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Quelle Époque ! Invités Léa Salamé 20 Septembre 2025

Ce soir, Léa Salamé ouvre les portes de son nouveau talk-show Quelle Époque ! avec un plateau explosif : Dany Boon, Audrey Crespo-Mara en pleine épreuve... Mais qui d'autre rejoindra cette soirée mémorable ? Les surprises ne manquent pas, et l'émotion est au rendez-vous.

Imaginez un samedi soir où l’humour rencontre l’émotion brute, où les rires fusent au milieu de confidences poignantes. C’est exactement ce que promet la nouvelle émission de Léa Salamé sur France 2, un talk-show qui pulse au rythme de notre époque trépidante. Diffusée ce 20 septembre 2025 à partir de 23h25, Quelle époque ! marque un tournant dans la programmation télévisuelle française, avec un plateau qui réunit des figures emblématiques du paysage médiatique et artistique.

Un Nouveau Chapitre pour la Case du Samedi Soir

La case horaire du samedi soir sur France 2 n’est pas n’importe laquelle. Elle a vu défiler des décennies de divertissement intelligent, des échanges acerbes aux moments de complicité inoubliables. Après seize ans à la barre, un animateur légendaire a passé le flambeau, laissant place à une journaliste reconnue pour sa vivacité d’esprit et son engagement. Léa Salamé, avec son parcours forgé dans les arènes du journalisme politique et culturel, relève le défi avec une ambition palpable : créer un espace où le débat se mêle à l’humour, où l’actualité se teinte de satire.

Ce n’est pas une simple transition ; c’est une réinvention. La présentatrice, habituée aux plateaux tendus des grands JT, avoue une certaine appréhension face à cette institution télévisuelle. « C’est une responsabilité citoyenne », confie-t-elle dans une récente entrevue, soulignant le poids de l’héritage des émissions phares qui ont précédé. Pourtant, c’est cette pression qui semble la motiver, transformant chaque numéro en une exploration audacieuse de notre temps.

Il s’agit d’une case historique et culte de France Télévisions, voire une institution. Jeune, j’ai adoré les émissions de Thierry Ardisson. Plus tard, j’ai aimé celles de Laurent Ruquier, où j’ai d’ailleurs eu la chance d’être coprésentatrice l’année dernière.

Léa Salamé

Cette citation révèle une admiration sincère, mais aussi une volonté de tracer sa propre voie. Avec des collaborateurs de choix comme un humoriste aguerri et un chroniqueur au verbe acéré, l’émission s’annonce comme un cocktail détonant. Philippe Caverivière, connu pour ses interventions mordantes, et Paul de Saint-Sernin, maître de la répartie, injecteront une dose d’irrévérence bienvenue dans les discussions sérieuses.

Les Racines d’une Émission Incontournable

Pour comprendre l’enjeu, remontons un peu dans le temps. Les samedis soirs sur cette chaîne publique ont toujours été synonymes de rendez-vous culturel. Des débats enflammés sur la société aux portraits d’artistes qui marquent les esprits, ces programmes ont façonné les habitudes de millions de téléspectateurs. L’arrivée de Léa Salamé n’efface pas cette histoire ; elle l’enrichit d’une perspective plus journalistique, où les questions fusent comme des uppercuts bien placés.

La journaliste, qui a déjà brillé aux côtés de figures emblématiques du petit écran, apporte une touche personnelle. Formée au feu des interviews politiques, elle excelle dans l’art de débusquer l’essentiel derrière les apparences. Ce soir, ce talent sera au service d’un plateau varié, où chaque invité apporte sa pierre à l’édifice d’une soirée mémorable.

  • Une héritage de plus de vingt ans de talk-shows satiriques.
  • Une équipe créative mêlant humour et analyse pointue.
  • Une présentatrice qui allie rigueur et charisme naturel.

Ces éléments combinés promettent une émission qui ne se contente pas de divertir, mais qui interroge, provoque et unit. Dans un monde médiatique saturé, Quelle époque ! se positionne comme un phare d’intelligence ludique.

Les Invités : Un Plateau Étoilé et Émouvant

Ce qui rend ce numéro inaugural si attendu, c’est sans doute sa constellation d’invités. Sept personnalités, chacune avec son univers, se croisent pour une soirée qui s’annonce riche en rebondissements. De la comédie au drame personnel, en passant par la musique et le cinéma, le spectre est large, reflétant la diversité de notre époque.

