Le monde du football a été stupéfié d’apprendre que Pep Guardiola, l’emblématique entraîneur de Manchester City, s’était automutilé après le match nul 3-3 concédé à domicile face au Feyenoord Rotterdam en phase de groupes de la Ligue des Champions. Un geste aussi choquant qu’extrême, révélateur de la passion dévorante du technicien espagnol pour son sport.
Un spectacle stupéfiant en conférence de presse
Lors de son passage devant les journalistes après la rencontre, Pep Guardiola arborait de nombreuses griffures sur le crâne ainsi qu’une coupure sur le nez, suscitant l’incrédulité générale. Interrogé sur l’origine de ces blessures, il a expliqué laconiquement :
Je me suis fait ça avec mon doigt, avec mon ongle. Je voulais me faire du mal.
Avant de quitter précipitamment la salle en lançant un « Bonne nuit ». Une séquence surréaliste qui a immédiatement enflammé la toile et les réseaux sociaux.
Manchester City tenait la victoire
Il faut dire que le scénario du match a de quoi rendre fou. Alors que les Citizens menaient tranquillement 3-0, ils ont vu Feyenoord revenir au score en toute fin de rencontre, arrachant un nul inespéré 3-3. Un résultat catastrophique pour City dans la course aux huitièmes, qui place le club mancunien dans une position très délicate.
On imagine la frustration immense de Guardiola, perfectionniste notoire, de voir son équipe se faire rejoindre de la sorte après avoir livré une prestation globalement maîtrisée. De là à en arriver à se faire mal volontairement, il y a tout de même un pas que peu auraient imaginé le voir franchir.
La passion du jeu poussée à l’extrême
Si le geste de Pep Guardiola apparaît difficile à comprendre, il est à replacer dans le contexte de la personnalité singulière du technicien catalan. Connu pour son investissement total, sa fougue et ses émotions à fleur de peau, il a souvent été décrit comme un « drogué » de football, obnubilé par la quête de la perfection.
On se souvient de ses célébrations démesurées, de ses larmes de joie ou de tristesse, de ses coups de sang contre les arbitres ou ses propres joueurs. Pep Guardiola vit le football à 100 à l’heure, sans demi-mesure. Au risque parfois de se brûler les ailes et de basculer dans l’excès.
Guardiola ne s’économise jamais, que ce soit nerveusement ou physiquement. Il est habité par une passion dévorante pour son métier qui peut le mener à des extrémités difficilement compréhensibles.
D’après une source proche du club
Entre génie et folie, la frontière est mince
Beaucoup s’interrogent désormais sur l’état psychologique de Pep Guardiola. Ce geste d’automutilation sonne comme un signal d’alarme inquiétant, le signe d’une pression devenue trop difficile à supporter. La quête obsessionnelle de victoires et de trophées semble désormais le dévorer de l’intérieur.
Manchester City va-t-il devoir se passer des services de son entraîneur star ? Va-t-on assister à une mise en retrait, temporaire ou définitive, de Guardiola ? Les prochains jours seront décisifs et le monde du ballon rond retient son souffle. Une chose est sûre, cette histoire rocambolesque restera dans les annales.
Les réactions contrastées des observateurs
Le geste de Pep Guardiola suscite des réactions très contrastées parmi les suiveurs du football :
- Certains s’inquiètent pour sa santé mentale et appellent à plus de mesure et de recul
- D’autres au contraire saluent sa passion exacerbée et son refus du demi-mesure, y voyant la marque des plus grands
- Les plus critiques dénoncent un comportement immature et irresponsable indigne d’un entraîneur de ce niveau
Une chose est sûre, cet épisode marque un nouveau chapitre dans la controverse que Pep Guardiola traîne avec lui depuis ses débuts. Génie visionnaire pour les uns, personnalité instable pour les autres, il ne laisse personne indifférent. Et continue d’alimenter sa légende, dans le meilleur comme dans le pire.
