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Quand les navires chinois et américains se croisent à Ream

Base navale de Ream au Cambodge : le face à face entre navires de guerre chinois et américains. Pékin accroît son emprise stratégique mais Phnom Penh cherche à rééquilibrer ses relations. Un nouveau terrain de tensions entre les deux superpuissances se dessine en mer de Chine méridionale...

C’est un face à face naval lourd de symboles qui se joue actuellement dans le golfe de Thaïlande. Lundi dernier, lorsqu’un navire de guerre américain a accosté au Cambodge, il se trouvait à seulement quelques encablures de deux corvettes chinoises, amarrées dans une base navale fraîchement rénovée par Pékin. Un nouveau signe de la montée des tensions entre les deux superpuissances dans la région.

Ream, base stratégique pour la Chine

Fondée à l’origine par les États-Unis, la base navale de Ream a fait l’objet ces dernières années d’importants travaux de modernisation financés par la Chine. Sa nouvelle jetée en eaux profondes s’étend désormais sur 363 mètres, de quoi accueillir des navires de guerre de premier plan. Une présence militaire chinoise renforcée aux portes de la mer de Chine méridionale, zone maritime disputée dont Pékin revendique la quasi-totalité.

La base de Ream pourrait garantir à la Chine une position stratégique dans le Golfe de Thaïlande, près de la mer de Chine méridionale, zone controversée.

Un porte-parole du Pentagone

L’expansion militaire chinoise dans la région

Cette présence navale accrue au Cambodge s’inscrit dans la stratégie d’expansion militaire de la Chine sous Xi Jinping. Le pays a multiplié les accords d’infrastructures avec des nations de l’océan Indien comme le Sri Lanka, le Pakistan ou Djibouti, où il dispose déjà d’une base militaire. L’objectif : sécuriser son accès maritime vers l’ouest dans le cadre des « nouvelles routes de la soie ».

En attendant, la présence parallèle de navires chinois et américains dans les eaux cambodgiennes illustre la bataille d’influence qui se joue en coulisses entre les deux puissances. Un affrontement discret mais lourd d’enjeux pour le contrôle stratégique de la région indo-pacifique. Et la base de Ream pourrait bien en devenir l’un des épicentres.

En attendant, la présence parallèle de navires chinois et américains dans les eaux cambodgiennes illustre la bataille d’influence qui se joue en coulisses entre les deux puissances. Un affrontement discret mais lourd d’enjeux pour le contrôle stratégique de la région indo-pacifique. Et la base de Ream pourrait bien en devenir l’un des épicentres.

Cependant, l’influence chinoise reste profondément ancrée, avec de nombreux projets d’infrastructures financés par Pékin comme le nouvel aéroport de Siem Reap. Reste à voir si Phnom Penh parviendra, et souhaitera véritablement, diversifier ses partenariats sur le long terme.

En attendant, la présence parallèle de navires chinois et américains dans les eaux cambodgiennes illustre la bataille d’influence qui se joue en coulisses entre les deux puissances. Un affrontement discret mais lourd d’enjeux pour le contrôle stratégique de la région indo-pacifique. Et la base de Ream pourrait bien en devenir l’un des épicentres.

Cependant, l’influence chinoise reste profondément ancrée, avec de nombreux projets d’infrastructures financés par Pékin comme le nouvel aéroport de Siem Reap. Reste à voir si Phnom Penh parviendra, et souhaitera véritablement, diversifier ses partenariats sur le long terme.

En attendant, la présence parallèle de navires chinois et américains dans les eaux cambodgiennes illustre la bataille d’influence qui se joue en coulisses entre les deux puissances. Un affrontement discret mais lourd d’enjeux pour le contrôle stratégique de la région indo-pacifique. Et la base de Ream pourrait bien en devenir l’un des épicentres.

Si le Cambodge reste très dépendant économiquement de la Chine, premier investisseur dans le pays, certains signes montrent une volonté de rééquilibrer ses relations. L’accueil du navire américain pourrait être un geste en ce sens, pour ne plus apparaître comme le « petit pantin » de Pékin selon des analystes. L’arrivée au pouvoir du nouveau dirigeant Hun Manet, formé aux États-Unis, pourrait favoriser ce changement.

Cependant, l’influence chinoise reste profondément ancrée, avec de nombreux projets d’infrastructures financés par Pékin comme le nouvel aéroport de Siem Reap. Reste à voir si Phnom Penh parviendra, et souhaitera véritablement, diversifier ses partenariats sur le long terme.

