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Nouveau Gouvernement Barnier : Découvrez les Visages

Après deux semaines d'attente, le nouveau gouvernement Barnier a enfin été dévoilé. Marquée par une orientation à droite et constituée de nombreux macronistes, cette équipe de 39 ministres et secrétaires d'État promet des changements. Mais certains poids lourds manquent à l'appel. Découvrez les figures clés qui...

Après deux semaines d’attente fébrile, la composition du tant attendu gouvernement Barnier vient enfin d’être révélée au grand jour. Cette équipe de trente-neuf ministres et secrétaires d’État, marquée par une nette orientation à droite et la présence de nombreux visages venus des rangs macronistes, promet d’insuffler un vent de changement sur l’échiquier politique français. Mais derrière la jeunesse affichée de ces nouveaux ministres, on note l’absence remarquée de certains poids lourds. Passage en revue des figures marquantes de ce nouvel exécutif.

Bruno Retailleau, symbole de fermeté place Beauvau

C’est assurément l’une des nominations les plus commentées. Proche de François Fillon dont il fut un fidèle lieutenant, le sénateur LR Bruno Retailleau s’est forgé une réputation d’homme politique à la « rigueur implacable ». Son arrivée au ministère de l’Intérieur est un signal fort envoyé en matière de sécurité. Partisan d’une ligne dure, il aura la lourde tâche de restaurer l’autorité de l’État, mise à mal ces derniers mois.

Sébastien Lecornu, un trait d’union avec l’Élysée

En le maintenant au ministère des Armées, le tandem exécutif envoie un message de continuité à nos forces armées dans un contexte géopolitique tendu. Sébastien Lecornu, qui a su tisser des liens de confiance avec l’institution militaire, sera un précieux relais entre l’Élysée et les états-majors.

Jean-Noël Barrot, la consécration d’un jeune loup de la macronie

Annie Genevard, caution de la droite sociale à l’Agriculture

Opposante historique à un rapprochement avec le camp présidentiel lorsqu’elle dirigeait LR par intérim, Annie Genevard a finalement franchi le Rubicon. Sa nomination rue de Varenne se veut un gage donné à la droite sociale et aux territoires ruraux. Un portefeuille stratégique à l’heure où les négociations sur la future PAC battent leur plein à Bruxelles.

Catherine Vautrin, un retour aux affaires

Retraitée de la vie politique depuis sa défaite aux législatives en 2017 face à un candidat LREM, Catherine Vautrin effectue un retour remarqué au sein du gouvernement. Cette proche de Nicolas Sarkozy hérite d’un large portefeuille aux contours encore flous, centré sur le partenariat avec les territoires et la décentralisation. Un dossier explosif qui promet de susciter d’intenses tractations avec les élus locaux.

Les grands absents

Si cette équipe gouvernementale se veut un savant équilibre entre renouvellement et expérience, force est de constater que certains ténors manquent à l’appel. Exit ainsi Bruno Le Maire qui paie sans doute sa récente sortie critiquant la ligne jugée trop à droite. Édouard Philippe, donné un temps pressenti pour Matignon, n’apparaît pas non plus dans l’organigramme. Ses ambitions présidentielles ont-elles effrayé l’Élysée ? Autre absent de marque : Laurent Wauquiez, qui n’a, semble-t-il, pas donné suite aux appels du pied de l’exécutif.

Il faut que tout change pour que rien ne change

– Le Guépard, Visconti

Au final, ce remaniement s’apparente à un subtil numéro d’équilibriste politique. S’il permet à Michel Barnier d’imprimer sa marque, il ne rompt pas fondamentalement avec la précédente équipe. Comme une illustration de la fameuse citation du Guépard de Visconti : « Il faut que tout change pour que rien ne change ». Reste désormais à cette nouvelle équipe à relever les immenses défis économiques et sociaux qui l’attendent. Et à traduire en actes ce qui pour l’heure relève encore largement de la communication politique.

Annie Genevard, caution de la droite sociale à l’Agriculture

Opposante historique à un rapprochement avec le camp présidentiel lorsqu’elle dirigeait LR par intérim, Annie Genevard a finalement franchi le Rubicon. Sa nomination rue de Varenne se veut un gage donné à la droite sociale et aux territoires ruraux. Un portefeuille stratégique à l’heure où les négociations sur la future PAC battent leur plein à Bruxelles.

Catherine Vautrin, un retour aux affaires

Retraitée de la vie politique depuis sa défaite aux législatives en 2017 face à un candidat LREM, Catherine Vautrin effectue un retour remarqué au sein du gouvernement. Cette proche de Nicolas Sarkozy hérite d’un large portefeuille aux contours encore flous, centré sur le partenariat avec les territoires et la décentralisation. Un dossier explosif qui promet de susciter d’intenses tractations avec les élus locaux.

Les grands absents

Si cette équipe gouvernementale se veut un savant équilibre entre renouvellement et expérience, force est de constater que certains ténors manquent à l’appel. Exit ainsi Bruno Le Maire qui paie sans doute sa récente sortie critiquant la ligne jugée trop à droite. Édouard Philippe, donné un temps pressenti pour Matignon, n’apparaît pas non plus dans l’organigramme. Ses ambitions présidentielles ont-elles effrayé l’Élysée ? Autre absent de marque : Laurent Wauquiez, qui n’a, semble-t-il, pas donné suite aux appels du pied de l’exécutif.

