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Réforme Constitutionnelle au Venezuela : Un Nouvel État à l’Horizon

Le président Maduro lance une réforme constitutionnelle pour un "État nouveau" au Venezuela, sur fond de controverse post-électorale. Une commission présidée par le procureur général est chargée de mener à bien ce projet qui suscite des inquiétudes dans l'opposition. Vers un changement majeur du système politique vénézuélien ?

En pleine controverse post-électorale, le président vénézuélien Nicolas Maduro vient d’annoncer le lancement d’un vaste projet de réforme constitutionnelle. L’objectif affiché : créer un « État nouveau » pour redéfinir en profondeur le visage politique, institutionnel et économique du pays. Une commission ad hoc présidée par le procureur général a été mise en place pour piloter ce chantier qui s’annonce déjà bouleversant et polémique.

Un projet de réforme sur fond de tensions politiques

L’annonce de cette réforme constitutionnelle intervient dans un contexte politique très tendu au Venezuela. Nicolas Maduro, qui vient d’être investi pour un troisième mandat présidentiel, fait face à une opposition qui conteste toujours les résultats de l’élection de juillet dernier. Selon des sources proches de l’opposition, leur candidat Edmundo Gonzalez Urrutia aurait en réalité obtenu plus de 67% des voix, contre 52% attribués à Maduro par le Conseil national électoral.

Malgré ces controverses, le chef de l’État vénézuélien a décidé d’aller de l’avant avec son projet de réforme constitutionnelle. Lors de son discours annuel devant l’Assemblée nationale, il a déclaré vouloir « construire un État nouveau » en redéfinissant le profil culturel et institutionnel de la société vénézuélienne. Il a également évoqué la mise en place d’un « système de gouvernement communal » pour la période 2025-2031.

Une commission présidée par le procureur général

Pour mener à bien cette réforme, une commission spéciale a été créée. Elle sera présidée par le procureur général Tarek William Saab, qui avait déjà participé à la rédaction de la Constitution de 1999 sous Hugo Chavez. La vice-présidente Delcy Rodriguez et la Première Dame Cilia Flores font également partie de cette commission.

L’opposition craint un durcissement du régime

Du côté de l’opposition, cette annonce suscite de vives inquiétudes. Beaucoup y voient un moyen pour Maduro de renforcer encore davantage son emprise sur le pays, en retirant des pouvoirs aux élus locaux comme les gouverneurs et les maires. La promesse d’un « système de gouvernement communal » pour « gouverner avec le peuple » est perçue comme un leurre.

Ces craintes sont alimentées par l’adoption ces derniers mois de plusieurs lois « antifascistes » ou « anti-corruption », jugées liberticides par l’opposition. Certains redoutent qu’elles ne servent de prétexte pour arrêter des opposants critiques du pouvoir en place.

Le régime vénézuélien est chaque jour plus seul, mais pas moins dangereux pour autant.

Edmundo Gonzalez Urrutia, opposant vénézuélien en exil

Pour l’opposant Edmundo Gonzalez Urrutia, actuellement en tournée à l’étranger pour chercher des soutiens, « le régime vénézuélien est chaque jour plus seul, mais pas moins dangereux pour autant ». Il rappelle que la répression des manifestations après l’élection de juillet a fait 28 morts, environ 200 blessés et conduit à plus de 2400 arrestations.

Un pays toujours plus isolé sur la scène internationale

Au-delà des fractures internes, le Venezuela apparaît également de plus en plus isolé sur la scène internationale. La réélection de Nicolas Maduro n’a été reconnue que par une poignée de pays alliés comme Cuba, la Chine ou la Russie. Une grande partie de la communauté internationale considère ce scrutin comme non-démocratique et illégitime.

Dans ce contexte, il reste à voir quel sera l’impact réel de cette réforme constitutionnelle, et si elle permettra réellement de construire un « État nouveau » apaisé et rassemblé comme le promet Nicolas Maduro. Beaucoup craignent au contraire qu’elle n’exacerbe encore davantage les tensions et les divisions dans un pays miné par une profonde crise politique, économique et sociale.

L’opposition craint un durcissement du régime

Du côté de l’opposition, cette annonce suscite de vives inquiétudes. Beaucoup y voient un moyen pour Maduro de renforcer encore davantage son emprise sur le pays, en retirant des pouvoirs aux élus locaux comme les gouverneurs et les maires. La promesse d’un « système de gouvernement communal » pour « gouverner avec le peuple » est perçue comme un leurre.

Ces craintes sont alimentées par l’adoption ces derniers mois de plusieurs lois « antifascistes » ou « anti-corruption », jugées liberticides par l’opposition. Certains redoutent qu’elles ne servent de prétexte pour arrêter des opposants critiques du pouvoir en place.

Le régime vénézuélien est chaque jour plus seul, mais pas moins dangereux pour autant.

Edmundo Gonzalez Urrutia, opposant vénézuélien en exil

Pour l’opposant Edmundo Gonzalez Urrutia, actuellement en tournée à l’étranger pour chercher des soutiens, « le régime vénézuélien est chaque jour plus seul, mais pas moins dangereux pour autant ». Il rappelle que la répression des manifestations après l’élection de juillet a fait 28 morts, environ 200 blessés et conduit à plus de 2400 arrestations.

