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Nouvelle affaire de racisme au tribunal : Divine Kinkela, militante PCF, porte plainte

Une affaire de racisme au tribunal de Montargis indigne. Divine Kinkela, militante PCF, porte plainte pour des propos racistes. Son avocat n'est autre que Frank Berton, celui de Salah Abdeslam. Le gouvernement réagit et promet des sanctions. Retour sur une polémique qui ne fait que commencer...

C’est une affaire qui suscite l’indignation et relance le débat sur le racisme dans les institutions. Divine Kinkela, militante du Parti Communiste Français, affirme avoir été victime de propos racistes au tribunal de Montargis. Son avocat n’est autre que Me Frank Berton, connu pour avoir défendu Salah Abdeslam. Le gouvernement a rapidement réagi, promettant des sanctions. Retour sur une polémique qui ne fait que commencer.

Une militante PCF cible de propos racistes au tribunal

Tout commence le 20 juin dernier, lorsque le magazine Envoyé Spécial diffuse un reportage sur le Rassemblement National. Le sujet évoque le cas de Divine Kinkela, se disant victime de racisme, sans préciser qu’elle est militante du PCF.

Née en France de parents congolais, la jeune femme de 29 ans est responsable du Mouvement Jeunes Communistes. Très engagée, elle participe à de nombreuses actions anti-racistes. C’est lors d’un procès au tribunal de Montargis qu’elle aurait subi des remarques blessantes sur sa couleur de peau, de la part d’une fonctionnaire de justice.

Je suis choquée et révoltée. En 2024, il est inadmissible d’entendre ce genre de propos de la part d’une représentante de l’État.

Divine Kinkela

Le couple menacé sur les réseaux sociaux

Suite à la médiatisation de l’affaire, le compagnon de Divine Kinkela et elle ont fait l’objet de graves menaces sur internet. Leur adresse a même été diffusée sur les réseaux. La Police Nationale a ouvert une enquête. Le couple a dû être placé sous protection.

Des rassemblements sont organisés dans plusieurs villes par des collectifs citoyens et des associations. Au sein du Front Populaire, ce nouveau mouvement de gauche radicale qui prend de l’ampleur, Divine Kinkela apparaît même comme une figure montante. Elle était d’ailleurs en photo aux côtés de ses leaders lors d’une récente manifestation.

Pour la militante, cette affaire est l’occasion de rappeler que le combat anti-raciste est loin d’être gagné. Dans une société de plus en plus polarisée, où les tensions identitaires sont exacerbées, son parcours jette une lumière crue sur les discriminations qui gangrènent encore de nombreuses institutions, y compris celles chargées de dire le droit.

Si même la justice, qui est censée être impartiale et équitable, véhicule du racisme, où allons-nous ? Il est temps d’un vrai sursaut républicain !

Une manifestante

L’affaire Divine Kinkela ne fait sans doute que commencer. Alors que la fonctionnaire risque des sanctions disciplinaires et pénales, la bataille judiciaire et médiatique promet d’être intense. Mais au-delà, c’est bien la question de l’exemplarité de l’État et de ses agents dans la lutte contre le racisme qui est posée. Un débat plus que jamais d’actualité.

Des rassemblements sont organisés dans plusieurs villes par des collectifs citoyens et des associations. Au sein du Front Populaire, ce nouveau mouvement de gauche radicale qui prend de l’ampleur, Divine Kinkela apparaît même comme une figure montante. Elle était d’ailleurs en photo aux côtés de ses leaders lors d’une récente manifestation.

Pour la militante, cette affaire est l’occasion de rappeler que le combat anti-raciste est loin d’être gagné. Dans une société de plus en plus polarisée, où les tensions identitaires sont exacerbées, son parcours jette une lumière crue sur les discriminations qui gangrènent encore de nombreuses institutions, y compris celles chargées de dire le droit.

Si même la justice, qui est censée être impartiale et équitable, véhicule du racisme, où allons-nous ? Il est temps d’un vrai sursaut républicain !

Une manifestante

L’affaire Divine Kinkela ne fait sans doute que commencer. Alors que la fonctionnaire risque des sanctions disciplinaires et pénales, la bataille judiciaire et médiatique promet d’être intense. Mais au-delà, c’est bien la question de l’exemplarité de l’État et de ses agents dans la lutte contre le racisme qui est posée. Un débat plus que jamais d’actualité.

De son côté, le Rassemblement National dénonce “une manipulation politique” et “une attaque contre la justice”. Jordan Bardella évoque “une militante d’extrême gauche qui joue les victimes”.

Une nouvelle étape dans la lutte anti-raciste

Pour de nombreux militants, le combat de Divine Kinkela marque un tournant. Sur les réseaux sociaux, les messages de soutien affluent, avec le hashtag #JeSuisDivine. Une pétition demandant des sanctions exemplaires contre la fonctionnaire a recueilli plus de 50.000 signatures.

