Dans les couloirs de Sciences Po Paris, une inquiétante atmosphère s’est installée. Une milice féministe ultra-gauche autoproclamée, surnommée le “Pôle violet”, fait régner un véritable climat de terreur sur le campus. Reconnaissables à leurs menaçants brassards jaune fluo, les membres de ce groupuscule scrutent les faits et gestes des étudiants masculins, prêts à déchaîner sur eux les foudres militantes à la moindre occasion.
Un pouvoir disproportionné qui sème la peur
Le Pôle violet s’est arrogé un pouvoir démesuré au sein de la communauté étudiante de Sciences Po. Avant et après chaque soirée, ses membres inondent les réseaux de messages alarmistes sur de supposées violences sexistes et sexuelles, martelant des slogans vindicatifs tels que “la honte doit changer de camp” ou “la peur ne doit plus être de notre côté”. Mais derrière ces nobles intentions, se cachent des méthodes dignes des pires heures de l’histoire.
Une justice expéditive et sans appel
Au moindre signalement sur ses formulaires de dénonciation anonymes, le Pôle violet livre les noms des accusés en pâture à la meute militante. Sans jamais s’embarrasser de vérifier les faits, celle-ci organise alors méthodiquement l’exclusion sociale des hommes visés. Interdits de soirées étudiantes, écartés des cercles associatifs, les “coupables” désignés se retrouvent mis au ban, contraints de finir leurs études dans la honte et l’opprobre.
À Sciences Po comme au Far West, on pend d’abord, on juge ensuite.
Face à cette justice expéditive digne de l’Inquisition, les accusés sont impuissants. Impossible pour eux de se défendre ou de prouver leur innocence. Leur simple désignation par le Pôle violet suffit à les condamner aux yeux de tous, sans autre forme de procès.
Un climat anxiogène et délétère
Les dérives du Pôle violet, qui agit en dehors de tout cadre légal, ont fait basculer Sciences Po dans une ambiance mortifère, en particulier pour les hommes. De peur d’être accusés à tort et de subir l’implacable ostracisation qui s’ensuit, ces derniers désertent peu à peu les espaces festifs et associatifs, laissant le champ libre aux furies féministes qui imposent leur loi.
L’objectif du Pôle violet est atteint. La peur a changé de camp. Mais à quel prix ?
Les autorités de l’Institut d’études politiques, tétanisées par la peur d’être taxées de complaisance envers les “violences patriarcales”, laissent pour l’heure le Pôle violet agir en toute impunité. Mais jusqu’où iront les dérives de cette inquiétante milice avant que quelqu’un n’ose enfin dire stop ? Les étudiants masculins de Sciences Po, eux, retiennent leur souffle. Terrifiés à l’idée que leur tour ne vienne.