Parmi eux, une journaliste de renom qui affronte le deuil avec une dignité exemplaire. Audrey Crespo-Mara, pilier du journal télévisé dominical sur une grande chaîne concurrente, rejoint le plateau quelques mois après la perte tragique de son époux, une figure emblématique de la télévision française. Son intervention promet d’être un moment de vulnérabilité partagée, où le rire pourrait bien céder la place à une réflexion profonde sur la résilience.

Audrey Crespo-Mara : Une voix qui porte loin, même dans la tempête. Sa présence ce soir est un témoignage de force, un rappel que derrière les écrans, il y a des vies qui se brisent et se reconstruisent.

À ses côtés, un géant du cinéma français, Dany Boon, illumine l’émission de son énergie contagieuse. L’acteur et réalisateur, qui cartonne actuellement avec son dernier opus Regarde, abordera sans doute les coulisses de ce projet ambitieux. Ce film, où il partage l’écran avec une actrice charismatique comme Audrey Fleurot, explore les thèmes de la perte et de la rédemption, des échos poignants avec l’actualité personnelle de certains invités.

Dany Boon, avec son humour du Nord qui désarme les cœurs, saura sans doute alléger l’atmosphère. Ses anecdotes sur le tournage, ses clins d’œil à une carrière jalonnée de succès – des Ch’tis à ses one-man-shows – promettent des éclats de rire bienvenus. Mais au-delà du spectacle, il incarne cette capacité française à transformer le quotidien en comédie universelle.

La Musique comme Exutoire : Zaz et Son Univers Poétique

Impossible de parler de ce plateau sans évoquer Zaz, l’artiste aux racines folk qui a conquis le monde avec sa voix rauque et ses textes engagés. Ancienne coach dans un concours musical télévisé, elle apporte une touche musicale live qui devrait enflammer le studio. Ce soir, attendez-vous à une performance acoustique qui capture l’essence de son dernier album, un mélange de joie rebelle et de mélancolie douce.

Zaz n’est pas seulement une chanteuse ; elle est une conteuse d’histoires. Ses chansons, imprégnées de rue et de rêves, résonnent particulièrement dans une émission qui se veut miroir de notre société. Imaginez-la interpréter un titre comme Je veux, ce hymne à la liberté qui a marqué une génération, au milieu d’un débat sur les défis contemporains. C’est ce genre de fusion qui rend Quelle époque ! unique.

La musique, c’est mon arme contre l’absurdité du monde. Elle permet de dire ce qu’on n’ose pas toujours en face.

Inspiré des propos de Zaz

Son intervention ne se limitera pas à une chanson ; elle partagera probablement ses engagements écologiques et sociaux, reliant son art à l’actualité brûlante. Dans un contexte où les artistes sont de plus en plus sollicités pour prendre position, Zaz incarne cette génération qui refuse le silence.

Les Nouveaux Visages : Pauline Loquès et Théodore Pellerin

Pour équilibrer ce mélange de générations, le plateau accueille des talents émergents comme Pauline Loquès et Théodore Pellerin. La première, actrice en pleine ascension, a récemment ébloui dans une série dramatique qui explore les fractures familiales modernes. Sa présence apporte une fraîcheur narrative, un regard neuf sur les thèmes qui traversent l’émission.

Théodore Pellerin, quant à lui, venu du cinéma québécois, représente cette vague transatlantique de talents qui enrichit le paysage francophone. Son rôle dans un film récent sur l’identité et la migration a été salué par la critique, et on imagine déjà les échanges passionnés qu’il pourrait avoir avec les vétérans du plateau. Ces jeunes pousses injectent une vitalité indispensable, rappelant que l’avenir de la création artistique est entre de bonnes mains.

  1. Pauline Loquès : Une révélation dans le drame intimiste.
  2. Théodore Pellerin : Le pont entre cultures francophones.
  3. Ensemble, ils symbolisent la relève qui bouscule les codes.

Leur duo promet des perspectives inattendues, des questions sur la place des jeunes dans un monde adulte qui peine à évoluer. C’est ce dialogue intergénérationnel qui fait la force de telles émissions.

