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L’UE Envisage Des Mesures De Rétorsion Face Aux Menaces Tarifaires De Trump

Face aux menaces de Trump d'imposer des droits de douane sur les produits européens, le ministre français du Commerce exhorte l'UE à se tenir prête à riposter. L'Europe divisée entre approche défensive et offensive dans ce bras de fer commercial avec les États-Unis...

Alors que le spectre d’une guerre commerciale plane à nouveau entre les États-Unis et l’Union européenne, cette dernière se prépare à répliquer en cas de nouvelles taxes américaines sur ses exportations. C’est ce qu’a déclaré jeudi le ministre français chargé du Commerce extérieur, Laurent Saint-Martin, appelant les Européens à ne pas se laisser faire face aux menaces brandies par le président américain fraîchement réélu, Donald Trump.

Trump menace, l’Europe se prépare au pire

Donald Trump avait agité le chiffon rouge avant même sa réélection, menaçant d’imposer des taxes sur les produits européens exportés outre-Atlantique si l’UE n’augmentait pas ses achats de pétrole et gaz américains. Des propos réitérés mardi, bien que sans plus de précision sur le calendrier ou les produits et taux envisagés.

Mais pour le ministre français, l’heure est à la fermeté. « L’Europe ne doit pas se laisser faire », a martelé Laurent Saint-Martin sur les ondes de RTL. Tout en rappelant que les États-Unis restent un « pays allié », il a souligné la nécessité pour les Européens de se « préparer » à d’éventuelles « mesures de rétorsion ».

Des taxes contre-productives pour les États-Unis ?

Au-delà de la posture, le locataire de Bercy met en avant les effets potentiellement délétères que de telles surtaxes douanières pourraient avoir… pour l’économie américaine elle-même. De nouvelles taxes « créeraient d’abord un effet inflationniste » aux États-Unis selon lui.

Un argument qui pourrait faire réfléchir la nouvelle administration Trump, estime Laurent Saint-Martin. Il voit d’ailleurs dans l’absence de mesures concrètes à ce stade un signe que le président est conscient des « conséquences pour les États-Unis » qu’entraîneraient ses menaces.

Un défi pour la diplomatie économique européenne

Pour les Européens, l’enjeu sera donc d’avancer en rangs serrés face à l’imprévisible locataire de la Maison Blanche, tout en se montrant fermes sur la défense des intérêts du Vieux Continent. Une équation délicate, qui mettra à l’épreuve la solidité et la crédibilité de la politique commerciale commune.

Le bras de fer qui s’annonce constituera aussi un test grandeur nature pour la nouvelle Commission européenne et sa présidente Ursula von der Leyen, qui a fait de l’affirmation de la puissance économique et géopolitique de l’UE l’une de ses priorités. Face à « America First », saura-t-elle imposer un « Europe United » ?

Les prochaines semaines s’annoncent en tout cas décisives, entre rhétorique agressive, menaces voilées et éventuelles tractations de coulisses. Avec un risque d’escalade qu’il faudra à tout prix éviter, tant une guerre commerciale tous azimuts desservirait les intérêts de chacun dans un contexte économique mondial déjà incertain. L’art du deal, version Trump contre von der Leyen.

Un défi pour la diplomatie économique européenne

Pour les Européens, l’enjeu sera donc d’avancer en rangs serrés face à l’imprévisible locataire de la Maison Blanche, tout en se montrant fermes sur la défense des intérêts du Vieux Continent. Une équation délicate, qui mettra à l’épreuve la solidité et la crédibilité de la politique commerciale commune.

Le bras de fer qui s’annonce constituera aussi un test grandeur nature pour la nouvelle Commission européenne et sa présidente Ursula von der Leyen, qui a fait de l’affirmation de la puissance économique et géopolitique de l’UE l’une de ses priorités. Face à « America First », saura-t-elle imposer un « Europe United » ?

Les prochaines semaines s’annoncent en tout cas décisives, entre rhétorique agressive, menaces voilées et éventuelles tractations de coulisses. Avec un risque d’escalade qu’il faudra à tout prix éviter, tant une guerre commerciale tous azimuts desservirait les intérêts de chacun dans un contexte économique mondial déjà incertain. L’art du deal, version Trump contre von der Leyen.

