850 ans d’histoire, 5 ans de reconstruction acharnée, et voici venu le grand moment : Notre-Dame de Paris, joyau du patrimoine français et monument parmi les plus visités au monde, rouvre enfin ses portes ce week-end. Deux jours de festivités qui déclinent plusieurs temps forts, entre rassemblement républicain, prouesses architecturales et ferveur spirituelle. Retour sur un événement qui signe la renaissance d’un symbole national.
Un week-end sous le signe de l’unité et de la fierté
Pour célébrer la résurrection de la cathédrale, un programme riche et éclectique a été concocté par les autorités. L’objectif : marquer le coup et fédérer les Français autour de ce monument qui cristallise « l’imaginaire national depuis 850 ans », selon l’entourage d’Emmanuel Macron.
Le Président lui-même sera présent ce samedi pour une allocution solennelle, rappelant l’importance de Notre-Dame dans l’Histoire de France. Un discours très attendu, 5 ans après son fameux « nous rebâtirons Notre-Dame » lancé le soir même de l’incendie.
Des cérémonies religieuses pour renouer avec la vocation spirituelle
Car au-delà du symbole national, Notre-Dame reste avant tout un lieu de culte. Propriété de l’État, la cathédrale retrouve ce week-end sa fonction première avec plusieurs offices religieux. Point d’orgue : une messe solennelle dimanche après-midi, en présence de plus de 2000 invités triés sur le volet.
Le tout sera diffusé sur écrans géants sur le parvis, pour permettre au plus grand nombre de participer à ce moment de recueillement. L’archevêque de Paris, Monseigneur Laurent Ulrich, a parlé d’une « immense joie » de voir la cathédrale rouvrir au culte.
Un concert pour faire rayonner Notre-Dame à travers le monde
Car la réouverture de la cathédrale est aussi le couronnement d’un chantier titanesque, mené tambour battant pendant 5 ans. Des centaines d’artisans et d’experts se sont relayés jour et nuit pour relever ce défi, faisant appel à des techniques ancestrales comme ultramodernes.
Notre-Dame est un condensé du savoir-faire français, de l’inventivité de nos bâtisseurs. C’est un exploit dont nous pouvons être fiers.
Un architecte du chantier
Parmi les prouesses saluées : la reconstruction à l’identique de la charpente, la fameuse « forêt », entièrement réalisée en chênes issus de toute la France. Ou encore la restauration minutieuse des vitraux et des grandes orgues, des joyaux inestimables.
Un élan de générosité sans précédent
Derrière cet exploit, il y a aussi un immense élan de solidarité. Dès les premières heures après l’incendie, les dons ont afflué du monde entier pour financer la reconstruction. Au total, près de 340 000 donateurs, issus de 150 pays, ont contribué à hauteur de 844 millions d’euros.
Des chèques de quelques euros aux contributions records de grandes fortunes et entreprises, c’est toute une nation, et bien au-delà, qui s’est mobilisée pour sauver ce symbole de l’art gothique. Un bel exemple de ce que l’union et le dépassement de soi peuvent accomplir.
Le chantier se poursuit
Si la réouverture de la cathédrale est une victoire en soi, le chantier est loin d’être terminé. Les abords doivent encore être réaménagés, tandis que certaines parties de l’édifice nécessitent toujours des travaux. Le marathon de la reconstruction va donc se poursuivre encore plusieurs années.
Mais en attendant, les Français peuvent de nouveau frémir devant la majesté des voûtes, s’émerveiller des rosaces flamboyantes et vibrer au son des cloches de Notre-Dame. Autant de sensations qui ont manqué à des millions de visiteurs et de croyants pendant ces cinq longues années.
Ces célébrations marquent donc le retour d’un pan essentiel de notre patrimoine, de notre identité. Une renaissance qui sonne comme une revanche sur les flammes, et un message d’espoir pour l’avenir. Notre-Dame est éternelle, et continuera de se dresser fièrement au cœur de Paris pour les siècles à venir.
