Dans les rues de Marseille, une menace sournoise rôde : le spectre du narcoterrorisme. Les autorités tirent la sonnette d’alarme face à une situation explosive qui risque de transformer la cité phocéenne en véritable narco-État. Malgré une baisse du nombre d’homicides liés au trafic de drogue en 2024, le procureur de Marseille Nicolas Bessone et le préfet de police des Bouches-du-Rhône Pierre-Edouard Colliex mettent en garde contre un phénomène inquiétant qui gangrène la ville.
Une Guerre des Gangs qui Fait Rage
Marseille est depuis longtemps le théâtre d’une guerre sans merci entre différents clans pour le contrôle des points de deal. Si 2023 avait été une année particulièrement meurtrière avec 49 victimes, dont quatre personnes étrangères aux trafics, 2024 a vu ce bilan macabre diminuer de moitié. Cependant, cette accalmie relative est à nuancer. Selon le procureur, la baisse des homicides s’explique en partie par la fin de la guerre entre les clans rivaux « DZ Mafia » et « Yoda », avec la victoire du premier. Une paix des braves qui reste fragile.
L’Ombre des Caïds
Une Criminalité Protéiforme
Car les trafiquants ne se contentent plus du commerce de la drogue. Racket, menaces, tentatives de corruption de fonctionnaires : les narcotrafiquants étendent leur toile sur la cité phocéenne. Une diversification inquiétante qui n’épargne personne, pas même les stars locales comme le rappeur SCH, victime d’une tentative d’extorsion qui s’est soldée par l’assassinat d’un de ses proches. Un engrenage infernal qui piège également de plus en plus de mineurs, attirés par le mirage d’un argent facile.
On ne cède pas à la peur car on interpelle les individus qui commettent des menaces.
Pierre-Edouard Colliex, préfet de police des Bouches-du-Rhône
Un Combat de Longue Haleine
Face à ce fléau protéiforme, les forces de l’ordre et la justice ne baissent pas les bras. Plus de 2000 personnes ont été mises en examen en 2024, dont 200 pour des « narchomicides ». Le pilonnage des points de deal, incarné par les opérations « place nette XXL » lancées par Emmanuel Macron, se poursuit sans relâche. Mais les autorités en sont conscientes, la partie est loin d’être gagnée. La lutte contre ce narcoterrorisme qui asphyxie Marseille s’annonce comme un combat de longue haleine, une guerre d’usure sans fin.
Car derrière les liasses de billets et les armes, c’est l’avenir de toute une ville qui est en jeu. Marseille, cité rebelle et insoumise, saura-t-elle résister aux sirènes de la drogue et repousser les assauts de ces nouveaux barbares ? L’heure est à la mobilisation générale pour ne pas voir la cité phocéenne sombrer dans les limbes d’un narco-État. Un défi immense, à la hauteur de cette ville éternelle qui a toujours su se réinventer dans l’adversité.
Une Criminalité Protéiforme
Car les trafiquants ne se contentent plus du commerce de la drogue. Racket, menaces, tentatives de corruption de fonctionnaires : les narcotrafiquants étendent leur toile sur la cité phocéenne. Une diversification inquiétante qui n’épargne personne, pas même les stars locales comme le rappeur SCH, victime d’une tentative d’extorsion qui s’est soldée par l’assassinat d’un de ses proches. Un engrenage infernal qui piège également de plus en plus de mineurs, attirés par le mirage d’un argent facile.
On ne cède pas à la peur car on interpelle les individus qui commettent des menaces.
Pierre-Edouard Colliex, préfet de police des Bouches-du-Rhône
Un Combat de Longue Haleine
Face à ce fléau protéiforme, les forces de l’ordre et la justice ne baissent pas les bras. Plus de 2000 personnes ont été mises en examen en 2024, dont 200 pour des « narchomicides ». Le pilonnage des points de deal, incarné par les opérations « place nette XXL » lancées par Emmanuel Macron, se poursuit sans relâche. Mais les autorités en sont conscientes, la partie est loin d’être gagnée. La lutte contre ce narcoterrorisme qui asphyxie Marseille s’annonce comme un combat de longue haleine, une guerre d’usure sans fin.
Car derrière les liasses de billets et les armes, c’est l’avenir de toute une ville qui est en jeu. Marseille, cité rebelle et insoumise, saura-t-elle résister aux sirènes de la drogue et repousser les assauts de ces nouveaux barbares ? L’heure est à la mobilisation générale pour ne pas voir la cité phocéenne sombrer dans les limbes d’un narco-État. Un défi immense, à la hauteur de cette ville éternelle qui a toujours su se réinventer dans l’adversité.
