Une tragédie maritime s’est produite lundi au large des côtes égyptiennes de la mer Rouge, lorsqu’un navire de croisière spécialisé dans la plongée a sombré avec à son bord 31 touristes de diverses nationalités et 14 membres d’équipage. Selon les autorités, malgré une opération de secours aérienne et maritime qui a permis d’évacuer 28 survivants, 17 personnes restent portées disparues.
Le Sea Story, le bateau sinistré, avait quitté Port Ghalib dimanche pour une expédition de plongée de plusieurs jours qui devait s’achever vendredi à Hurghada, 200 km plus au nord. Mais à 5h30 lundi matin, des signaux de détresse ont été émis par le navire, déclenchant une vaste opération de secours.
Une course contre la montre pour retrouver les disparus
Dès l’alerte donnée, les autorités locales ont déployé d’importants moyens aériens et maritimes pour porter assistance aux naufragés. Selon le gouverneur de la région, des survivants ont pu être secourus par hélicoptère tandis que d’autres ont été évacués sur un navire militaire. Mais à l’heure actuelle, 17 occupants du bateau restent introuvables.
Une source proche du dossier a indiqué que les recherches se poursuivent activement en étroite collaboration entre la marine et les forces armées égyptiennes. Tous les moyens sont mis en œuvre pour tenter de localiser et secourir les passagers et membres d’équipage manquants dans les meilleurs délais.
Les causes de l’accident restent inconnues
Pour l’instant, les autorités n’ont communiqué aucun élément sur les circonstances exactes et les causes de ce naufrage. On ignore également les nationalités des touristes qui se trouvaient à bord du Sea Story au moment du drame. Une enquête devra faire la lumière sur cet accident maritime qui endeuille le secteur touristique égyptien.
La mer Rouge, joyau touristique mais zone à risques
Avec ses fonds marins spectaculaires et ses récifs coralliens, la mer Rouge attire chaque année des millions de visiteurs en Égypte. Le tourisme, secteur crucial pour ce pays de 105 millions d’habitants en proie à une crise économique, emploie environ 2 millions de personnes et contribue à plus de 10% du PIB national.
Mais la région de Marsa Alam, sur la côte orientale, a déjà été le théâtre d’au moins trois accidents similaires cette année. Début novembre, 30 personnes avaient été secourues in extremis alors que leur bateau de plongée sombrait près du récif Deadalus. En juin, une vingtaine de touristes français ont échappé de justesse au naufrage de leur embarcation lors d’un incident du même type.
Les règles de sécurité pour les excursions en mer sont strictes mais inégalement appliquées.
Un professionnel du secteur touristique en mer Rouge
Un an plus tôt, trois ressortissants britanniques avaient malheureusement trouvé la mort dans l’incendie et le naufrage de leur yacht de plaisance. Malgré des normes réglementaires rigoureuses, le respect des procédures de sécurité semble parfois faire défaut dans cette région qui voit des dizaines de bateaux de plongée sillonner quotidiennement ses îles et ses récifs.
Les opérations de secours se poursuivent
À l’heure où nous publions cet article, les recherches se poursuivent en mer Rouge pour tenter de retrouver les 17 personnes portées disparues dans le naufrage du Sea Story. Les autorités égyptiennes mobilisent tous les moyens disponibles avec l’espoir de localiser et porter secours à d’éventuels survivants le plus rapidement possible.
Cet accident dramatique rappelle les dangers potentiels des excursions maritimes et la nécessité d’appliquer avec la plus grande rigueur les règles de sécurité indispensables pour les touristes comme pour les professionnels. L’Égypte, qui mise énormément sur son secteur touristique, devra veiller à éviter la répétition de tels drames pour ne pas écorner son image de destination phare pour les amateurs de mer et de plongée.
Mais la région de Marsa Alam, sur la côte orientale, a déjà été le théâtre d’au moins trois accidents similaires cette année. Début novembre, 30 personnes avaient été secourues in extremis alors que leur bateau de plongée sombrait près du récif Deadalus. En juin, une vingtaine de touristes français ont échappé de justesse au naufrage de leur embarcation lors d’un incident du même type.
Les règles de sécurité pour les excursions en mer sont strictes mais inégalement appliquées.
Un professionnel du secteur touristique en mer Rouge
Un an plus tôt, trois ressortissants britanniques avaient malheureusement trouvé la mort dans l’incendie et le naufrage de leur yacht de plaisance. Malgré des normes réglementaires rigoureuses, le respect des procédures de sécurité semble parfois faire défaut dans cette région qui voit des dizaines de bateaux de plongée sillonner quotidiennement ses îles et ses récifs.
Les opérations de secours se poursuivent
À l’heure où nous publions cet article, les recherches se poursuivent en mer Rouge pour tenter de retrouver les 17 personnes portées disparues dans le naufrage du Sea Story. Les autorités égyptiennes mobilisent tous les moyens disponibles avec l’espoir de localiser et porter secours à d’éventuels survivants le plus rapidement possible.
Cet accident dramatique rappelle les dangers potentiels des excursions maritimes et la nécessité d’appliquer avec la plus grande rigueur les règles de sécurité indispensables pour les touristes comme pour les professionnels. L’Égypte, qui mise énormément sur son secteur touristique, devra veiller à éviter la répétition de tels drames pour ne pas écorner son image de destination phare pour les amateurs de mer et de plongée.