommation de drogues, le Floridien avait bénéficié d’un classement sans suite d’une enquête fédérale. Mais l’enquête interne de la Chambre, elle, n’était pas abandonnée.
Les récentes fuites dans la presse évoquant les témoignages accablants et les documents compromettants recueillis par la commission d’éthique ont précipité le retrait de Gaetz, soucieux d’éviter que le contenu explosif du rapport ne soit transmis au Sénat. Un signe que les casseroles de l’élu pourraient bien le rattraper, même en dehors de Washington.
Trump dos au mur pour la Justice
Avec ce retrait surprise, Donald Trump se retrouve dos au mur pour le ministère de la Justice, un portefeuille particulièrement sensible qu’il jugeait prioritaire de verrouiller avec un fidèle. Le temps presse désormais pour le président élu qui doit trouver un nouveau nom, suffisamment loyal pour reprendre en main un ministère jugé hostile, mais assez consensuel pour avoir une chance d’être confirmé par le Sénat.
Selon les bruits de couloir à Mar-a-Lago, le nouveau QG de Trump en Floride, plusieurs proches comme l’incontournable Lindsey Graham auraient déjà soufflé des noms pour succéder à Gaetz. Mais aucun ne ferait pour l’instant l’unanimité. Un casse-tête de plus pour le président qui rêvait d’une transition en fanfare. Avec ce premier couac majeur, Donald Trump réalise peut-être que le chemin vers la reconquête de la Maison Blanche s’annonce plus périlleux que prévu.
Selon des sources proches, certains sénateurs républicains, échaudés par le cas Gaetz, s’interrogent désormais ouvertement sur plusieurs de ces profils atypiques. Ils craignent que les futures auditions de confirmation ne tournent au chemin de croix, hypothéquant les cent premiers jours du mandat Trump.
L’ombre des accusations contre Gaetz
Si Matt Gaetz a préféré se retirer, c’est aussi parce que le spectre des accusations portées contre lui devenait de plus en plus menaçant. Visé depuis 2021 par une enquête portant sur des faits présumés de prostitution et de consommation de drogues, le Floridien avait bénéficié d’un classement sans suite d’une enquête fédérale. Mais l’enquête interne de la Chambre, elle, n’était pas abandonnée.
Les récentes fuites dans la presse évoquant les témoignages accablants et les documents compromettants recueillis par la commission d’éthique ont précipité le retrait de Gaetz, soucieux d’éviter que le contenu explosif du rapport ne soit transmis au Sénat. Un signe que les casseroles de l’élu pourraient bien le rattraper, même en dehors de Washington.
Trump dos au mur pour la Justice
Avec ce retrait surprise, Donald Trump se retrouve dos au mur pour le ministère de la Justice, un portefeuille particulièrement sensible qu’il jugeait prioritaire de verrouiller avec un fidèle. Le temps presse désormais pour le président élu qui doit trouver un nouveau nom, suffisamment loyal pour reprendre en main un ministère jugé hostile, mais assez consensuel pour avoir une chance d’être confirmé par le Sénat.
Selon les bruits de couloir à Mar-a-Lago, le nouveau QG de Trump en Floride, plusieurs proches comme l’incontournable Lindsey Graham auraient déjà soufflé des noms pour succéder à Gaetz. Mais aucun ne ferait pour l’instant l’unanimité. Un casse-tête de plus pour le président qui rêvait d’une transition en fanfare. Avec ce premier couac majeur, Donald Trump réalise peut-être que le chemin vers la reconquête de la Maison Blanche s’annonce plus périlleux que prévu.