Derrière cette lutte sanglante pour le territoire marseillais, des figures du grand banditisme tirent les ficelles. L’arrestation imminente de Félix Bingui, alias « le chat », chef présumé du clan Yoda qui avait trouvé refuge au Maroc, illustre la volonté des autorités de décapiter ces réseaux tentaculaires. Mais la route est encore longue, comme le rappelle Nicolas Bessone qui évoque un véritable « narcoterrorisme » qui place la ville au bord du gouffre.
Une Criminalité Protéiforme
Car les trafiquants ne se contentent plus du commerce de la drogue. Racket, menaces, tentatives de corruption de fonctionnaires : les narcotrafiquants étendent leur toile sur la cité phocéenne. Une diversification inquiétante qui n’épargne personne, pas même les stars locales comme le rappeur SCH, victime d’une tentative d’extorsion qui s’est soldée par l’assassinat d’un de ses proches. Un engrenage infernal qui piège également de plus en plus de mineurs, attirés par le mirage d’un argent facile.
On ne cède pas à la peur car on interpelle les individus qui commettent des menaces.
Pierre-Edouard Colliex, préfet de police des Bouches-du-Rhône
Un Combat de Longue Haleine
Face à ce fléau protéiforme, les forces de l’ordre et la justice ne baissent pas les bras. Plus de 2000 personnes ont été mises en examen en 2024, dont 200 pour des « narchomicides ». Le pilonnage des points de deal, incarné par les opérations « place nette XXL » lancées par Emmanuel Macron, se poursuit sans relâche. Mais les autorités en sont conscientes, la partie est loin d’être gagnée. La lutte contre ce narcoterrorisme qui asphyxie Marseille s’annonce comme un combat de longue haleine, une guerre d’usure sans fin.
Car derrière les liasses de billets et les armes, c’est l’avenir de toute une ville qui est en jeu. Marseille, cité rebelle et insoumise, saura-t-elle résister aux sirènes de la drogue et repousser les assauts de ces nouveaux barbares ? L’heure est à la mobilisation générale pour ne pas voir la cité phocéenne sombrer dans les limbes d’un narco-État. Un défi immense, à la hauteur de cette ville éternelle qui a toujours su se réinventer dans l’adversité.
Derrière cette lutte sanglante pour le territoire marseillais, des figures du grand banditisme tirent les ficelles. L’arrestation imminente de Félix Bingui, alias « le chat », chef présumé du clan Yoda qui avait trouvé refuge au Maroc, illustre la volonté des autorités de décapiter ces réseaux tentaculaires. Mais la route est encore longue, comme le rappelle Nicolas Bessone qui évoque un véritable « narcoterrorisme » qui place la ville au bord du gouffre.
Une Criminalité Protéiforme
Car les trafiquants ne se contentent plus du commerce de la drogue. Racket, menaces, tentatives de corruption de fonctionnaires : les narcotrafiquants étendent leur toile sur la cité phocéenne. Une diversification inquiétante qui n’épargne personne, pas même les stars locales comme le rappeur SCH, victime d’une tentative d’extorsion qui s’est soldée par l’assassinat d’un de ses proches. Un engrenage infernal qui piège également de plus en plus de mineurs, attirés par le mirage d’un argent facile.
On ne cède pas à la peur car on interpelle les individus qui commettent des menaces.
Pierre-Edouard Colliex, préfet de police des Bouches-du-Rhône
Un Combat de Longue Haleine
Face à ce fléau protéiforme, les forces de l’ordre et la justice ne baissent pas les bras. Plus de 2000 personnes ont été mises en examen en 2024, dont 200 pour des « narchomicides ». Le pilonnage des points de deal, incarné par les opérations « place nette XXL » lancées par Emmanuel Macron, se poursuit sans relâche. Mais les autorités en sont conscientes, la partie est loin d’être gagnée. La lutte contre ce narcoterrorisme qui asphyxie Marseille s’annonce comme un combat de longue haleine, une guerre d’usure sans fin.
Car derrière les liasses de billets et les armes, c’est l’avenir de toute une ville qui est en jeu. Marseille, cité rebelle et insoumise, saura-t-elle résister aux sirènes de la drogue et repousser les assauts de ces nouveaux barbares ? L’heure est à la mobilisation générale pour ne pas voir la cité phocéenne sombrer dans les limbes d’un narco-État. Un défi immense, à la hauteur de cette ville éternelle qui a toujours su se réinventer dans l’adversité.