En attendant, la présence parallèle de navires chinois et américains dans les eaux cambodgiennes illustre la bataille d’influence qui se joue en coulisses entre les deux puissances. Un affrontement discret mais lourd d’enjeux pour le contrôle stratégique de la région indo-pacifique. Et la base de Ream pourrait bien en devenir l’un des épicentres.

Si le Cambodge reste très dépendant économiquement de la Chine, premier investisseur dans le pays, certains signes montrent une volonté de rééquilibrer ses relations. L’accueil du navire américain pourrait être un geste en ce sens, pour ne plus apparaître comme le « petit pantin » de Pékin selon des analystes. L’arrivée au pouvoir du nouveau dirigeant Hun Manet, formé aux États-Unis, pourrait favoriser ce changement.

Cependant, l’influence chinoise reste profondément ancrée, avec de nombreux projets d’infrastructures financés par Pékin comme le nouvel aéroport de Siem Reap. Reste à voir si Phnom Penh parviendra, et souhaitera véritablement, diversifier ses partenariats sur le long terme.

En attendant, la présence parallèle de navires chinois et américains dans les eaux cambodgiennes illustre la bataille d’influence qui se joue en coulisses entre les deux puissances. Un affrontement discret mais lourd d’enjeux pour le contrôle stratégique de la région indo-pacifique. Et la base de Ream pourrait bien en devenir l’un des épicentres.

Le Cambodge diversifie prudemment ses relations

Si le Cambodge reste très dépendant économiquement de la Chine, premier investisseur dans le pays, certains signes montrent une volonté de rééquilibrer ses relations. L’accueil du navire américain pourrait être un geste en ce sens, pour ne plus apparaître comme le « petit pantin » de Pékin selon des analystes. L’arrivée au pouvoir du nouveau dirigeant Hun Manet, formé aux États-Unis, pourrait favoriser ce changement.

Cependant, l’influence chinoise reste profondément ancrée, avec de nombreux projets d’infrastructures financés par Pékin comme le nouvel aéroport de Siem Reap. Reste à voir si Phnom Penh parviendra, et souhaitera véritablement, diversifier ses partenariats sur le long terme.

En attendant, la présence parallèle de navires chinois et américains dans les eaux cambodgiennes illustre la bataille d’influence qui se joue en coulisses entre les deux puissances. Un affrontement discret mais lourd d’enjeux pour le contrôle stratégique de la région indo-pacifique. Et la base de Ream pourrait bien en devenir l’un des épicentres.

Le Cambodge diversifie prudemment ses relations

Si le Cambodge reste très dépendant économiquement de la Chine, premier investisseur dans le pays, certains signes montrent une volonté de rééquilibrer ses relations. L’accueil du navire américain pourrait être un geste en ce sens, pour ne plus apparaître comme le « petit pantin » de Pékin selon des analystes. L’arrivée au pouvoir du nouveau dirigeant Hun Manet, formé aux États-Unis, pourrait favoriser ce changement.

Cependant, l’influence chinoise reste profondément ancrée, avec de nombreux projets d’infrastructures financés par Pékin comme le nouvel aéroport de Siem Reap. Reste à voir si Phnom Penh parviendra, et souhaitera véritablement, diversifier ses partenariats sur le long terme.

En attendant, la présence parallèle de navires chinois et américains dans les eaux cambodgiennes illustre la bataille d’influence qui se joue en coulisses entre les deux puissances. Un affrontement discret mais lourd d’enjeux pour le contrôle stratégique de la région indo-pacifique. Et la base de Ream pourrait bien en devenir l’un des épicentres.

Face à cette avancée stratégique chinoise, les États-Unis cherchent à renforcer leurs liens avec le Cambodge, allié traditionnel de Pékin. La visite du navire USS Savannah lundi à Sihanoukville, à seulement 30km de Ream, en est une illustration. Washington avait suspendu les exercices militaires conjoints en 2017, mais le secrétaire à la défense Lloyd Austin s’est rendu à Phnom Penh en juin pour relancer la coopération.

Le Cambodge diversifie prudemment ses relations

Si le Cambodge reste très dépendant économiquement de la Chine, premier investisseur dans le pays, certains signes montrent une volonté de rééquilibrer ses relations. L’accueil du navire américain pourrait être un geste en ce sens, pour ne plus apparaître comme le « petit pantin » de Pékin selon des analystes. L’arrivée au pouvoir du nouveau dirigeant Hun Manet, formé aux États-Unis, pourrait favoriser ce changement.