Des rassemblements sont organisés dans plusieurs villes par des collectifs citoyens et des associations. Au sein du Front Populaire, ce nouveau mouvement de gauche radicale qui prend de l’ampleur, Divine Kinkela apparaît même comme une figure montante. Elle était d’ailleurs en photo aux côtés de ses leaders lors d’une récente manifestation.

Pour la militante, cette affaire est l’occasion de rappeler que le combat anti-raciste est loin d’être gagné. Dans une société de plus en plus polarisée, où les tensions identitaires sont exacerbées, son parcours jette une lumière crue sur les discriminations qui gangrènent encore de nombreuses institutions, y compris celles chargées de dire le droit.

Si même la justice, qui est censée être impartiale et équitable, véhicule du racisme, où allons-nous ? Il est temps d’un vrai sursaut républicain !

Une manifestante

L’affaire Divine Kinkela ne fait sans doute que commencer. Alors que la fonctionnaire risque des sanctions disciplinaires et pénales, la bataille judiciaire et médiatique promet d’être intense. Mais au-delà, c’est bien la question de l’exemplarité de l’État et de ses agents dans la lutte contre le racisme qui est posée. Un débat plus que jamais d’actualité.

De son côté, le Rassemblement National dénonce “une manipulation politique” et “une attaque contre la justice”. Jordan Bardella évoque “une militante d’extrême gauche qui joue les victimes”.

Une nouvelle étape dans la lutte anti-raciste

Pour de nombreux militants, le combat de Divine Kinkela marque un tournant. Sur les réseaux sociaux, les messages de soutien affluent, avec le hashtag #JeSuisDivine. Une pétition demandant des sanctions exemplaires contre la fonctionnaire a recueilli plus de 50.000 signatures.

Des rassemblements sont organisés dans plusieurs villes par des collectifs citoyens et des associations. Au sein du Front Populaire, ce nouveau mouvement de gauche radicale qui prend de l’ampleur, Divine Kinkela apparaît même comme une figure montante. Elle était d’ailleurs en photo aux côtés de ses leaders lors d’une récente manifestation.

Pour la militante, cette affaire est l’occasion de rappeler que le combat anti-raciste est loin d’être gagné. Dans une société de plus en plus polarisée, où les tensions identitaires sont exacerbées, son parcours jette une lumière crue sur les discriminations qui gangrènent encore de nombreuses institutions, y compris celles chargées de dire le droit.

Si même la justice, qui est censée être impartiale et équitable, véhicule du racisme, où allons-nous ? Il est temps d’un vrai sursaut républicain !

Une manifestante

L’affaire Divine Kinkela ne fait sans doute que commencer. Alors que la fonctionnaire risque des sanctions disciplinaires et pénales, la bataille judiciaire et médiatique promet d’être intense. Mais au-delà, c’est bien la question de l’exemplarité de l’État et de ses agents dans la lutte contre le racisme qui est posée. Un débat plus que jamais d’actualité.

Mais loin de se laisser intimider, la militante a décidé de porter plainte pour “injure publique à caractère racial”. Elle a choisi pour avocat Me Frank Berton, célèbre pour avoir été dans le box des accusés aux côtés de Salah Abdeslam lors du procès du 13 novembre.

Frank Berton au soutien de Divine Kinkela

Le ténor du barreau a annoncé sur Twitter avoir déposé deux plaintes au nom de sa cliente : l’une contre la fonctionnaire pour “propos inadmissibles”, l’autre pour les menaces reçues. Il promet “d’aller jusqu’au bout pour que justice soit faite”.

Il est temps que les langues se délient et que le racisme soit dénoncé, où qu’il se trouve, y compris au sein de la justice.

Frank Berton

L’engagement de cet avocat médiatique donne une ampleur nationale à l’affaire. Pour Divine Kinkela, c’est l’occasion de porter un coup de projecteur sur le racisme ordinaire, y compris dans les tribunaux.

Une affaire devenue politique

L’affaire a rapidement pris une tournure politique. Dès le 22 juin, le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti réagissait sur Twitter, qualifiant les propos de “absolument inadmissibles”. Il a demandé un rapport en vue d’une suspension conservatoire de la fonctionnaire, martelant : “la haine n’aura jamais sa place dans nos tribunaux”.

Mais cette prise de position ne convainc pas les opposants. Ian Brossat, porte-parole du PCF, estime que “le gouvernement n’en fait pas assez contre le racisme, et notamment contre l’extrême droite dont les idées se banalisent dangereusement”.

De son côté, le Rassemblement National dénonce “une manipulation politique” et “une attaque contre la justice”. Jordan Bardella évoque “une militante d’extrême gauche qui joue les victimes”.

