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Raphaël Quenard Roi des Laxatifs ? Son Anecdote Hilarante

Imaginez-vous accroupi derrière une fougère en train de « soulager » vos entrailles devant une caméra… C’est exactement le rôle que Raphaël Quenard a failli décrocher pour une pub de laxatifs ! Il raconte tout avec un culot hilarant dans C à vous. Vous allez hurler de rire…

Vous êtes tranquillement installé devant votre télé, et là, bam : un acteur que vous adorez balance une histoire tellement improbable que vous en tombez de votre canapé. C’est exactement ce qui s’est passé vendredi soir dernier avec Raphaël Quenard. Le gars est césarisé, il va incarner Johnny Hallyday au cinéma, et pourtant il assume sans filtre ses débuts… disons… très terre-à-terre. Accrochez-vous, on va vous raconter ça.

Quand Raphaël Quenard se retrouve à jouer le transit intestinal difficile

Invité sur le plateau de C à vous pour présenter l’édition collector de son livre Clamser à Tataouine, Raphaël Quenard s’est fait gentiment chambrer par Mohamed Bouhafsi, qui remplaçait Anne-Élisabeth Lemoine. Le journaliste a ressorti une vieille perle : « Tu as enchaîné les castings foireux au début, non ? » Et là, l’acteur a embrayé direct sur LA publicité qui a marqué sa mémoire… celle pour des laxatifs.

Oui, vous avez bien lu. Des laxatifs. Pas un spot pour parfum ou voiture de luxe. Non. Des médicaments pour… faciliter le transit. Et Raphaël Quenard, avec son franc-parler légendaire, a décrit le scénario du casting comme si c’était hier.

Scène 1 : derrière la fougère, le moment libération

Il commence, deadpan : « D’abord, il y avait une première partie où le protagoniste était tourmenté par ses entrailles. » Traduction : le mec souffre le martyre. Donc il se planque derrière une fougère sur le bas-côté d’un chemin et… il se soulage. Et là, il devait faire un regard caméra apaisé, genre « enfin libre » après la sortie. On vous laisse imaginer la tête du comédien en train de simuler ça en audition.

« Un regard caméra devait retranscrire l’apaisement que procurait la sortie »

Raphaël Quenard, hilare

On plaint presque le directeur de casting qui a dû visionner des dizaines de versions de ce regard post-défécation.

Scène 2 : en scooter, cheveux au vent (et ventre léger)

Mais attendez, ce n’était pas fini. Il y avait une seconde partie : une fois l’affaire réglée, le héros enfourche son scooter, sourire ultra-bright, cheveux au vent, totalement libéré. Raphaël Quenard mime la scène sur le plateau : visage crispé devenu radieux en deux secondes chrono. Le public est plié en quatre, Mohamed Bouhafsi aussi.

Franchement, on aurait payé cher pour voir les rushes de ce casting.

« Je souriais déjà en passant ces castings »

Ce qui rend l’histoire encore plus savoureuse, c’est l’état d’esprit de l’acteur à l’époque. Il ne se prenait pas la tête. Il raconte qu’il rigolait déjà en arrivant à ces auditions complètement barrées. Pour lui, chaque expérience, même la plus improbable, faisait partie du jeu.

Et c’est là que Raphaël Quenard montre toute sa force : il assume à 200 % son parcours atypique. Pas de honte, pas de gêne. Juste de la gratitude et beaucoup d’autodérision.

Il explique d’ailleurs que ces galères des débuts ont renforcé sa motivation. Les courts-métrages, la figuration, les pubs improbables… tout ça a nourri son jeu et son inspiration. « C’est là que tu puises la plus grande inspiration », lâche-t-il, sérieux deux secondes.

De la fougère au César : le parcours d’un ovni du cinéma français

Revenons deux minutes sur le bonhomme. À 34 ans, Raphaël Quenard est partout. Révélé dans Chien de la casse, il enchaîne les rôles forts : Yannick de Quentin Dupieux, Le Comte de Monte-Cristo, et bientôt Johnny Hallyday dans le biopic de Cédric Jimenez. César du meilleur espoir masculin en 2024, il fait partie de cette nouvelle génération qui casse les codes.

Son secret ? Peut-être justement cette capacité à ne jamais se prendre trop au sérieux, tout en travaillant comme un dingue. Il écrit aussi : son livre Clamser à Tataouine est une pépite d’humour absurde et tendre, un peu à son image.

Pourquoi cette anecdote nous fait tant rire (et nous touche)

Parce qu’au fond, derrière le gag, il y a quelque chose de profondément humain. Raphaël Quenard nous rappelle que même les plus grands ont commencé par des jobs ingrats, des castings humiliants, des rôles où on doit faire semblant de faire caca derrière une plante.

Et il le dit sans amertume, avec une liberté totale. C’est rare. Dans un milieu où beaucoup préfèrent effacer leurs débuts « honteux », lui les assume et les transforme en or comique.

Cette anecdote, c’est aussi un message d’espoir pour tous ceux qui galèrent dans l’ombre : oui, on peut passer d’une pub pour laxatifs à un César. Oui, les chemins de traverse mènent parfois très loin.

Les réactions du public et des réseaux

Évidemment, l’extrait a fait le tour des réseaux en quelques heures. Les commentaires fusent :

  • « Je n’ai jamais autant ri devant C à vous »
  • « Raphaël Quenard est un trésor national »
  • « Le regard apaisé après la sortie, je suis mort »
  • « Il faut ABSOLUMENT retrouver cette pub »

Certains internautes jurent même avoir vu la pub en question il y a quelques années… mais personne n’a encore retrouvé la perle rare. Mystère.

Raphaël Quenard, l’antidote à la prise de tête

Dans un monde où tout le monde cherche à briller tout de suite, Raphaël Quenard fait l’effet d’un grand bol d’air (même après laxatifs). Il ne calcule pas, il vit. Il raconte ses galères avec la même énergie qu’il met à parler de ses succès.

Et c’est pour ça qu’on l’aime. Parce qu’il est vrai. Parce qu’il rit de lui avant que les autres le fassent. Parce qu’il transforme une anecdote scatophile en moment de télévision mémorable.

Alors oui, Raphaël Quenard a peut-être failli devenir le roi des laxatifs. Mais aujourd’hui, il est surtout le roi de l’autodérision et de la coolitude à la française.

Et franchement ? On signe pour plus d’histoires comme celle-là.

En résumé : Raphaël Quenard a bien failli tourner une pub où il simulait une defecation libératrice derrière une fougère avant de repartir en scooter, sourire Colgate et ventre léger. Il en rit encore, nous aussi, et c’est tout ce qu’on aime chez lui.

Si vous avez raté l’émission, courez voir l’extrait. Vous ne le regretterez pas. Et qui sait… peut-être qu’un jour, on retrouvera cette fameuse pub. Ce jour-là, on organisera une soirée visionnage collective.

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