Anastasia Fomitchova et The French Touch : L’Art en Mouvement

Le plateau ne serait pas complet sans une touche d’élégance chorégraphique. Anastasia Fomitchova, danseuse étoile internationale, rejoint l’émission pour une démonstration qui allie grâce et puissance. Sa carrière, marquée par des collaborations avec les plus grands ballets, offre un contrepoint artistique aux discussions verbales.

Accompagnée du collectif The French Touch, un groupe de performers qui fusionne danse contemporaine et influences urbaines, elle proposera une séquence visuelle époustouflante. Imaginez des mouvements fluides qui illustrent les tumultes de notre époque : la fluidité des réseaux sociaux, les soubresauts des crises mondiales. C’est une métaphore vivante, un langage du corps qui complète les mots des invités.

ArtisteContributionImpact Émotionnel
Anastasia FomitchovaDanse classique innovanteÉvoque la fragilité humaine
The French TouchFusion hip-hop et contemporainCélèbre la diversité culturelle

Ce tableau résume l’apport de ces artistes : non seulement ils divertissent, mais ils provoquent une réflexion profonde. Dans une émission comme Quelle époque !, où les sens sont sollicités au maximum, ces interventions artistiques sont des joyaux.

Léa Salamé : La Présentatrice sous les Projecteurs

Au cœur de tout cela trône Léa Salamé, dont le parcours est un roman en soi. De ses débuts en radio à la co-animation d’un JT mythique, elle a su naviguer entre politique et culture avec une élégance rare. Récemment, des moments d’émotion l’ont touchée en direct, comme cette séquence où elle a dû annoncer une nouvelle difficile, le regard embué mais la voix ferme.

Ce 20 septembre, elle affronte une autre forme de vulnérabilité : celle de l’hôte qui accueille des âmes blessées et des esprits brillants. Les critiques fusent parfois, accusant une certaine crispation dans ses échanges, mais c’est précisément cette authenticité qui la rend attachante. Face à des audiences impitoyables, elle maintient un équilibre précaire entre empathie et fermeté.

Son interview récente avec une actrice oscarisée a laissé des traces, révélant les coulisses d’un métier où chaque mot compte. Pourtant, c’est cette intensité qui attire : Léa Salamé n’est pas une animatrice lambda ; elle est une conversation vivante, un catalyseur d’idées.

Les Défis d’une Émission Satirique en 2025

En 2025, lancer un talk-show n’est pas une mince affaire. Les plateformes de streaming concurrencent férocement la télévision linéaire, et les attentes du public sont stratosphériques. Quelle époque ! doit non seulement divertir, mais aussi informer et provoquer, dans un climat médiatique polarisé. Léa Salamé et son équipe misent sur l’humour comme antidote, avec des chroniques qui dissèquent l’actualité sans complaisance.

Philippe Caverivière, avec son regard acéré sur les absurdités sociétales, et Paul de Saint-Sernin, dont les punchlines fusent comme des flèches, forment un duo infernal. Leurs interventions, mêlant imitation et analyse, devraient transformer les débats en moments cultes. Mais au-delà du rire, l’émission abordera des thèmes graves : le deuil, la création artistique en temps de crise, la transmission intergénérationnelle.

  • Humour satirique : Pour désamorcer les tensions.
  • Débats engagés : Sur l’écologie, l’identité, la résilience.
  • Performances live : Pour une immersion totale.

Ces piliers structurels assurent une dynamique fluide, évitant les pièges des talk-shows formatés. Dans un monde où l’attention est une denrée rare, cette formule hybride pourrait bien conquérir un public fidèle.

Audrey Crespo-Mara : Un Témoignage de Courage

Revenons sur Audrey Crespo-Mara, dont la venue est sans doute le moment le plus émouvant de la soirée. Perdre un conjoint, surtout une personnalité publique comme Thierry Ardisson, est une épreuve qui transcende le personnel pour devenir collective. La journaliste, habituée à relayer les drames d’autrui, se trouve cette fois au centre de l’ouragan.

Son parcours professionnel est exemplaire : joker au JT du week-end, elle a su se faire une place dans un univers masculin dominé. Ce soir, elle parlera probablement de ce vide immense, mais aussi de la reconstruction. Avec Léa Salamé, connue pour sa sensibilité, l’échange s’annonce comme un duo de femmes fortes, unies par le destin et le métier.

