La colère gronde chez les pompiers lyonnais. En grève depuis début octobre pour réclamer plus de moyens humains, ils ont décidé de marquer les esprits lors de la Fête des Lumières qui vient de débuter dans la capitale des Gaules. Jeudi soir, leur manifestation a pris un tour spectaculaire et parfois inquiétant, avec des actions chocs comme des immolations par le feu et une manifestation sauvage au cœur de l’événement.
Un mouvement social qui s’enracine
Voilà maintenant deux mois que le bras de fer est engagé entre les pompiers du Rhône et leur direction. Les soldats du feu dénoncent le manque d’effectifs chronique qui pèse sur leurs conditions de travail. Selon les syndicats, le SDMIS (Service Départemental-Métropolitain d’Incendie et de Secours) a perdu une centaine de postes en 10 ans, passant de 1170 à 1070 pompiers, alors que dans le même temps, la population a augmenté et le nombre d’interventions a bondi de 60%.
Cette situation entraîne une dégradation de leurs conditions d’exercice, avec un allongement du temps de travail, des gardes de plus en plus chargées et une fatigue qui s’accumule. Les pompiers affirment être « au bout du rouleau » et certains seraient même tellement épuisés et remontés qu’il leur a été demandé de ne pas venir manifester.
Des actions chocs pour se faire entendre
Alors que la période est déjà chargée avec de nombreux départs en interventions, notamment sur des feux de poubelles ou des incidents en marge des festivités, le spectre de nouvelles actions perturbatrices plane sur la Fête des Lumières qui doit encore durer tout le week-end.
Les pompiers espèrent que leur détresse sera entendue et que des renforts seront débloqués rapidement. Ils mettent en garde sur la qualité du service rendu à la population qui pourrait pâtir de cette situation explosive. La balle est désormais dans le camp des autorités qui vont devoir réagir rapidement pour éteindre l’incendie.
Alors que la période est déjà chargée avec de nombreux départs en interventions, notamment sur des feux de poubelles ou des incidents en marge des festivités, le spectre de nouvelles actions perturbatrices plane sur la Fête des Lumières qui doit encore durer tout le week-end.
Les pompiers espèrent que leur détresse sera entendue et que des renforts seront débloqués rapidement. Ils mettent en garde sur la qualité du service rendu à la population qui pourrait pâtir de cette situation explosive. La balle est désormais dans le camp des autorités qui vont devoir réagir rapidement pour éteindre l’incendie.
Malgré la médiatisation de leur mouvement permise par ce coup d’éclat lors d’un événement international, les pompiers n’ont pour l’heure obtenu aucune avancée concrète. Et beaucoup redoutent un durcissement de la grève dans les prochains jours si leurs revendications restent lettre morte.
On a beaucoup de collègues au bout du rouleau. Certains sont tellement remontés, épuisés qu’on leur a demandé de ne pas venir ce soir.
Un pompier gréviste
Alors que la période est déjà chargée avec de nombreux départs en interventions, notamment sur des feux de poubelles ou des incidents en marge des festivités, le spectre de nouvelles actions perturbatrices plane sur la Fête des Lumières qui doit encore durer tout le week-end.
Les pompiers espèrent que leur détresse sera entendue et que des renforts seront débloqués rapidement. Ils mettent en garde sur la qualité du service rendu à la population qui pourrait pâtir de cette situation explosive. La balle est désormais dans le camp des autorités qui vont devoir réagir rapidement pour éteindre l’incendie.
Malgré la médiatisation de leur mouvement permise par ce coup d’éclat lors d’un événement international, les pompiers n’ont pour l’heure obtenu aucune avancée concrète. Et beaucoup redoutent un durcissement de la grève dans les prochains jours si leurs revendications restent lettre morte.
On a beaucoup de collègues au bout du rouleau. Certains sont tellement remontés, épuisés qu’on leur a demandé de ne pas venir ce soir.
Un pompier gréviste
Alors que la période est déjà chargée avec de nombreux départs en interventions, notamment sur des feux de poubelles ou des incidents en marge des festivités, le spectre de nouvelles actions perturbatrices plane sur la Fête des Lumières qui doit encore durer tout le week-end.
Les pompiers espèrent que leur détresse sera entendue et que des renforts seront débloqués rapidement. Ils mettent en garde sur la qualité du service rendu à la population qui pourrait pâtir de cette situation explosive. La balle est désormais dans le camp des autorités qui vont devoir réagir rapidement pour éteindre l’incendie.
Fumigènes, slogans et Marseillaise ont résonné sous les yeux interloqués des visiteurs, obligeant les forces de l’ordre à s’adapter dans un contexte déjà tendu. Si la manifestation est restée globalement calme, elle témoigne du niveau d’exaspération et de détermination des soldats du feu.