Car la réouverture de la cathédrale est aussi le couronnement d’un chantier titanesque, mené tambour battant pendant 5 ans. Des centaines d’artisans et d’experts se sont relayés jour et nuit pour relever ce défi, faisant appel à des techniques ancestrales comme ultramodernes.
Notre-Dame est un condensé du savoir-faire français, de l’inventivité de nos bâtisseurs. C’est un exploit dont nous pouvons être fiers.
Un architecte du chantier
Parmi les prouesses saluées : la reconstruction à l’identique de la charpente, la fameuse « forêt », entièrement réalisée en chênes issus de toute la France. Ou encore la restauration minutieuse des vitraux et des grandes orgues, des joyaux inestimables.
Un élan de générosité sans précédent
Derrière cet exploit, il y a aussi un immense élan de solidarité. Dès les premières heures après l’incendie, les dons ont afflué du monde entier pour financer la reconstruction. Au total, près de 340 000 donateurs, issus de 150 pays, ont contribué à hauteur de 844 millions d’euros.
Des chèques de quelques euros aux contributions records de grandes fortunes et entreprises, c’est toute une nation, et bien au-delà, qui s’est mobilisée pour sauver ce symbole de l’art gothique. Un bel exemple de ce que l’union et le dépassement de soi peuvent accomplir.
Le chantier se poursuit
Si la réouverture de la cathédrale est une victoire en soi, le chantier est loin d’être terminé. Les abords doivent encore être réaménagés, tandis que certaines parties de l’édifice nécessitent toujours des travaux. Le marathon de la reconstruction va donc se poursuivre encore plusieurs années.
Mais en attendant, les Français peuvent de nouveau frémir devant la majesté des voûtes, s’émerveiller des rosaces flamboyantes et vibrer au son des cloches de Notre-Dame. Autant de sensations qui ont manqué à des millions de visiteurs et de croyants pendant ces cinq longues années.
Ces célébrations marquent donc le retour d’un pan essentiel de notre patrimoine, de notre identité. Une renaissance qui sonne comme une revanche sur les flammes, et un message d’espoir pour l’avenir. Notre-Dame est éternelle, et continuera de se dresser fièrement au cœur de Paris pour les siècles à venir.
Autre temps fort très attendu : un grand concert sera donné samedi soir dans la cathédrale. Sous la direction de Gustavo Dudamel, des virtuoses comme violoncelliste Gautier Capuçon ou la soprano Julie Fuchs interpréteront des œuvres de Bach, Mozart ou Schubert.
Un événement musical d’exception, qui sera retransmis en direct dans plus de 150 pays. De quoi faire rayonner Notre-Dame de Paris aux quatre coins du globe, et remercier les donateurs étrangers qui ont participé à sa renaissance.
Des prouesses architecturales saluées
Car la réouverture de la cathédrale est aussi le couronnement d’un chantier titanesque, mené tambour battant pendant 5 ans. Des centaines d’artisans et d’experts se sont relayés jour et nuit pour relever ce défi, faisant appel à des techniques ancestrales comme ultramodernes.
Notre-Dame est un condensé du savoir-faire français, de l’inventivité de nos bâtisseurs. C’est un exploit dont nous pouvons être fiers.
Un architecte du chantier
Parmi les prouesses saluées : la reconstruction à l’identique de la charpente, la fameuse « forêt », entièrement réalisée en chênes issus de toute la France. Ou encore la restauration minutieuse des vitraux et des grandes orgues, des joyaux inestimables.
Un élan de générosité sans précédent
Derrière cet exploit, il y a aussi un immense élan de solidarité. Dès les premières heures après l’incendie, les dons ont afflué du monde entier pour financer la reconstruction. Au total, près de 340 000 donateurs, issus de 150 pays, ont contribué à hauteur de 844 millions d’euros.