Le deuil n’efface pas les souvenirs ; il les rend plus vifs, plus urgents. C’est dans ces moments que l’on mesure la richesse des liens humains.

Écho aux expériences partagées

Cette intervention pourrait bien marquer les esprits, rappelant que derrière les célébrités, il y a des cœurs qui battent au même rythme que les nôtres. C’est ce réalisme qui ancre Quelle époque ! dans la réalité quotidienne.

Dany Boon et Regarde : Le Cinéma au Cœur du Débat

Dany Boon n’est pas qu’un invité ; il est un phénomène. Son film Regarde, sorti récemment, aborde avec finesse les thèmes de la vue et de la perception, une allégorie parfaite pour une émission qui scrute notre époque. Partenaire d’Audrey Fleurot, dont le rôle de femme forte et complexe ajoute de la profondeur, Boon décortiquera les défis du tournage.

De ses origines modestes à ses triomphes mondiaux, sa trajectoire inspire. Il racontera sans doute comment ce projet personnel est né d’une réflexion sur la perte sensorielle, un écho au deuil d’Audrey Crespo-Mara. Avec son humour signature, il transformera ces confidences en leçons de vie accessibles, prouvant une fois de plus pourquoi il reste un pilier du cinéma comique français.

Le film, salué pour sa direction d’acteurs et sa bande-son envoûtante, s’inscrit dans une vague de productions qui mêlent rire et larmes. Boon, en en parlant, ouvrira la porte à une discussion sur l’industrie cinématographique actuelle : les défis de la post-production, l’impact des festivals, et l’évolution des rôles pour les femmes comme Fleurot.

Zaz : Chanteuse Engagée, Voix de sa Génération

Zaz, de son vrai nom Isabelle Geffroy, est une force de la nature. Issue des rues de Montpellier, elle a gravi les échelons avec une guitare en bandoulière et une rage poétique. Son passage dans The Voice comme coach a révélé son charisme pédagogique, mais c’est sur scène qu’elle brille le plus.

Ce soir, elle chantera probablement un morceau inédit, un texte qui capture l’urgence climatique et sociale. Ses paroles, souvent inspirées de la vie ordinaire, résonnent avec les invités : la résilience de Crespo-Mara, l’optimisme de Boon, la créativité des jeunes talents. Zaz n’est pas là pour décorer ; elle est là pour amplifier les voix marginales.

Ses albums, de Zaz à ses collaborations internationales, tracent un chemin de résistance joyeuse. Dans Quelle époque !, elle incarne l’art comme acte politique.

Son engagement pour l’environnement, porté par des tournées éco-responsables, alimentera un débat plus large sur le rôle des artistes dans la société. Avec des chiffres alarmants sur le réchauffement, Zaz pourrait bien transformer le studio en forum citoyen.

Les Jeunes Talents : Un Avenir Radieux

Pauline Loquès, avec son intensité dramatique, et Théodore Pellerin, porteur d’une sensibilité québécoise, représentent l’avenir. Loquès, vue dans des productions théâtrales avant le petit écran, apporte une profondeur psychologique rare chez les jeunes acteurs. Son rôle dans une série sur les secrets de famille a touché un public large, explorant des thèmes tabous avec nuance.

Pellerin, lui, navigue entre Hollywood et le cinéma d’auteur, son accent charmant masquant une réflexion profonde sur l’exil culturel. Ensemble, ils questionneront l’héritage : comment les aînés comme Boon ou Ardisson ont pavé la voie, et comment la nouvelle génération la redéfinit. Ces échanges, souvent sous-estimés, sont le pouls d’une émission vivante.

Leurs perspectives sur la diversité, l’inclusion, et les défis de la précarité artistique enrichiront le débat. Dans un 2025 marqué par les inégalités, leur voix est essentielle.

Danse et Performance : L’Âme Visuelle de l’Émission

Anastasia Fomitchova, avec sa technique irréprochable, élève l’émission à un niveau artistique supérieur. Formée au Bolchoï, elle a conquis les scènes mondiales par sa versatilité. Ce soir, sa performance solo, peut-être inspirée d’un ballet sur la mémoire, dialoguera avec les thèmes du deuil et de la mémoire.

The French Touch, collectif parisien, apporte l’énergie des rues. Leur style, mélange de breakdance et de contemporain, capture l’hybridité de notre époque. Une chorégraphie collective pourrait illustrer les connexions entre invités : un pas pour le rire de Boon, un saut pour la voix de Zaz.