La crainte d’un durcissement du conflit
Malgré la médiatisation de leur mouvement permise par ce coup d’éclat lors d’un événement international, les pompiers n’ont pour l’heure obtenu aucune avancée concrète. Et beaucoup redoutent un durcissement de la grève dans les prochains jours si leurs revendications restent lettre morte.
On a beaucoup de collègues au bout du rouleau. Certains sont tellement remontés, épuisés qu’on leur a demandé de ne pas venir ce soir.
Un pompier gréviste
Alors que la période est déjà chargée avec de nombreux départs en interventions, notamment sur des feux de poubelles ou des incidents en marge des festivités, le spectre de nouvelles actions perturbatrices plane sur la Fête des Lumières qui doit encore durer tout le week-end.
Les pompiers espèrent que leur détresse sera entendue et que des renforts seront débloqués rapidement. Ils mettent en garde sur la qualité du service rendu à la population qui pourrait pâtir de cette situation explosive. La balle est désormais dans le camp des autorités qui vont devoir réagir rapidement pour éteindre l’incendie.
Fumigènes, slogans et Marseillaise ont résonné sous les yeux interloqués des visiteurs, obligeant les forces de l’ordre à s’adapter dans un contexte déjà tendu. Si la manifestation est restée globalement calme, elle témoigne du niveau d’exaspération et de détermination des soldats du feu.
La crainte d’un durcissement du conflit
Malgré la médiatisation de leur mouvement permise par ce coup d’éclat lors d’un événement international, les pompiers n’ont pour l’heure obtenu aucune avancée concrète. Et beaucoup redoutent un durcissement de la grève dans les prochains jours si leurs revendications restent lettre morte.
On a beaucoup de collègues au bout du rouleau. Certains sont tellement remontés, épuisés qu’on leur a demandé de ne pas venir ce soir.
Un pompier gréviste
Alors que la période est déjà chargée avec de nombreux départs en interventions, notamment sur des feux de poubelles ou des incidents en marge des festivités, le spectre de nouvelles actions perturbatrices plane sur la Fête des Lumières qui doit encore durer tout le week-end.
Les pompiers espèrent que leur détresse sera entendue et que des renforts seront débloqués rapidement. Ils mettent en garde sur la qualité du service rendu à la population qui pourrait pâtir de cette situation explosive. La balle est désormais dans le camp des autorités qui vont devoir réagir rapidement pour éteindre l’incendie.
Arrivés sur le pont Lafayette, deux d’entre eux se sont immolés par le feu, un geste symbolique fort illustrant leur épuisement. Une banderole « Pompiers en grève » a également été déployée sur la plus haute tour de la ville. Le cortège, malgré l’interdiction, a ensuite pénétré au cœur du périmètre de la Fête des Lumières bondé de monde.
Fumigènes, slogans et Marseillaise ont résonné sous les yeux interloqués des visiteurs, obligeant les forces de l’ordre à s’adapter dans un contexte déjà tendu. Si la manifestation est restée globalement calme, elle témoigne du niveau d’exaspération et de détermination des soldats du feu.
La crainte d’un durcissement du conflit
Malgré la médiatisation de leur mouvement permise par ce coup d’éclat lors d’un événement international, les pompiers n’ont pour l’heure obtenu aucune avancée concrète. Et beaucoup redoutent un durcissement de la grève dans les prochains jours si leurs revendications restent lettre morte.
On a beaucoup de collègues au bout du rouleau. Certains sont tellement remontés, épuisés qu’on leur a demandé de ne pas venir ce soir.
Un pompier gréviste
Alors que la période est déjà chargée avec de nombreux départs en interventions, notamment sur des feux de poubelles ou des incidents en marge des festivités, le spectre de nouvelles actions perturbatrices plane sur la Fête des Lumières qui doit encore durer tout le week-end.
Les pompiers espèrent que leur détresse sera entendue et que des renforts seront débloqués rapidement. Ils mettent en garde sur la qualité du service rendu à la population qui pourrait pâtir de cette situation explosive. La balle est désormais dans le camp des autorités qui vont devoir réagir rapidement pour éteindre l’incendie.
Arrivés sur le pont Lafayette, deux d’entre eux se sont immolés par le feu, un geste symbolique fort illustrant leur épuisement. Une banderole « Pompiers en grève » a également été déployée sur la plus haute tour de la ville. Le cortège, malgré l’interdiction, a ensuite pénétré au cœur du périmètre de la Fête des Lumières bondé de monde.
Fumigènes, slogans et Marseillaise ont résonné sous les yeux interloqués des visiteurs, obligeant les forces de l’ordre à s’adapter dans un contexte déjà tendu. Si la manifestation est restée globalement calme, elle témoigne du niveau d’exaspération et de détermination des soldats du feu.
La crainte d’un durcissement du conflit
Malgré la médiatisation de leur mouvement permise par ce coup d’éclat lors d’un événement international, les pompiers n’ont pour l’heure obtenu aucune avancée concrète. Et beaucoup redoutent un durcissement de la grève dans les prochains jours si leurs revendications restent lettre morte.