Des chèques de quelques euros aux contributions records de grandes fortunes et entreprises, c’est toute une nation, et bien au-delà, qui s’est mobilisée pour sauver ce symbole de l’art gothique. Un bel exemple de ce que l’union et le dépassement de soi peuvent accomplir.
Le chantier se poursuit
Si la réouverture de la cathédrale est une victoire en soi, le chantier est loin d’être terminé. Les abords doivent encore être réaménagés, tandis que certaines parties de l’édifice nécessitent toujours des travaux. Le marathon de la reconstruction va donc se poursuivre encore plusieurs années.
Mais en attendant, les Français peuvent de nouveau frémir devant la majesté des voûtes, s’émerveiller des rosaces flamboyantes et vibrer au son des cloches de Notre-Dame. Autant de sensations qui ont manqué à des millions de visiteurs et de croyants pendant ces cinq longues années.
Ces célébrations marquent donc le retour d’un pan essentiel de notre patrimoine, de notre identité. Une renaissance qui sonne comme une revanche sur les flammes, et un message d’espoir pour l’avenir. Notre-Dame est éternelle, et continuera de se dresser fièrement au cœur de Paris pour les siècles à venir.
Autre temps fort très attendu : un grand concert sera donné samedi soir dans la cathédrale. Sous la direction de Gustavo Dudamel, des virtuoses comme violoncelliste Gautier Capuçon ou la soprano Julie Fuchs interpréteront des œuvres de Bach, Mozart ou Schubert.
Un événement musical d’exception, qui sera retransmis en direct dans plus de 150 pays. De quoi faire rayonner Notre-Dame de Paris aux quatre coins du globe, et remercier les donateurs étrangers qui ont participé à sa renaissance.
Des prouesses architecturales saluées
Car la réouverture de la cathédrale est aussi le couronnement d’un chantier titanesque, mené tambour battant pendant 5 ans. Des centaines d’artisans et d’experts se sont relayés jour et nuit pour relever ce défi, faisant appel à des techniques ancestrales comme ultramodernes.
Notre-Dame est un condensé du savoir-faire français, de l’inventivité de nos bâtisseurs. C’est un exploit dont nous pouvons être fiers.
Un architecte du chantier
Parmi les prouesses saluées : la reconstruction à l’identique de la charpente, la fameuse « forêt », entièrement réalisée en chênes issus de toute la France. Ou encore la restauration minutieuse des vitraux et des grandes orgues, des joyaux inestimables.
Un élan de générosité sans précédent
Derrière cet exploit, il y a aussi un immense élan de solidarité. Dès les premières heures après l’incendie, les dons ont afflué du monde entier pour financer la reconstruction. Au total, près de 340 000 donateurs, issus de 150 pays, ont contribué à hauteur de 844 millions d’euros.
Des chèques de quelques euros aux contributions records de grandes fortunes et entreprises, c’est toute une nation, et bien au-delà, qui s’est mobilisée pour sauver ce symbole de l’art gothique. Un bel exemple de ce que l’union et le dépassement de soi peuvent accomplir.
Le chantier se poursuit
Si la réouverture de la cathédrale est une victoire en soi, le chantier est loin d’être terminé. Les abords doivent encore être réaménagés, tandis que certaines parties de l’édifice nécessitent toujours des travaux. Le marathon de la reconstruction va donc se poursuivre encore plusieurs années.
Mais en attendant, les Français peuvent de nouveau frémir devant la majesté des voûtes, s’émerveiller des rosaces flamboyantes et vibrer au son des cloches de Notre-Dame. Autant de sensations qui ont manqué à des millions de visiteurs et de croyants pendant ces cinq longues années.
Ces célébrations marquent donc le retour d’un pan essentiel de notre patrimoine, de notre identité. Une renaissance qui sonne comme une revanche sur les flammes, et un message d’espoir pour l’avenir. Notre-Dame est éternelle, et continuera de se dresser fièrement au cœur de Paris pour les siècles à venir.