Un véritable coup de tonnerre pour les partenaires nord-américains des États-Unis, déjà soumis à rude épreuve lors des renégociations tendues de l’accord de libre-échange ALENA durant le premier mandat trumpien. De quoi présager une nouvelle passe d’armes, alors que le dossier commercial s’annonce à nouveau comme l’un des grands sujets de friction de la présidence Trump.

Un défi pour la diplomatie économique européenne

Pour les Européens, l’enjeu sera donc d’avancer en rangs serrés face à l’imprévisible locataire de la Maison Blanche, tout en se montrant fermes sur la défense des intérêts du Vieux Continent. Une équation délicate, qui mettra à l’épreuve la solidité et la crédibilité de la politique commerciale commune.

Le bras de fer qui s’annonce constituera aussi un test grandeur nature pour la nouvelle Commission européenne et sa présidente Ursula von der Leyen, qui a fait de l’affirmation de la puissance économique et géopolitique de l’UE l’une de ses priorités. Face à « America First », saura-t-elle imposer un « Europe United » ?

Les prochaines semaines s’annoncent en tout cas décisives, entre rhétorique agressive, menaces voilées et éventuelles tractations de coulisses. Avec un risque d’escalade qu’il faudra à tout prix éviter, tant une guerre commerciale tous azimuts desservirait les intérêts de chacun dans un contexte économique mondial déjà incertain. L’art du deal, version Trump contre von der Leyen.

Un véritable coup de tonnerre pour les partenaires nord-américains des États-Unis, déjà soumis à rude épreuve lors des renégociations tendues de l’accord de libre-échange ALENA durant le premier mandat trumpien. De quoi présager une nouvelle passe d’armes, alors que le dossier commercial s’annonce à nouveau comme l’un des grands sujets de friction de la présidence Trump.

Un défi pour la diplomatie économique européenne

Pour les Européens, l’enjeu sera donc d’avancer en rangs serrés face à l’imprévisible locataire de la Maison Blanche, tout en se montrant fermes sur la défense des intérêts du Vieux Continent. Une équation délicate, qui mettra à l’épreuve la solidité et la crédibilité de la politique commerciale commune.

Le bras de fer qui s’annonce constituera aussi un test grandeur nature pour la nouvelle Commission européenne et sa présidente Ursula von der Leyen, qui a fait de l’affirmation de la puissance économique et géopolitique de l’UE l’une de ses priorités. Face à « America First », saura-t-elle imposer un « Europe United » ?

Les prochaines semaines s’annoncent en tout cas décisives, entre rhétorique agressive, menaces voilées et éventuelles tractations de coulisses. Avec un risque d’escalade qu’il faudra à tout prix éviter, tant une guerre commerciale tous azimuts desservirait les intérêts de chacun dans un contexte économique mondial déjà incertain. L’art du deal, version Trump contre von der Leyen.

L’Union européenne n’est d’ailleurs pas la seule dans le collimateur de Donald Trump. Dès son retour à la Maison Blanche, le président a fait savoir qu’il souhaitait imposer des droits de douane de 25% sur les produits canadiens et mexicains, et ce dès le 1er février.

Un véritable coup de tonnerre pour les partenaires nord-américains des États-Unis, déjà soumis à rude épreuve lors des renégociations tendues de l’accord de libre-échange ALENA durant le premier mandat trumpien. De quoi présager une nouvelle passe d’armes, alors que le dossier commercial s’annonce à nouveau comme l’un des grands sujets de friction de la présidence Trump.

Un défi pour la diplomatie économique européenne

Pour les Européens, l’enjeu sera donc d’avancer en rangs serrés face à l’imprévisible locataire de la Maison Blanche, tout en se montrant fermes sur la défense des intérêts du Vieux Continent. Une équation délicate, qui mettra à l’épreuve la solidité et la crédibilité de la politique commerciale commune.

Le bras de fer qui s’annonce constituera aussi un test grandeur nature pour la nouvelle Commission européenne et sa présidente Ursula von der Leyen, qui a fait de l’affirmation de la puissance économique et géopolitique de l’UE l’une de ses priorités. Face à « America First », saura-t-elle imposer un « Europe United » ?

