À un an des Jeux Olympiques de Paris 2024, les polémiques autour des cérémonies d’ouverture s’intensifient. Au cœur de la tourmente : Thomas Jolly, le sulfureux directeur artistique qui ne recule devant rien pour marquer les esprits. Face aux critiques, il se défend de vouloir “choquer” ou “se moquer”, mais assume sa volonté de bousculer les codes.
Des polémiques en cascade
Cène du Christ version drag queens, messages politiques des délégations, tenues suggestives, les premières répétitions des cérémonies ont suscité l’indignation sur les réseaux sociaux. Certains dénoncent un événement trop “woke”, voire une insulte aux valeurs du sport et de l’olympisme.
L’affaire Aya Nakamura
La présence annoncée de la chanteuse Aya Nakamura a cristallisé les tensions. Accusée par ses détracteurs de ne pas représenter la culture française, elle a reçu un déferlement de commentaires haineux teintés de racisme et de sexisme. De quoi remettre en question sa participation à la cérémonie.
Il y a des gens en France qui aiment Aya Nakamura, Georges Brassens et Pascal Dusapin. Pas de discrimination culturelle.
Thomas Jolly, directeur artistique des cérémonies des JO
D’autres “surprises bien plus radicales” à venir
Malgré la polémique, Thomas Jolly campe sur ses positions. En avril dernier, il prévenait déjà : la cérémonie réserve des “surprises bien plus fortes, plus radicales” que la présence d’Aya Nakamura. De quoi s’attendre au pire… ou au meilleur, c’est selon.
L’homme de théâtre, qui se revendique “super-spectateur” de la cérémonie, affirme vouloir représenter la diversité et “intégrer le plus grand nombre”. Réinterroger les normes, changer les regards, telle est son ambition artistique.
Nouvelle polémique autour des JO de Paris 2024 : après la Cène revisitée en mode drag queens, une parodie de prière musulmane fait scandale. Le directeur artistique Thomas Jolly assume et promet d’autres “surprises radicales”. Choquant ou visionnaire ? pic.twitter.com/Uf8iTDeeLa
— Parisian Provocateur (@ParisianProvoc) July 28, 2024
Le secret bien gardé des cérémonies
Rendez-vous le 26 juillet 2024 pour découvrir le résultat. D’ici là, gageons que Thomas Jolly n’a pas fini de faire parler de lui et de sa cérémonie pas comme les autres. Les Jeux Olympiques de Paris 2024 s’annoncent déjà inoubliables, pour le meilleur et pour le pire.
Une chose est sûre : le directeur artistique ne compte pas se laisser dicter sa ligne par ses détracteurs. Insolence, fantaisie, humour… Il entend bien utiliser toutes les armes de la création pour “faire résonner et rayonner ce qu’incarne la France dans son histoire et sa pluralité”. Quitte à en choquer certains.
Rendez-vous le 26 juillet 2024 pour découvrir le résultat. D’ici là, gageons que Thomas Jolly n’a pas fini de faire parler de lui et de sa cérémonie pas comme les autres. Les Jeux Olympiques de Paris 2024 s’annoncent déjà inoubliables, pour le meilleur et pour le pire.
Une chose est sûre : le directeur artistique ne compte pas se laisser dicter sa ligne par ses détracteurs. Insolence, fantaisie, humour… Il entend bien utiliser toutes les armes de la création pour “faire résonner et rayonner ce qu’incarne la France dans son histoire et sa pluralité”. Quitte à en choquer certains.
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Si les fuites et les rumeurs alimentent la controverse, le contenu exact des cérémonies reste secret. Thomas Jolly se félicite d’ailleurs que les médias en sachent si peu, contrairement aux éditions précédentes. Histoire de préserver la surprise et “provoquer l’étonnement le jour dit”.
Une chose est sûre : le directeur artistique ne compte pas se laisser dicter sa ligne par ses détracteurs. Insolence, fantaisie, humour… Il entend bien utiliser toutes les armes de la création pour “faire résonner et rayonner ce qu’incarne la France dans son histoire et sa pluralité”. Quitte à en choquer certains.
Rendez-vous le 26 juillet 2024 pour découvrir le résultat. D’ici là, gageons que Thomas Jolly n’a pas fini de faire parler de lui et de sa cérémonie pas comme les autres. Les Jeux Olympiques de Paris 2024 s’annoncent déjà inoubliables, pour le meilleur et pour le pire.
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Une chose est sûre : le directeur artistique ne compte pas se laisser dicter sa ligne par ses détracteurs. Insolence, fantaisie, humour… Il entend bien utiliser toutes les armes de la création pour “faire résonner et rayonner ce qu’incarne la France dans son histoire et sa pluralité”. Quitte à en choquer certains.
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