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Miss France 2026 : Deux Candidates Recadrées, l’Élection Menacée ?

Ce soir, 30 candidates défileront pour succéder à Angélique Angarni-Filopon. Mais deux d’entre elles ont failli tout faire basculer : retard, laxisme, rappel à l’ordre sévère… Qui sont-elles et vont-elles vraiment passer entre les gouttes ? Réponse imminente.

Imaginez : vous êtes à quelques heures du plus grand concours de beauté français, celui qui réunit des millions de téléspectateurs chaque année. Tout est millimétré, chorégraphies répétées des centaines de fois, sourires calibrés… Et soudain, deux candidates décident de vivre leur vie comme si de rien n’était. C’est exactement ce qui vient de se passer en coulisses de Miss France 2026.

Un voyage en Martinique qui a viré au recadrage général

Chaque année, le traditionnel voyage préparatoire est censé souder la promotion. Plages de rêve, shootings photo, découverte de la culture locale… Sur le papier, c’est le paradis. Mais dès les premiers jours en Martinique, l’ambiance a dérapé.

Frédéric Gilbert, directeur général de la société Miss France, n’a pas mâché ses mots. Il a rapidement constaté un laxisme inquiétant chez certaines candidates. Des retours tardifs à l’hôtel, des horaires non respectés, des attitudes jugées trop détendues pour un concours d’une telle ampleur.

« Il a fallu remettre un cadre très rapidement. Elles ne s’y attendaient pas, surtout après le test de culture générale », a-t-il confié avec une pointe d’agacement.

Le message est passé… ou presque. Car deux jeunes femmes ont continué à tester les limites jusqu’au bout.

Le réveil qui n’a jamais sonné : le scandale des répétitions

De retour en métropole, direction Amiens pour les grandes répétitions au Zénith. Premier jour, tout le monde est attendu à l’aube pour les premiers passages. Tout le monde… sauf elles.

Les fameuses « deux filles » ont tout simplement raté leur réveil. Pendant que les 28 autres candidates enfilaient leurs tenues et répétaient les chorégraphies, elles dormaient encore tranquillement dans leurs chambres d’hôtel.

Quand elles ont enfin daigné apparaître, l’ambiance était glaciale. Maquilleurs, coiffeurs, chorégraphes, toute l’équipe technique a dû attendre. Un retard qui a décalé toute la journée de travail et mis les nerfs de tout le monde à rude épreuve.

Les petits détails qui ont fait déborder le vase :

  • Gobelets de café abandonnés partout au lieu d’être jetés
  • Téléphones qui sonnent en pleine séance habillage-maquillage-coiffure
  • Rires et discussions pendant que les équipes donnent des consignes précises
  • Retours d’activités après l’heure limite imposée

Des règles simples… mais apparemment insurmontables

On pourrait sourire de ces « bêtises de jeunesse ». Sauf que dans le monde très codifié de Miss France, chaque détail compte. Quand on représente potentiellement la France entière pendant un an, on n’a plus le droit à la désinvolture.

Frédéric Gilbert l’a rappelé avec fermeté : laisser traîner un gobelet, c’est manquer de respect à l’équipe qui travaille dans l’ombre. Décrocher son téléphone pendant une consigne, c’est montrer qu’on ne prend pas l’événement au sérieux. Des « détails » qui, mis bout à bout, peuvent coûter très cher en termes d’image.

Et surtout, dans un concours où l’élégance et la discipline sont érigées en religion, ces écarts ne passent plus.

Elles défileront ce soir… mais à quel prix ?

Officiellement, tout est rentré dans l’ordre. Les deux candidates ont présenté leurs excuses et promis de se tenir à carreau. Elles seront bien sur scène ce samedi 6 décembre 2025, souriantes et irréprochables devant des millions de téléspectateurs.

Mais dans les coulisses, on murmure que le jury – présidé cette année par une personnalité encore tenue secrète – pourrait avoir eu vent de l’histoire. Et que certaines notes internes ont déjà été impactées.

Car oui, le comportement pendant le voyage et les répétitions compte dans l’évaluation globale. Une Miss France doit être exemplaire du début à la fin, pas seulement le soir de l’élection.

« On ne peut pas se permettre le moindre dérapage quand on brigue un titre aussi prestigieux », confie une ancienne Miss régionale ayant vécu le même type de recadrage il y a quelques années.

Pourquoi ce genre d’incident fait autant parler

Parce que Miss France, ce n’est plus seulement un concours de beauté. C’est une institution qui véhicule des valeurs : politesse, respect, discipline, élégance à la française. Quand deux candidates se permettent des écarts, c’est tout l’édifice qui semble vaciller.

Le public, lui, adore ces petites histoires de coulisses. Cela rend les Miss plus humaines, plus proches de nous. Mais attention : il y a une limite à ne pas franchir. Entre « elles sont comme nous » et « elles se croient tout permis », la frontière est mince.

Et cette année plus que jamais, avec une promotion présentée comme particulièrement « copines » et décontractée, le comité a voulu montrer qu’il savait encore dire non.

Ce que cela nous dit de la nouvelle génération de Miss

Les candidates 2026 ont entre 18 et 24 ans. Elles ont grandi avec les réseaux sociaux, la culture du « no filter », l’idée que tout est permis tant qu’on assume. Entrer dans le moule très strict de Miss France représente un véritable choc culturel.

Certaines s’adaptent en un claquement de doigts. D’autres, comme nos deux retardataires, ont besoin d’un bon rappel à la réalité. Et c’est peut-être ça, finalement, le vrai défi de Frédéric Gilbert : réussir à faire cohabiter exigence à l’ancienne et spontanéité 2.0.

Une chose est sûre : ce soir, sous les projecteurs du Zénith d’Amiens, plus personne ne parlera de gobelets abandonnés ou de réveils oubliés. Seule comptera la grâce, le charisme, l’éloquence. Mais dans un coin de la tête des observateurs, l’histoire restera.

Alors, ces deux candidates rebelles parviendront-elles à transformer leur faute en force ? Ou porteront-elles cette étiquette jusqu’à la fin de leur aventure ? Réponse dans quelques heures, quand Jean-Pierre Foucault prononcera le nom tant attendu de Miss France 2026.

Une chose est certaine : cette édition restera dans les annales. Pas seulement pour sa gagnante… mais pour ce qu’elle nous aura appris sur les coulisses d’un mythe vivant.

Ce soir à 21h10 sur TF1
30 candidates. 1 couronne. 0 place pour l’approximation.

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