Les prochaines semaines s’annoncent en tout cas décisives, entre rhétorique agressive, menaces voilées et éventuelles tractations de coulisses. Avec un risque d’escalade qu’il faudra à tout prix éviter, tant une guerre commerciale tous azimuts desservirait les intérêts de chacun dans un contexte économique mondial déjà incertain. L’art du deal, version Trump contre von der Leyen.

L’Union européenne n’est d’ailleurs pas la seule dans le collimateur de Donald Trump. Dès son retour à la Maison Blanche, le président a fait savoir qu’il souhaitait imposer des droits de douane de 25% sur les produits canadiens et mexicains, et ce dès le 1er février.

Un véritable coup de tonnerre pour les partenaires nord-américains des États-Unis, déjà soumis à rude épreuve lors des renégociations tendues de l’accord de libre-échange ALENA durant le premier mandat trumpien. De quoi présager une nouvelle passe d’armes, alors que le dossier commercial s’annonce à nouveau comme l’un des grands sujets de friction de la présidence Trump.

Un défi pour la diplomatie économique européenne

Pour les Européens, l’enjeu sera donc d’avancer en rangs serrés face à l’imprévisible locataire de la Maison Blanche, tout en se montrant fermes sur la défense des intérêts du Vieux Continent. Une équation délicate, qui mettra à l’épreuve la solidité et la crédibilité de la politique commerciale commune.

Le bras de fer qui s’annonce constituera aussi un test grandeur nature pour la nouvelle Commission européenne et sa présidente Ursula von der Leyen, qui a fait de l’affirmation de la puissance économique et géopolitique de l’UE l’une de ses priorités. Face à « America First », saura-t-elle imposer un « Europe United » ?

Les prochaines semaines s’annoncent en tout cas décisives, entre rhétorique agressive, menaces voilées et éventuelles tractations de coulisses. Avec un risque d’escalade qu’il faudra à tout prix éviter, tant une guerre commerciale tous azimuts desservirait les intérêts de chacun dans un contexte économique mondial déjà incertain. L’art du deal, version Trump contre von der Leyen.

Au-delà de l’UE, le Canada et le Mexique aussi dans le viseur

L’Union européenne n’est d’ailleurs pas la seule dans le collimateur de Donald Trump. Dès son retour à la Maison Blanche, le président a fait savoir qu’il souhaitait imposer des droits de douane de 25% sur les produits canadiens et mexicains, et ce dès le 1er février.

Un véritable coup de tonnerre pour les partenaires nord-américains des États-Unis, déjà soumis à rude épreuve lors des renégociations tendues de l’accord de libre-échange ALENA durant le premier mandat trumpien. De quoi présager une nouvelle passe d’armes, alors que le dossier commercial s’annonce à nouveau comme l’un des grands sujets de friction de la présidence Trump.

Un défi pour la diplomatie économique européenne

Pour les Européens, l’enjeu sera donc d’avancer en rangs serrés face à l’imprévisible locataire de la Maison Blanche, tout en se montrant fermes sur la défense des intérêts du Vieux Continent. Une équation délicate, qui mettra à l’épreuve la solidité et la crédibilité de la politique commerciale commune.

Le bras de fer qui s’annonce constituera aussi un test grandeur nature pour la nouvelle Commission européenne et sa présidente Ursula von der Leyen, qui a fait de l’affirmation de la puissance économique et géopolitique de l’UE l’une de ses priorités. Face à « America First », saura-t-elle imposer un « Europe United » ?

Les prochaines semaines s’annoncent en tout cas décisives, entre rhétorique agressive, menaces voilées et éventuelles tractations de coulisses. Avec un risque d’escalade qu’il faudra à tout prix éviter, tant une guerre commerciale tous azimuts desservirait les intérêts de chacun dans un contexte économique mondial déjà incertain. L’art du deal, version Trump contre von der Leyen.

Au-delà de l’UE, le Canada et le Mexique aussi dans le viseur

L’Union européenne n’est d’ailleurs pas la seule dans le collimateur de Donald Trump. Dès son retour à la Maison Blanche, le président a fait savoir qu’il souhaitait imposer des droits de douane de 25% sur les produits canadiens et mexicains, et ce dès le 1er février.