Ces moments non verbaux sont cruciaux ; ils permettent une pause respiratoire dans le flot des paroles. Dans Quelle époque !, l’art visuel n’est pas accessoire ; il est narratif.

L’Impact Culturel d’une Telle Émission

Quelle époque ! n’est pas qu’un divertissement ; c’est un baromètre culturel. En réunissant ces voix, elle reflète les fractures et les ponts de la France 2025. Le deuil d’une personnalité comme Ardisson questionne notre rapport aux icônes ; les créations de Boon et Zaz, notre besoin d’évasion créative.

Les jeunes talents rappellent l’urgence de la formation artistique, tandis que la danse symbolise la fluidité des identités. Léa Salamé, en orchestrant cela, assume un rôle de passeuse de cultures, un rôle crucial dans un pays divisé.

  • Réflexion sur le deuil public.
  • Célébration de la création multidisciplinaire.
  • Dialogue intergénérationnel fertile.
  • Engagement sociétal via l’humour et l’art.

Cet impact se mesurera aux audiences, mais aussi aux conversations qu’elle génère en ligne et dans les salons. Une émission réussie est celle qui hante, qui inspire.

Derrière les Coulisses : La Pression sur Léa Salamé

Préparer un tel numéro n’est pas de tout repos. Léa Salamé, sous les feux des projecteurs, gère les répétitions avec une précision militaire. Les récents incidents en JT – un regard perdu, une bourde avouée – humanisent la star, mais soulignent la pression constante. Ce soir, c’est son bébé, et chaque détail compte.

Soutenue par une équipe rodée, elle anticipe les rebondissements : une larme inattendue, un fou rire général. C’est cette improvisation maîtrisée qui fait les grands moments télé. Et avec des invités aussi imprévisibles, la magie opère.

Il y a une vraie pression sur le fond, mais c’est ce qui rend le métier passionnant.

Léa Salamé

Sa résilience, forgée dans les arènes politiques, sera son atout majeur. Face à l’émotion de Crespo-Mara ou l’énergie de Boon, elle saura naviguer avec empathie.

Vers un Avenir Prometteur pour le Talk-Show Français

Ce 20 septembre marque le début d’une ère. Quelle époque ! pourrait redéfinir le genre, en intégrant plus d’art live, de témoignages crus. Dans un paysage télévisuel en mutation, avec la montée des podcasts et des lives, elle se positionne comme un hybride salvateur.

Les invités de ce soir posent les bases : diversité, émotion, humour. Si le succès est au rendez-vous, attendez-vous à des numéros thématiques, des collaborations internationales. Léa Salamé, avec son ambition journalistique, pourrait bien imposer un nouveau standard.

En conclusion, ce plateau n’est pas qu’une soirée ; c’est un instantané de notre humanité. Rires, larmes, danses – tout y est. Ne manquez pas ce rendez-vous qui promet de résonner longtemps.

Prêts pour une soirée inoubliable ? Rendez-vous à 23h25 sur France 2.

Maintenant, pour approfondir, explorons les carrières individuelles de ces invités. Commençons par Dany Boon, dont la filmographie est un trésor national. De La Vie en Rose à ses réalisations personnelles, il a su exporter l’humour français outre-Atlantique. Regarde, son dernier-né, marque un virage introspectif : une comédie qui scrute l’invisible, jouant sur les handicaps sensoriels pour questionner notre regard sur le monde.

Audrey Fleurot, sa co-star, apporte une intensité dramatique héritée de ses rôles dans Engrenages ou La Vengeance au triple galop. Leur alchimie à l’écran, faite de complicité et de tension, transparaîtra sans doute dans les anecdotes partagées. Boon évoquera peut-être les nuits blanches au montage, les rires sur le plateau face à des scènes absurdes.

Passons à Zaz, dont la discographie est un manifeste. Son premier album, sorti en 2010, a vendu des millions, porté par des tubes comme Les Passants. Depuis, elle a collaboré avec des légendes comme Tony Bennett, prouvant sa polyvalence. En 2025, son activisme s’intensifie : concerts pour le climat, partenariats avec des ONG. Ce soir, sa chanson pourrait bien être un appel à l’action, un contrepoint musical aux débats.