Cependant, l’influence chinoise reste profondément ancrée, avec de nombreux projets d’infrastructures financés par Pékin comme le nouvel aéroport de Siem Reap. Reste à voir si Phnom Penh parviendra, et souhaitera véritablement, diversifier ses partenariats sur le long terme.

En attendant, la présence parallèle de navires chinois et américains dans les eaux cambodgiennes illustre la bataille d’influence qui se joue en coulisses entre les deux puissances. Un affrontement discret mais lourd d’enjeux pour le contrôle stratégique de la région indo-pacifique. Et la base de Ream pourrait bien en devenir l’un des épicentres.

Face à cette avancée stratégique chinoise, les États-Unis cherchent à renforcer leurs liens avec le Cambodge, allié traditionnel de Pékin. La visite du navire USS Savannah lundi à Sihanoukville, à seulement 30km de Ream, en est une illustration. Washington avait suspendu les exercices militaires conjoints en 2017, mais le secrétaire à la défense Lloyd Austin s’est rendu à Phnom Penh en juin pour relancer la coopération.

Le Cambodge diversifie prudemment ses relations

Si le Cambodge reste très dépendant économiquement de la Chine, premier investisseur dans le pays, certains signes montrent une volonté de rééquilibrer ses relations. L’accueil du navire américain pourrait être un geste en ce sens, pour ne plus apparaître comme le « petit pantin » de Pékin selon des analystes. L’arrivée au pouvoir du nouveau dirigeant Hun Manet, formé aux États-Unis, pourrait favoriser ce changement.

Cependant, l’influence chinoise reste profondément ancrée, avec de nombreux projets d’infrastructures financés par Pékin comme le nouvel aéroport de Siem Reap. Reste à voir si Phnom Penh parviendra, et souhaitera véritablement, diversifier ses partenariats sur le long terme.

En attendant, la présence parallèle de navires chinois et américains dans les eaux cambodgiennes illustre la bataille d’influence qui se joue en coulisses entre les deux puissances. Un affrontement discret mais lourd d’enjeux pour le contrôle stratégique de la région indo-pacifique. Et la base de Ream pourrait bien en devenir l’un des épicentres.

Washington relance la coopération avec Phnom Penh

Face à cette avancée stratégique chinoise, les États-Unis cherchent à renforcer leurs liens avec le Cambodge, allié traditionnel de Pékin. La visite du navire USS Savannah lundi à Sihanoukville, à seulement 30km de Ream, en est une illustration. Washington avait suspendu les exercices militaires conjoints en 2017, mais le secrétaire à la défense Lloyd Austin s’est rendu à Phnom Penh en juin pour relancer la coopération.

Le Cambodge diversifie prudemment ses relations

Si le Cambodge reste très dépendant économiquement de la Chine, premier investisseur dans le pays, certains signes montrent une volonté de rééquilibrer ses relations. L’accueil du navire américain pourrait être un geste en ce sens, pour ne plus apparaître comme le « petit pantin » de Pékin selon des analystes. L’arrivée au pouvoir du nouveau dirigeant Hun Manet, formé aux États-Unis, pourrait favoriser ce changement.

Cependant, l’influence chinoise reste profondément ancrée, avec de nombreux projets d’infrastructures financés par Pékin comme le nouvel aéroport de Siem Reap. Reste à voir si Phnom Penh parviendra, et souhaitera véritablement, diversifier ses partenariats sur le long terme.

En attendant, la présence parallèle de navires chinois et américains dans les eaux cambodgiennes illustre la bataille d’influence qui se joue en coulisses entre les deux puissances. Un affrontement discret mais lourd d’enjeux pour le contrôle stratégique de la région indo-pacifique. Et la base de Ream pourrait bien en devenir l’un des épicentres.

Washington relance la coopération avec Phnom Penh

Face à cette avancée stratégique chinoise, les États-Unis cherchent à renforcer leurs liens avec le Cambodge, allié traditionnel de Pékin. La visite du navire USS Savannah lundi à Sihanoukville, à seulement 30km de Ream, en est une illustration. Washington avait suspendu les exercices militaires conjoints en 2017, mais le secrétaire à la défense Lloyd Austin s’est rendu à Phnom Penh en juin pour relancer la coopération.

Le Cambodge diversifie prudemment ses relations

Si le Cambodge reste très dépendant économiquement de la Chine, premier investisseur dans le pays, certains signes montrent une volonté de rééquilibrer ses relations. L’accueil du navire américain pourrait être un geste en ce sens, pour ne plus apparaître comme le « petit pantin » de Pékin selon des analystes. L’arrivée au pouvoir du nouveau dirigeant Hun Manet, formé aux États-Unis, pourrait favoriser ce changement.