Un véritable coup de tonnerre pour les partenaires nord-américains des États-Unis, déjà soumis à rude épreuve lors des renégociations tendues de l’accord de libre-échange ALENA durant le premier mandat trumpien. De quoi présager une nouvelle passe d’armes, alors que le dossier commercial s’annonce à nouveau comme l’un des grands sujets de friction de la présidence Trump.

Un défi pour la diplomatie économique européenne

Pour les Européens, l’enjeu sera donc d’avancer en rangs serrés face à l’imprévisible locataire de la Maison Blanche, tout en se montrant fermes sur la défense des intérêts du Vieux Continent. Une équation délicate, qui mettra à l’épreuve la solidité et la crédibilité de la politique commerciale commune.

Le bras de fer qui s’annonce constituera aussi un test grandeur nature pour la nouvelle Commission européenne et sa présidente Ursula von der Leyen, qui a fait de l’affirmation de la puissance économique et géopolitique de l’UE l’une de ses priorités. Face à « America First », saura-t-elle imposer un « Europe United » ?

Les prochaines semaines s’annoncent en tout cas décisives, entre rhétorique agressive, menaces voilées et éventuelles tractations de coulisses. Avec un risque d’escalade qu’il faudra à tout prix éviter, tant une guerre commerciale tous azimuts desservirait les intérêts de chacun dans un contexte économique mondial déjà incertain. L’art du deal, version Trump contre von der Leyen.

L’enjeu pour les Vingt-Sept sera donc de parler d’une seule voix face à leur allié et rival économique dans les semaines à venir. Un défi de taille, tant les intérêts des États membres divergent souvent en matière commerciale.

Au-delà de l’UE, le Canada et le Mexique aussi dans le viseur

L’Union européenne n’est d’ailleurs pas la seule dans le collimateur de Donald Trump. Dès son retour à la Maison Blanche, le président a fait savoir qu’il souhaitait imposer des droits de douane de 25% sur les produits canadiens et mexicains, et ce dès le 1er février.

Un véritable coup de tonnerre pour les partenaires nord-américains des États-Unis, déjà soumis à rude épreuve lors des renégociations tendues de l’accord de libre-échange ALENA durant le premier mandat trumpien. De quoi présager une nouvelle passe d’armes, alors que le dossier commercial s’annonce à nouveau comme l’un des grands sujets de friction de la présidence Trump.

Un défi pour la diplomatie économique européenne

Pour les Européens, l’enjeu sera donc d’avancer en rangs serrés face à l’imprévisible locataire de la Maison Blanche, tout en se montrant fermes sur la défense des intérêts du Vieux Continent. Une équation délicate, qui mettra à l’épreuve la solidité et la crédibilité de la politique commerciale commune.

Le bras de fer qui s’annonce constituera aussi un test grandeur nature pour la nouvelle Commission européenne et sa présidente Ursula von der Leyen, qui a fait de l’affirmation de la puissance économique et géopolitique de l’UE l’une de ses priorités. Face à « America First », saura-t-elle imposer un « Europe United » ?

Les prochaines semaines s’annoncent en tout cas décisives, entre rhétorique agressive, menaces voilées et éventuelles tractations de coulisses. Avec un risque d’escalade qu’il faudra à tout prix éviter, tant une guerre commerciale tous azimuts desservirait les intérêts de chacun dans un contexte économique mondial déjà incertain. L’art du deal, version Trump contre von der Leyen.

L’enjeu pour les Vingt-Sept sera donc de parler d’une seule voix face à leur allié et rival économique dans les semaines à venir. Un défi de taille, tant les intérêts des États membres divergent souvent en matière commerciale.

Au-delà de l’UE, le Canada et le Mexique aussi dans le viseur

L’Union européenne n’est d’ailleurs pas la seule dans le collimateur de Donald Trump. Dès son retour à la Maison Blanche, le président a fait savoir qu’il souhaitait imposer des droits de douane de 25% sur les produits canadiens et mexicains, et ce dès le 1er février.

