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Récidive et impunité : le fléau des criminels étrangers relâchés

Alors qu'il était recherché pour viol, un migrant algérien a été interpellé après une série de cambriolages en Seine-et-Marne malgré 13 passages devant la justice et des OQTF jamais appliquées depuis son arrivée en France en 2023. Un cas emblématique du laxisme judiciaire face aux criminels étrangers.

Un fait divers révélateur vient de se produire en Seine-et-Marne, mettant en lumière l’impuissance de la justice face à la criminalité étrangère. Un migrant algérien de 30 ans, connu pour de multiples méfaits, a encore frappé et cela malgré 13 passages devant les tribunaux et plusieurs obligations de quitter le territoire français (OQTF) prononcées à son encontre.

Un multirécidiviste jamais expulsé

Arrivé en France en 2023, ce ressortissant algérien totalise déjà un lourd casier judiciaire en seulement un an et demi sur le territoire national. Convoqué à 11 reprises devant la justice, il a fait l’objet de plusieurs OQTF qui n’ont jamais été appliquées, lui permettant de poursuivre en toute impunité ses activités délictueuses.

Cette nouvelle interpellation fait suite à une série de cambriolages commis boulevard Aristide-Briand à Melun. Mais plus grave encore, cet individu était parallèlement recherché pour viol. Une accumulation d’infractions criminelles qui pose la question de la fermeté de la réponse pénale face à ces délinquants étrangers en situation irrégulière.

Une menace récurrente pour la sécurité des Français

Malheureusement, ce type de profil criminel importé n’est pas un cas isolé. De nombreux faits divers impliquant des migrants aux multiples antécédents judiciaires défrayent régulièrement la chronique. Ils illustrent l’incapacité des pouvoirs publics à protéger efficacement les citoyens face à cette délinquance venue d’ailleurs.

Selon un rapport du Sénat de 2020, 1% des étrangers en situation irrégulière concentreraient 10% de la criminalité en France. Une surreprésentation inquiétante alimentée par l’inefficacité de la machine à expulser. En 2021, sur 123.537 OQTF prononcées, seules 11% auraient été exécutées selon le ministère de l’Intérieur.

Le laxisme judiciaire en question

Au-delà du manque de moyens pour appliquer ces mesures d’éloignement, c’est bien le laxisme judiciaire qui est pointé du doigt. Interpellations à répétition, comparutions immédiates, peines de prison avec sursis… Rien ne semble freiner ces multirécidivistes qui peuvent compter sur la mansuétude des tribunaux.

À quoi bon prononcer des peines de prison si elles ne sont pas réellement effectuées ? Ces délinquants condamnés à de courtes peines ressortent généralement libres du tribunal.

– Un policier

Face à ce constat d’impuissance, certaines voix s’élèvent pour réclamer un durcissement des sanctions et une politique d’expulsion plus rigoureuse envers les étrangers délinquants. Mais les réticences idéologiques de la classe politique et les entraves procédurales freinent ces velléités de fermeté.

La nécessaire reprise en main de l’immigration

Pour endiguer cette criminalité importée, une vaste refonte de la politique migratoire s’impose. Durcissement des conditions d’entrée et de séjour, application systématique des OQTF, expulsions facilitées… Autant de mesures indispensables pour reprendre le contrôle d’une immigration incontrôlée.

En parallèle, un renforcement des moyens alloués aux forces de l’ordre et à la justice apparaît tout aussi crucial. Car sans cette volonté politique affichée, la lutte contre la récidive des délinquants étrangers restera vaine. Les Français attendent des actes forts pour restaurer leur sécurité mise à mal.

Au final, ce énième fait divers impliquant un migrant multirécidiviste illustre les carences d’un système qui peine à protéger ses citoyens. Il est temps de rompre avec l’angélisme et de s’attaquer résolument aux racines de cette criminalité étrangère pour endiguer son expansion préoccupante dans l’hexagone.

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