Pour Audrey Crespo-Mara, sa carrière est un modèle de persévérance. Entrée par la petite porte dans le journalisme, elle a gravi les échelons grâce à son professionnalisme. Remplaçante au 20h, elle a couvert des événements majeurs : élections, crises sanitaires. Le deuil d’Ardisson, survenu brutalement, a révélé une facette plus intime, mais sa reprise du poste témoigne d’une force intérieure remarquable.

Les échanges avec Léa Salamé, toutes deux figures féminines des médias, pourraient tourner autour de la sororité. Comment se soutenir mutuellement dans un milieu compétitif ? Comment concilier vie pro et perso sous les yeux du public ? Ces questions, souvent tus, méritent d’être posées.

Concernant Pauline Loquès, sa ascension est fulgurante. Formée au conservatoire, elle a enchaîné théâtre et télévision. Son rôle dans Les Ombres du Passé, une série sur les traumas familiaux, lui a valu une nomination. À 28 ans, elle incarne la nouvelle vague : engagée, diverse, digitale. Son point de vue sur le métier, influencé par les réseaux sociaux, contrastéra avec les expériences des aînés.

Théodore Pellerin, 30 ans, est un pont entre le Québec et la France. Fils d’immigrés, il a débuté dans des courts-métrages avant Mauvais Sang de Louis Belanger. Son film Les Oiseaux de Passage explore l’exil, un thème d’actualité. En plateau, il pourrait partager des insights sur la francophonie, un enjeu culturel vital.

Anastasia Fomitchova, 35 ans, est une étoile filante. Passée par le Mariinsky, elle danse pour des chorégraphes comme Pina Bausch. Sa venue en France marque un tournant : collaborations avec des troupes locales. Sa performance ce soir, peut-être un extrait de Le Sacre du Printemps revisité, symbolisera le renouveau.

The French Touch, fondé en 2018, est un collectif de dix danseurs. Leur spectacle Urban Echoes a tourné en Europe, fusionnant cultures. Leur énergie brute, issue des battles de rue, injectera du dynamisme, contrastant avec la danse classique d’Anastasia.

Philippe Caverivière, pilier humoristique, est un ancien de la scène stand-up. Ses chroniques dans d’anciennes émissions étaient des moments d’anthologie. Avec Paul de Saint-Sernin, ex-chroniqueur radio, ils formeront un tandem qui pimentera les transitions. Leurs imitations de politiques ou de stars ajouteront du piquant.

Léa Salamé, 46 ans, a un CV impressionnant : France Inter, France 2, co-présentations électorales. Sa vie perso, avec ses enfants et son compagnon, reste discrète, mais des fuites récentes montrent une femme engagée. Ses récentes bourdes en direct ? Des rappels humains dans un monde parfait.

Pour étayer, considérons l’évolution des talk-shows. Des années 90 avec les plateaux enfumés aux formats actuels, le genre a muté. En France, il reste un vecteur d’influence, formant l’opinion. Quelle époque ! s’inscrit dans cette lignée, mais avec une touche 2.0 : interactions virtuelles, teasers sur les réseaux.

Les audiences potentielles ? Élevées, grâce au buzz autour du départ de Ruquier. Mais le vrai succès sera dans la fidélisation : des numéros récurrents, des invités surprises. Imaginez Macron en plateau, ou une star hollywoodienne francophone.

Sur le plan sociétal, l’émission aborde le deuil : en France, 600 000 décès par an, mais le deuil médiatisé est rare. Crespo-Mara brise le tabou, aidant des veuves anonymes. De même, le film de Boon sensibilise au handicap visuel, touchant 2 millions de Français.

Zaz, avec ses 4 millions d’albums vendus, influence les politiques culturelles. Ses plaidoyers pour l’éducation musicale gratuite résonnent. Les danseurs, eux, promeuvent la diversité : 40% des performers issus de banlieues.

En somme, ce numéro est un microcosme. Il capture les joies, peines, aspirations de 2025. Léa Salamé, en hôte magistrale, nous invite à réfléchir en riant. Une soirée qui, on l’espère, lancera une saison triomphale.

Pour prolonger l’expérience, repensez aux classiques : les duos Ardisson-Ruquier, les punchs de Caverivière. Ce 20 septembre, l’histoire continue, plus vibrante que jamais. Et vous, quel invité vous intrigue le plus ?

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