Un véritable coup de tonnerre pour les partenaires nord-américains des États-Unis, déjà soumis à rude épreuve lors des renégociations tendues de l’accord de libre-échange ALENA durant le premier mandat trumpien. De quoi présager une nouvelle passe d’armes, alors que le dossier commercial s’annonce à nouveau comme l’un des grands sujets de friction de la présidence Trump.

Un défi pour la diplomatie économique européenne

Pour les Européens, l’enjeu sera donc d’avancer en rangs serrés face à l’imprévisible locataire de la Maison Blanche, tout en se montrant fermes sur la défense des intérêts du Vieux Continent. Une équation délicate, qui mettra à l’épreuve la solidité et la crédibilité de la politique commerciale commune.

Le bras de fer qui s’annonce constituera aussi un test grandeur nature pour la nouvelle Commission européenne et sa présidente Ursula von der Leyen, qui a fait de l’affirmation de la puissance économique et géopolitique de l’UE l’une de ses priorités. Face à « America First », saura-t-elle imposer un « Europe United » ?

Les prochaines semaines s’annoncent en tout cas décisives, entre rhétorique agressive, menaces voilées et éventuelles tractations de coulisses. Avec un risque d’escalade qu’il faudra à tout prix éviter, tant une guerre commerciale tous azimuts desservirait les intérêts de chacun dans un contexte économique mondial déjà incertain. L’art du deal, version Trump contre von der Leyen.

Mais à l’heure des nouvelles menaces, quelle stratégie adopter ? Sur cette question, les Européens semblent partagés entre plusieurs approches selon une source bien informée à Bruxelles.

D’un côté, certains prônent une ligne purement « défensive » consistant à acheter plus de produits américains comme du gaz naturel liquéfié ou des armes, dans l’espoir d’échapper aux foudres commerciales trumpiennes. De l’autre, une attitude plus « offensive » n’excluant pas de potentielles mesures de rétorsion.

L’enjeu pour les Vingt-Sept sera donc de parler d’une seule voix face à leur allié et rival économique dans les semaines à venir. Un défi de taille, tant les intérêts des États membres divergent souvent en matière commerciale.

Au-delà de l’UE, le Canada et le Mexique aussi dans le viseur

L’Union européenne n’est d’ailleurs pas la seule dans le collimateur de Donald Trump. Dès son retour à la Maison Blanche, le président a fait savoir qu’il souhaitait imposer des droits de douane de 25% sur les produits canadiens et mexicains, et ce dès le 1er février.

Un véritable coup de tonnerre pour les partenaires nord-américains des États-Unis, déjà soumis à rude épreuve lors des renégociations tendues de l’accord de libre-échange ALENA durant le premier mandat trumpien. De quoi présager une nouvelle passe d’armes, alors que le dossier commercial s’annonce à nouveau comme l’un des grands sujets de friction de la présidence Trump.

Un défi pour la diplomatie économique européenne

Pour les Européens, l’enjeu sera donc d’avancer en rangs serrés face à l’imprévisible locataire de la Maison Blanche, tout en se montrant fermes sur la défense des intérêts du Vieux Continent. Une équation délicate, qui mettra à l’épreuve la solidité et la crédibilité de la politique commerciale commune.

Le bras de fer qui s’annonce constituera aussi un test grandeur nature pour la nouvelle Commission européenne et sa présidente Ursula von der Leyen, qui a fait de l’affirmation de la puissance économique et géopolitique de l’UE l’une de ses priorités. Face à « America First », saura-t-elle imposer un « Europe United » ?

Les prochaines semaines s’annoncent en tout cas décisives, entre rhétorique agressive, menaces voilées et éventuelles tractations de coulisses. Avec un risque d’escalade qu’il faudra à tout prix éviter, tant une guerre commerciale tous azimuts desservirait les intérêts de chacun dans un contexte économique mondial déjà incertain. L’art du deal, version Trump contre von der Leyen.

Mais à l’heure des nouvelles menaces, quelle stratégie adopter ? Sur cette question, les Européens semblent partagés entre plusieurs approches selon une source bien informée à Bruxelles.

D’un côté, certains prônent une ligne purement « défensive » consistant à acheter plus de produits américains comme du gaz naturel liquéfié ou des armes, dans l’espoir d’échapper aux foudres commerciales trumpiennes. De l’autre, une attitude plus « offensive » n’excluant pas de potentielles mesures de rétorsion.