Avec Guardiola, on navigue toujours entre le sublime et le trash, entre l’innovation tactique de génie et le dérapage incontrôlé. C’est ce qui fait son sel.
Souligne un ancien joueur l’ayant côtoyé.
Reste désormais à savoir quelles seront les conséquences de ce geste inédit et particulièrement choquant. Manchester City va devoir rapidement clarifier la situation et rassurer sur l’état de santé de son coach. Un nouveau feuilleton à suivre de très près dans les prochains jours…
Il faut dire que le scénario du match a de quoi rendre fou. Alors que les Citizens menaient tranquillement 3-0, ils ont vu Feyenoord revenir au score en toute fin de rencontre, arrachant un nul inespéré 3-3. Un résultat catastrophique pour City dans la course aux huitièmes, qui place le club mancunien dans une position très délicate.
On imagine la frustration immense de Guardiola, perfectionniste notoire, de voir son équipe se faire rejoindre de la sorte après avoir livré une prestation globalement maîtrisée. De là à en arriver à se faire mal volontairement, il y a tout de même un pas que peu auraient imaginé le voir franchir.
La passion du jeu poussée à l’extrême
Si le geste de Pep Guardiola apparaît difficile à comprendre, il est à replacer dans le contexte de la personnalité singulière du technicien catalan. Connu pour son investissement total, sa fougue et ses émotions à fleur de peau, il a souvent été décrit comme un « drogué » de football, obnubilé par la quête de la perfection.
On se souvient de ses célébrations démesurées, de ses larmes de joie ou de tristesse, de ses coups de sang contre les arbitres ou ses propres joueurs. Pep Guardiola vit le football à 100 à l’heure, sans demi-mesure. Au risque parfois de se brûler les ailes et de basculer dans l’excès.
Guardiola ne s’économise jamais, que ce soit nerveusement ou physiquement. Il est habité par une passion dévorante pour son métier qui peut le mener à des extrémités difficilement compréhensibles.
D’après une source proche du club
Entre génie et folie, la frontière est mince
Beaucoup s’interrogent désormais sur l’état psychologique de Pep Guardiola. Ce geste d’automutilation sonne comme un signal d’alarme inquiétant, le signe d’une pression devenue trop difficile à supporter. La quête obsessionnelle de victoires et de trophées semble désormais le dévorer de l’intérieur.
Manchester City va-t-il devoir se passer des services de son entraîneur star ? Va-t-on assister à une mise en retrait, temporaire ou définitive, de Guardiola ? Les prochains jours seront décisifs et le monde du ballon rond retient son souffle. Une chose est sûre, cette histoire rocambolesque restera dans les annales.
Les réactions contrastées des observateurs
Le geste de Pep Guardiola suscite des réactions très contrastées parmi les suiveurs du football :
- Certains s’inquiètent pour sa santé mentale et appellent à plus de mesure et de recul
- D’autres au contraire saluent sa passion exacerbée et son refus du demi-mesure, y voyant la marque des plus grands
- Les plus critiques dénoncent un comportement immature et irresponsable indigne d’un entraîneur de ce niveau
Une chose est sûre, cet épisode marque un nouveau chapitre dans la controverse que Pep Guardiola traîne avec lui depuis ses débuts. Génie visionnaire pour les uns, personnalité instable pour les autres, il ne laisse personne indifférent. Et continue d’alimenter sa légende, dans le meilleur comme dans le pire.
Avec Guardiola, on navigue toujours entre le sublime et le trash, entre l’innovation tactique de génie et le dérapage incontrôlé. C’est ce qui fait son sel.
Souligne un ancien joueur l’ayant côtoyé.
Reste désormais à savoir quelles seront les conséquences de ce geste inédit et particulièrement choquant. Manchester City va devoir rapidement clarifier la situation et rassurer sur l’état de santé de son coach. Un nouveau feuilleton à suivre de très près dans les prochains jours…