On a beaucoup de collègues au bout du rouleau. Certains sont tellement remontés, épuisés qu’on leur a demandé de ne pas venir ce soir.
Un pompier gréviste
Alors que la période est déjà chargée avec de nombreux départs en interventions, notamment sur des feux de poubelles ou des incidents en marge des festivités, le spectre de nouvelles actions perturbatrices plane sur la Fête des Lumières qui doit encore durer tout le week-end.
Les pompiers espèrent que leur détresse sera entendue et que des renforts seront débloqués rapidement. Ils mettent en garde sur la qualité du service rendu à la population qui pourrait pâtir de cette situation explosive. La balle est désormais dans le camp des autorités qui vont devoir réagir rapidement pour éteindre l’incendie.
Pour marquer les esprits et tenter d’obtenir gain de cause, les pompiers ont décidé de profiter de la très populaire et médiatique Fête des Lumières lyonnaise. Après une assemblée générale tendue jeudi après-midi, ils se sont élancés en manifestation vers le centre-ville.
Arrivés sur le pont Lafayette, deux d’entre eux se sont immolés par le feu, un geste symbolique fort illustrant leur épuisement. Une banderole « Pompiers en grève » a également été déployée sur la plus haute tour de la ville. Le cortège, malgré l’interdiction, a ensuite pénétré au cœur du périmètre de la Fête des Lumières bondé de monde.
Fumigènes, slogans et Marseillaise ont résonné sous les yeux interloqués des visiteurs, obligeant les forces de l’ordre à s’adapter dans un contexte déjà tendu. Si la manifestation est restée globalement calme, elle témoigne du niveau d’exaspération et de détermination des soldats du feu.
La crainte d’un durcissement du conflit
Malgré la médiatisation de leur mouvement permise par ce coup d’éclat lors d’un événement international, les pompiers n’ont pour l’heure obtenu aucune avancée concrète. Et beaucoup redoutent un durcissement de la grève dans les prochains jours si leurs revendications restent lettre morte.
On a beaucoup de collègues au bout du rouleau. Certains sont tellement remontés, épuisés qu’on leur a demandé de ne pas venir ce soir.
Un pompier gréviste
Alors que la période est déjà chargée avec de nombreux départs en interventions, notamment sur des feux de poubelles ou des incidents en marge des festivités, le spectre de nouvelles actions perturbatrices plane sur la Fête des Lumières qui doit encore durer tout le week-end.
Les pompiers espèrent que leur détresse sera entendue et que des renforts seront débloqués rapidement. Ils mettent en garde sur la qualité du service rendu à la population qui pourrait pâtir de cette situation explosive. La balle est désormais dans le camp des autorités qui vont devoir réagir rapidement pour éteindre l’incendie.
Pour marquer les esprits et tenter d’obtenir gain de cause, les pompiers ont décidé de profiter de la très populaire et médiatique Fête des Lumières lyonnaise. Après une assemblée générale tendue jeudi après-midi, ils se sont élancés en manifestation vers le centre-ville.
Arrivés sur le pont Lafayette, deux d’entre eux se sont immolés par le feu, un geste symbolique fort illustrant leur épuisement. Une banderole « Pompiers en grève » a également été déployée sur la plus haute tour de la ville. Le cortège, malgré l’interdiction, a ensuite pénétré au cœur du périmètre de la Fête des Lumières bondé de monde.
Fumigènes, slogans et Marseillaise ont résonné sous les yeux interloqués des visiteurs, obligeant les forces de l’ordre à s’adapter dans un contexte déjà tendu. Si la manifestation est restée globalement calme, elle témoigne du niveau d’exaspération et de détermination des soldats du feu.
La crainte d’un durcissement du conflit
Malgré la médiatisation de leur mouvement permise par ce coup d’éclat lors d’un événement international, les pompiers n’ont pour l’heure obtenu aucune avancée concrète. Et beaucoup redoutent un durcissement de la grève dans les prochains jours si leurs revendications restent lettre morte.
On a beaucoup de collègues au bout du rouleau. Certains sont tellement remontés, épuisés qu’on leur a demandé de ne pas venir ce soir.
Un pompier gréviste
Alors que la période est déjà chargée avec de nombreux départs en interventions, notamment sur des feux de poubelles ou des incidents en marge des festivités, le spectre de nouvelles actions perturbatrices plane sur la Fête des Lumières qui doit encore durer tout le week-end.
Les pompiers espèrent que leur détresse sera entendue et que des renforts seront débloqués rapidement. Ils mettent en garde sur la qualité du service rendu à la population qui pourrait pâtir de cette situation explosive. La balle est désormais dans le camp des autorités qui vont devoir réagir rapidement pour éteindre l’incendie.
