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Miss France 2026 : Hinaupoko Deveze, Miss Tahiti Couronnée !

Ce samedi soir, une jeune femme de 22 ans originaire de Tahiti a fait vibrer la France entière. Quand la couronne Mauboussin s’est posée sur sa tête, les larmes ont coulé… Mais comment Hinaupoko Deveze a-t-elle conquis le public et le jury en quelques minutes ? La réponse va vous surprendre.

Il y a des soirs où la télévision française retrouve toute sa magie. Ce samedi 6 décembre 2025, le Zénith d’Amiens a tremblé sous les applaudissements quand Jean-Pierre Foucault a prononcé ces mots attendus par des millions de téléspectateurs : « Miss France 2026 est… Miss Tahiti ! » Hinaupoko Deveze, 22 ans, a littéralement illuminé l’écran avant même de recevoir la couronne des mains d’Angélique Angarni-Filopon. Une victoire aussi belle qu’inattendue.

Une soirée placée sous le signe de l’émotion pure

Diffusée en direct sur TF1, l’élection Miss France 2026 restera gravée dans les mémoires. Pas seulement pour le glamour habituel, mais pour l’intensité des moments vécus. Dès l’ouverture, Angélique Angarni-Filopon, Miss France 2025, est apparue les yeux rougis, incapable de retenir ses larmes en quittant la scène qu’elle a illuminée pendant un an. Un passage de témoin bouleversant qui a donné le ton : cette édition allait être différente.

Puis vint le moment où Hinaupoko Deveze a littéralement volé la vedette. Son passage en maillot de bain ? Parfait. Son élégance en robe de soirée ? Éblouissante. Mais c’est surtout son naturel désarmant et son sourire communicatif qui ont fait chavirer le public dès les premières minutes.

Le discours qui a tout changé

Quand arrive l’épreuve tant redoutée du discours final, certaines candidates tremblent, d’autres récitent. Hinaupoko, elle, a parlé avec le cœur. Debout face au jury présidé par Michèle Bernier, elle a déclaré d’une voix claire et émue :

« Cette victoire, elle est collective. Elle appartient à tout un peuple, à toutes les personnes qui m’ont portée jusqu’ici. Je veux représenter une France diverse, forte de ses différences et fière de ses racines. »

Dans la salle, un silence religieux. Puis une ovation debout. Même les plus blasés des observateurs ont senti les frissons. Ce n’était plus une simple élection de beauté : c’était un message d’unité et de fierté polynésienne qui résonnait jusqu’en métropole.

Une Miss Tahiti déjà dans le top dès les répétitions

Ce qui rend cette victoire encore plus belle, c’est qu’elle n’est pas tombée du ciel. Dès le voyage préparatoire en Martinique, Hinaupoko Deveze faisait partie des favorites discrètes. Lors de la sélection des 12 demi-finalistes par le jury, loin des caméras, elle avait déjà séduit. Michèle Bernier, interrogée quelques jours avant la finale, avait d’ailleurs laissé entendre qu’elle recherchait « des filles qui ont quelque chose dans le ventre ». Message reçu cinq sur cinq.

Sur scène, elle n’a jamais forcé. Pas de poses exagérées, pas de sourires figés. Juste une jeune femme de 22 ans qui semblait flotter au-dessus de la pression, comme si la couronne lui était destinée depuis toujours.

Les moments forts qui ont marqué la soirée

Entre les passages obligés, plusieurs séquences ont fait parler :

  • L’hommage émouvant rendu à Jean-Pierre Pernaut par une candidate, provoquant l’émotion de Jean-Pierre Foucault lui-même
  • La petite chute (rapidement rattrapée) de Miss Midi-Pyrénées, passée presque inaperçue à l’antenne mais qui a fait le tour des réseaux
  • Les larmes du jury lors du visionnage des portraits réalisés en Martinique – au point que la délibération du top 12 a dû être interrompue
  • L’entrée en scène d’Angélique Angarni-Filopon, incapable de retenir ses sanglots en ouvrant le bal une dernière fois

Tous ces instants ont contribué à faire de cette édition l’une des plus humaines de l’histoire récente du concours.

Qui est Hinaupoko Deveze, la nouvelle reine de beauté ?

À seulement 22 ans, Hinaupoko porte déjà une maturité impressionnante. Originaire de Tahiti, elle incarne cette nouvelle génération de Miss qui refuse de se cantonner au rôle de simple ambassadrice souriante. Étudiante en communication, engagée pour la préservation des océans et la culture polynésienne, elle a su transformer chaque épreuve en tribune.

Son regard ? Électrique. Sa silhouette ? Élancée et athlétique. Son charisme ? Indéniable. Mais ce qui frappe surtout, c’est cette capacité rare à rester elle-même sous les projecteurs. Pas de masque, pas de faux-semblant. Juste Hinaupoko, avec ses racines ancrées dans le fenua et son rêve français devenu réalité.

Un podium 100 % ultramarin ? Presque…

Petit clin d’œil du destin : les trois premières places ont toutes un lien fort avec les outre-mer. Si les noms exacts des dauphines n’ont pas encore été confirmés à l’heure où nous écrivons, la présence massive de candidates ultramarines dans le top 5 a marqué les esprits. Un symbole fort pour une France qui se regarde enfin dans toute sa diversité.

La nouvelle Miss France 2026 a d’ailleurs tenu à le souligner dans ses premiers mots couronnés : « Je veux montrer que la beauté française n’a pas de frontières. Qu’elle peut venir de Tahiti, de Guyane, de Martinique ou de Picardie. Nous sommes toutes la France. »

Et maintenant ? Un année chargée pour la nouvelle Miss

Dès ce dimanche matin, le marathon commence. Tournées médiatiques, déplacements officiels, représentations à l’international… Le planning d’une Miss France est infernal. Mais quand on voit l’énergie communicative d’Hinaupoko Deveze, on se dit qu’elle est taillée pour ça.

Parmi les moments attendus : le traditionnel voyage à Tahiti avec le comité Miss France, la participation aux grandes causes qu’elle défend déjà (protection des lagons, transmission de la culture ma’ohi), et bien sûr les innombrables shooting photos avec la fameuse couronne Mauboussin, un bijou évalué à plusieurs centaines de milliers d’euros.

Une chose est sûre : cette année 2026 s’annonce déjà comme celle de tous les records d’audience et de popularité pour l’élection Miss France. Parce qu’au-delà de la beauté, c’est une histoire humaine qui vient de s’écrire sous nos yeux. Celle d’une jeune femme qui a transformé un rêve polynésien en destin national.

Et quelque part, entre les larmes d’Angélique Angarni-Filopon et le sourire éclatant d’Hinaupoko Deveze, la France s’est rappelée qu’elle était belle. Tout simplement.

« Je dédie cette couronne à toutes les petites filles qui se disent que c’est impossible. Regardez-moi : j’arrive de l’autre bout du monde, et pourtant je suis là. Tout est possible. »
– Hinaupoko Deveze, Miss France 2026

Une phrase qui résume tout. Et qui promet déjà une année placée sous le signe de l’espoir et de l’ouverture. Bienvenue à toi, Hinaupoko. La France entière te regarde… et sourit avec toi.

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