Un pays toujours plus isolé sur la scène internationale

Au-delà des fractures internes, le Venezuela apparaît également de plus en plus isolé sur la scène internationale. La réélection de Nicolas Maduro n’a été reconnue que par une poignée de pays alliés comme Cuba, la Chine ou la Russie. Une grande partie de la communauté internationale considère ce scrutin comme non-démocratique et illégitime.

Dans ce contexte, il reste à voir quel sera l’impact réel de cette réforme constitutionnelle, et si elle permettra réellement de construire un « État nouveau » apaisé et rassemblé comme le promet Nicolas Maduro. Beaucoup craignent au contraire qu’elle n’exacerbe encore davantage les tensions et les divisions dans un pays miné par une profonde crise politique, économique et sociale.

Aucun calendrier précis n’a pour l’instant été communiqué, mais le texte de la réforme devrait in fine être soumis à référendum. Les contours exacts de la réforme restent encore flous, Maduro n’ayant pas donné de détails sur les changements envisagés. Il a simplement indiqué vouloir « élargir la démocratie » et « poser les bases d’une économie nouvelle, auto-suffisante et diversifiée ».

L’opposition craint un durcissement du régime

Du côté de l’opposition, cette annonce suscite de vives inquiétudes. Beaucoup y voient un moyen pour Maduro de renforcer encore davantage son emprise sur le pays, en retirant des pouvoirs aux élus locaux comme les gouverneurs et les maires. La promesse d’un « système de gouvernement communal » pour « gouverner avec le peuple » est perçue comme un leurre.

Ces craintes sont alimentées par l’adoption ces derniers mois de plusieurs lois « antifascistes » ou « anti-corruption », jugées liberticides par l’opposition. Certains redoutent qu’elles ne servent de prétexte pour arrêter des opposants critiques du pouvoir en place.

Le régime vénézuélien est chaque jour plus seul, mais pas moins dangereux pour autant.

Edmundo Gonzalez Urrutia, opposant vénézuélien en exil

Pour l’opposant Edmundo Gonzalez Urrutia, actuellement en tournée à l’étranger pour chercher des soutiens, « le régime vénézuélien est chaque jour plus seul, mais pas moins dangereux pour autant ». Il rappelle que la répression des manifestations après l’élection de juillet a fait 28 morts, environ 200 blessés et conduit à plus de 2400 arrestations.

Un pays toujours plus isolé sur la scène internationale

Au-delà des fractures internes, le Venezuela apparaît également de plus en plus isolé sur la scène internationale. La réélection de Nicolas Maduro n’a été reconnue que par une poignée de pays alliés comme Cuba, la Chine ou la Russie. Une grande partie de la communauté internationale considère ce scrutin comme non-démocratique et illégitime.

Dans ce contexte, il reste à voir quel sera l’impact réel de cette réforme constitutionnelle, et si elle permettra réellement de construire un « État nouveau » apaisé et rassemblé comme le promet Nicolas Maduro. Beaucoup craignent au contraire qu’elle n’exacerbe encore davantage les tensions et les divisions dans un pays miné par une profonde crise politique, économique et sociale.

Aucun calendrier précis n’a pour l’instant été communiqué, mais le texte de la réforme devrait in fine être soumis à référendum. Les contours exacts de la réforme restent encore flous, Maduro n’ayant pas donné de détails sur les changements envisagés. Il a simplement indiqué vouloir « élargir la démocratie » et « poser les bases d’une économie nouvelle, auto-suffisante et diversifiée ».

L’opposition craint un durcissement du régime

Du côté de l’opposition, cette annonce suscite de vives inquiétudes. Beaucoup y voient un moyen pour Maduro de renforcer encore davantage son emprise sur le pays, en retirant des pouvoirs aux élus locaux comme les gouverneurs et les maires. La promesse d’un « système de gouvernement communal » pour « gouverner avec le peuple » est perçue comme un leurre.

Ces craintes sont alimentées par l’adoption ces derniers mois de plusieurs lois « antifascistes » ou « anti-corruption », jugées liberticides par l’opposition. Certains redoutent qu’elles ne servent de prétexte pour arrêter des opposants critiques du pouvoir en place.

Le régime vénézuélien est chaque jour plus seul, mais pas moins dangereux pour autant.

Edmundo Gonzalez Urrutia, opposant vénézuélien en exil

Pour l’opposant Edmundo Gonzalez Urrutia, actuellement en tournée à l’étranger pour chercher des soutiens, « le régime vénézuélien est chaque jour plus seul, mais pas moins dangereux pour autant ». Il rappelle que la répression des manifestations après l’élection de juillet a fait 28 morts, environ 200 blessés et conduit à plus de 2400 arrestations.

Un pays toujours plus isolé sur la scène internationale

Au-delà des fractures internes, le Venezuela apparaît également de plus en plus isolé sur la scène internationale. La réélection de Nicolas Maduro n’a été reconnue que par une poignée de pays alliés comme Cuba, la Chine ou la Russie. Une grande partie de la communauté internationale considère ce scrutin comme non-démocratique et illégitime.

Dans ce contexte, il reste à voir quel sera l’impact réel de cette réforme constitutionnelle, et si elle permettra réellement de construire un « État nouveau » apaisé et rassemblé comme le promet Nicolas Maduro. Beaucoup craignent au contraire qu’elle n’exacerbe encore davantage les tensions et les divisions dans un pays miné par une profonde crise politique, économique et sociale.

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