Cependant, l’influence chinoise reste profondément ancrée, avec de nombreux projets d’infrastructures financés par Pékin comme le nouvel aéroport de Siem Reap. Reste à voir si Phnom Penh parviendra, et souhaitera véritablement, diversifier ses partenariats sur le long terme.

En attendant, la présence parallèle de navires chinois et américains dans les eaux cambodgiennes illustre la bataille d’influence qui se joue en coulisses entre les deux puissances. Un affrontement discret mais lourd d’enjeux pour le contrôle stratégique de la région indo-pacifique. Et la base de Ream pourrait bien en devenir l’un des épicentres.

Avec Ream, même sans en faire une base officielle, la marine chinoise pourrait bénéficier d’un accès privilégié pour ses opérations et ravitaillements dans le golfe de Thaïlande. Certains experts évoquent même la possibilité d’y installer un poste de renseignement pour surveiller le trafic maritime.

Washington relance la coopération avec Phnom Penh

Face à cette avancée stratégique chinoise, les États-Unis cherchent à renforcer leurs liens avec le Cambodge, allié traditionnel de Pékin. La visite du navire USS Savannah lundi à Sihanoukville, à seulement 30km de Ream, en est une illustration. Washington avait suspendu les exercices militaires conjoints en 2017, mais le secrétaire à la défense Lloyd Austin s’est rendu à Phnom Penh en juin pour relancer la coopération.

Le Cambodge diversifie prudemment ses relations

Si le Cambodge reste très dépendant économiquement de la Chine, premier investisseur dans le pays, certains signes montrent une volonté de rééquilibrer ses relations. L’accueil du navire américain pourrait être un geste en ce sens, pour ne plus apparaître comme le « petit pantin » de Pékin selon des analystes. L’arrivée au pouvoir du nouveau dirigeant Hun Manet, formé aux États-Unis, pourrait favoriser ce changement.

Cependant, l’influence chinoise reste profondément ancrée, avec de nombreux projets d’infrastructures financés par Pékin comme le nouvel aéroport de Siem Reap. Reste à voir si Phnom Penh parviendra, et souhaitera véritablement, diversifier ses partenariats sur le long terme.

En attendant, la présence parallèle de navires chinois et américains dans les eaux cambodgiennes illustre la bataille d’influence qui se joue en coulisses entre les deux puissances. Un affrontement discret mais lourd d’enjeux pour le contrôle stratégique de la région indo-pacifique. Et la base de Ream pourrait bien en devenir l’un des épicentres.

Avec Ream, même sans en faire une base officielle, la marine chinoise pourrait bénéficier d’un accès privilégié pour ses opérations et ravitaillements dans le golfe de Thaïlande. Certains experts évoquent même la possibilité d’y installer un poste de renseignement pour surveiller le trafic maritime.

Washington relance la coopération avec Phnom Penh

Face à cette avancée stratégique chinoise, les États-Unis cherchent à renforcer leurs liens avec le Cambodge, allié traditionnel de Pékin. La visite du navire USS Savannah lundi à Sihanoukville, à seulement 30km de Ream, en est une illustration. Washington avait suspendu les exercices militaires conjoints en 2017, mais le secrétaire à la défense Lloyd Austin s’est rendu à Phnom Penh en juin pour relancer la coopération.

Le Cambodge diversifie prudemment ses relations

Si le Cambodge reste très dépendant économiquement de la Chine, premier investisseur dans le pays, certains signes montrent une volonté de rééquilibrer ses relations. L’accueil du navire américain pourrait être un geste en ce sens, pour ne plus apparaître comme le « petit pantin » de Pékin selon des analystes. L’arrivée au pouvoir du nouveau dirigeant Hun Manet, formé aux États-Unis, pourrait favoriser ce changement.

Cependant, l’influence chinoise reste profondément ancrée, avec de nombreux projets d’infrastructures financés par Pékin comme le nouvel aéroport de Siem Reap. Reste à voir si Phnom Penh parviendra, et souhaitera véritablement, diversifier ses partenariats sur le long terme.

En attendant, la présence parallèle de navires chinois et américains dans les eaux cambodgiennes illustre la bataille d’influence qui se joue en coulisses entre les deux puissances. Un affrontement discret mais lourd d’enjeux pour le contrôle stratégique de la région indo-pacifique. Et la base de Ream pourrait bien en devenir l’un des épicentres.

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