Une nouvelle étape dans la lutte anti-raciste

Pour de nombreux militants, le combat de Divine Kinkela marque un tournant. Sur les réseaux sociaux, les messages de soutien affluent, avec le hashtag #JeSuisDivine. Une pétition demandant des sanctions exemplaires contre la fonctionnaire a recueilli plus de 50.000 signatures.

Des rassemblements sont organisés dans plusieurs villes par des collectifs citoyens et des associations. Au sein du Front Populaire, ce nouveau mouvement de gauche radicale qui prend de l’ampleur, Divine Kinkela apparaît même comme une figure montante. Elle était d’ailleurs en photo aux côtés de ses leaders lors d’une récente manifestation.

Pour la militante, cette affaire est l’occasion de rappeler que le combat anti-raciste est loin d’être gagné. Dans une société de plus en plus polarisée, où les tensions identitaires sont exacerbées, son parcours jette une lumière crue sur les discriminations qui gangrènent encore de nombreuses institutions, y compris celles chargées de dire le droit.

Si même la justice, qui est censée être impartiale et équitable, véhicule du racisme, où allons-nous ? Il est temps d’un vrai sursaut républicain !

Une manifestante

L’affaire Divine Kinkela ne fait sans doute que commencer. Alors que la fonctionnaire risque des sanctions disciplinaires et pénales, la bataille judiciaire et médiatique promet d’être intense. Mais au-delà, c’est bien la question de l’exemplarité de l’État et de ses agents dans la lutte contre le racisme qui est posée. Un débat plus que jamais d’actualité.

Mais loin de se laisser intimider, la militante a décidé de porter plainte pour “injure publique à caractère racial”. Elle a choisi pour avocat Me Frank Berton, célèbre pour avoir été dans le box des accusés aux côtés de Salah Abdeslam lors du procès du 13 novembre.

Frank Berton au soutien de Divine Kinkela

Le ténor du barreau a annoncé sur Twitter avoir déposé deux plaintes au nom de sa cliente : l’une contre la fonctionnaire pour “propos inadmissibles”, l’autre pour les menaces reçues. Il promet “d’aller jusqu’au bout pour que justice soit faite”.

Il est temps que les langues se délient et que le racisme soit dénoncé, où qu’il se trouve, y compris au sein de la justice.

Frank Berton

L’engagement de cet avocat médiatique donne une ampleur nationale à l’affaire. Pour Divine Kinkela, c’est l’occasion de porter un coup de projecteur sur le racisme ordinaire, y compris dans les tribunaux.

Une affaire devenue politique

L’affaire a rapidement pris une tournure politique. Dès le 22 juin, le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti réagissait sur Twitter, qualifiant les propos de “absolument inadmissibles”. Il a demandé un rapport en vue d’une suspension conservatoire de la fonctionnaire, martelant : “la haine n’aura jamais sa place dans nos tribunaux”.

Mais cette prise de position ne convainc pas les opposants. Ian Brossat, porte-parole du PCF, estime que “le gouvernement n’en fait pas assez contre le racisme, et notamment contre l’extrême droite dont les idées se banalisent dangereusement”.

De son côté, le Rassemblement National dénonce “une manipulation politique” et “une attaque contre la justice”. Jordan Bardella évoque “une militante d’extrême gauche qui joue les victimes”.

Une nouvelle étape dans la lutte anti-raciste

Pour de nombreux militants, le combat de Divine Kinkela marque un tournant. Sur les réseaux sociaux, les messages de soutien affluent, avec le hashtag #JeSuisDivine. Une pétition demandant des sanctions exemplaires contre la fonctionnaire a recueilli plus de 50.000 signatures.

Des rassemblements sont organisés dans plusieurs villes par des collectifs citoyens et des associations. Au sein du Front Populaire, ce nouveau mouvement de gauche radicale qui prend de l’ampleur, Divine Kinkela apparaît même comme une figure montante. Elle était d’ailleurs en photo aux côtés de ses leaders lors d’une récente manifestation.

Pour la militante, cette affaire est l’occasion de rappeler que le combat anti-raciste est loin d’être gagné. Dans une société de plus en plus polarisée, où les tensions identitaires sont exacerbées, son parcours jette une lumière crue sur les discriminations qui gangrènent encore de nombreuses institutions, y compris celles chargées de dire le droit.

Si même la justice, qui est censée être impartiale et équitable, véhicule du racisme, où allons-nous ? Il est temps d’un vrai sursaut républicain !

Une manifestante

L’affaire Divine Kinkela ne fait sans doute que commencer. Alors que la fonctionnaire risque des sanctions disciplinaires et pénales, la bataille judiciaire et médiatique promet d’être intense. Mais au-delà, c’est bien la question de l’exemplarité de l’État et de ses agents dans la lutte contre le racisme qui est posée. Un débat plus que jamais d’actualité.

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