Il faut que tout change pour que rien ne change

– Le Guépard, Visconti

Au final, ce remaniement s’apparente à un subtil numéro d’équilibriste politique. S’il permet à Michel Barnier d’imprimer sa marque, il ne rompt pas fondamentalement avec la précédente équipe. Comme une illustration de la fameuse citation du Guépard de Visconti : « Il faut que tout change pour que rien ne change ». Reste désormais à cette nouvelle équipe à relever les immenses défis économiques et sociaux qui l’attendent. Et à traduire en actes ce qui pour l’heure relève encore largement de la communication politique.

La nomination de Jean-Noël Barrot au Quai d’Orsay est une belle prise pour ce quadragénaire issu d’une famille de politiques chevronnés. Libéral convaincu, europén enthousiaste, son profil tranche avec celui de Catherine Colonna. Son défi : réconcilier la France avec ses partenaires européens après des mois de tensions.

Annie Genevard, caution de la droite sociale à l’Agriculture

Opposante historique à un rapprochement avec le camp présidentiel lorsqu’elle dirigeait LR par intérim, Annie Genevard a finalement franchi le Rubicon. Sa nomination rue de Varenne se veut un gage donné à la droite sociale et aux territoires ruraux. Un portefeuille stratégique à l’heure où les négociations sur la future PAC battent leur plein à Bruxelles.

Catherine Vautrin, un retour aux affaires

Retraitée de la vie politique depuis sa défaite aux législatives en 2017 face à un candidat LREM, Catherine Vautrin effectue un retour remarqué au sein du gouvernement. Cette proche de Nicolas Sarkozy hérite d’un large portefeuille aux contours encore flous, centré sur le partenariat avec les territoires et la décentralisation. Un dossier explosif qui promet de susciter d’intenses tractations avec les élus locaux.

Les grands absents

Si cette équipe gouvernementale se veut un savant équilibre entre renouvellement et expérience, force est de constater que certains ténors manquent à l’appel. Exit ainsi Bruno Le Maire qui paie sans doute sa récente sortie critiquant la ligne jugée trop à droite. Édouard Philippe, donné un temps pressenti pour Matignon, n’apparaît pas non plus dans l’organigramme. Ses ambitions présidentielles ont-elles effrayé l’Élysée ? Autre absent de marque : Laurent Wauquiez, qui n’a, semble-t-il, pas donné suite aux appels du pied de l’exécutif.

Il faut que tout change pour que rien ne change

– Le Guépard, Visconti

Au final, ce remaniement s’apparente à un subtil numéro d’équilibriste politique. S’il permet à Michel Barnier d’imprimer sa marque, il ne rompt pas fondamentalement avec la précédente équipe. Comme une illustration de la fameuse citation du Guépard de Visconti : « Il faut que tout change pour que rien ne change ». Reste désormais à cette nouvelle équipe à relever les immenses défis économiques et sociaux qui l’attendent. Et à traduire en actes ce qui pour l’heure relève encore largement de la communication politique.

La nomination de Jean-Noël Barrot au Quai d’Orsay est une belle prise pour ce quadragénaire issu d’une famille de politiques chevronnés. Libéral convaincu, europén enthousiaste, son profil tranche avec celui de Catherine Colonna. Son défi : réconcilier la France avec ses partenaires européens après des mois de tensions.

Annie Genevard, caution de la droite sociale à l’Agriculture

Opposante historique à un rapprochement avec le camp présidentiel lorsqu’elle dirigeait LR par intérim, Annie Genevard a finalement franchi le Rubicon. Sa nomination rue de Varenne se veut un gage donné à la droite sociale et aux territoires ruraux. Un portefeuille stratégique à l’heure où les négociations sur la future PAC battent leur plein à Bruxelles.

Catherine Vautrin, un retour aux affaires

Retraitée de la vie politique depuis sa défaite aux législatives en 2017 face à un candidat LREM, Catherine Vautrin effectue un retour remarqué au sein du gouvernement. Cette proche de Nicolas Sarkozy hérite d’un large portefeuille aux contours encore flous, centré sur le partenariat avec les territoires et la décentralisation. Un dossier explosif qui promet de susciter d’intenses tractations avec les élus locaux.

Les grands absents

Si cette équipe gouvernementale se veut un savant équilibre entre renouvellement et expérience, force est de constater que certains ténors manquent à l’appel. Exit ainsi Bruno Le Maire qui paie sans doute sa récente sortie critiquant la ligne jugée trop à droite. Édouard Philippe, donné un temps pressenti pour Matignon, n’apparaît pas non plus dans l’organigramme. Ses ambitions présidentielles ont-elles effrayé l’Élysée ? Autre absent de marque : Laurent Wauquiez, qui n’a, semble-t-il, pas donné suite aux appels du pied de l’exécutif.

Il faut que tout change pour que rien ne change

– Le Guépard, Visconti

Au final, ce remaniement s’apparente à un subtil numéro d’équilibriste politique. S’il permet à Michel Barnier d’imprimer sa marque, il ne rompt pas fondamentalement avec la précédente équipe. Comme une illustration de la fameuse citation du Guépard de Visconti : « Il faut que tout change pour que rien ne change ». Reste désormais à cette nouvelle équipe à relever les immenses défis économiques et sociaux qui l’attendent. Et à traduire en actes ce qui pour l’heure relève encore largement de la communication politique.

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