L’enjeu pour les Vingt-Sept sera donc de parler d’une seule voix face à leur allié et rival économique dans les semaines à venir. Un défi de taille, tant les intérêts des États membres divergent souvent en matière commerciale.

Au-delà de l’UE, le Canada et le Mexique aussi dans le viseur

L’Union européenne n’est d’ailleurs pas la seule dans le collimateur de Donald Trump. Dès son retour à la Maison Blanche, le président a fait savoir qu’il souhaitait imposer des droits de douane de 25% sur les produits canadiens et mexicains, et ce dès le 1er février.

Un véritable coup de tonnerre pour les partenaires nord-américains des États-Unis, déjà soumis à rude épreuve lors des renégociations tendues de l’accord de libre-échange ALENA durant le premier mandat trumpien. De quoi présager une nouvelle passe d’armes, alors que le dossier commercial s’annonce à nouveau comme l’un des grands sujets de friction de la présidence Trump.

Un défi pour la diplomatie économique européenne

Pour les Européens, l’enjeu sera donc d’avancer en rangs serrés face à l’imprévisible locataire de la Maison Blanche, tout en se montrant fermes sur la défense des intérêts du Vieux Continent. Une équation délicate, qui mettra à l’épreuve la solidité et la crédibilité de la politique commerciale commune.

Le bras de fer qui s’annonce constituera aussi un test grandeur nature pour la nouvelle Commission européenne et sa présidente Ursula von der Leyen, qui a fait de l’affirmation de la puissance économique et géopolitique de l’UE l’une de ses priorités. Face à « America First », saura-t-elle imposer un « Europe United » ?

Les prochaines semaines s’annoncent en tout cas décisives, entre rhétorique agressive, menaces voilées et éventuelles tractations de coulisses. Avec un risque d’escalade qu’il faudra à tout prix éviter, tant une guerre commerciale tous azimuts desservirait les intérêts de chacun dans un contexte économique mondial déjà incertain. L’art du deal, version Trump contre von der Leyen.

Entre fermeté et apaisement, l’Europe divisée sur la marche à suivre

Mais à l’heure des nouvelles menaces, quelle stratégie adopter ? Sur cette question, les Européens semblent partagés entre plusieurs approches selon une source bien informée à Bruxelles.

D’un côté, certains prônent une ligne purement « défensive » consistant à acheter plus de produits américains comme du gaz naturel liquéfié ou des armes, dans l’espoir d’échapper aux foudres commerciales trumpiennes. De l’autre, une attitude plus « offensive » n’excluant pas de potentielles mesures de rétorsion.

L’enjeu pour les Vingt-Sept sera donc de parler d’une seule voix face à leur allié et rival économique dans les semaines à venir. Un défi de taille, tant les intérêts des États membres divergent souvent en matière commerciale.

Au-delà de l’UE, le Canada et le Mexique aussi dans le viseur

L’Union européenne n’est d’ailleurs pas la seule dans le collimateur de Donald Trump. Dès son retour à la Maison Blanche, le président a fait savoir qu’il souhaitait imposer des droits de douane de 25% sur les produits canadiens et mexicains, et ce dès le 1er février.

Un véritable coup de tonnerre pour les partenaires nord-américains des États-Unis, déjà soumis à rude épreuve lors des renégociations tendues de l’accord de libre-échange ALENA durant le premier mandat trumpien. De quoi présager une nouvelle passe d’armes, alors que le dossier commercial s’annonce à nouveau comme l’un des grands sujets de friction de la présidence Trump.

Un défi pour la diplomatie économique européenne

Pour les Européens, l’enjeu sera donc d’avancer en rangs serrés face à l’imprévisible locataire de la Maison Blanche, tout en se montrant fermes sur la défense des intérêts du Vieux Continent. Une équation délicate, qui mettra à l’épreuve la solidité et la crédibilité de la politique commerciale commune.

Le bras de fer qui s’annonce constituera aussi un test grandeur nature pour la nouvelle Commission européenne et sa présidente Ursula von der Leyen, qui a fait de l’affirmation de la puissance économique et géopolitique de l’UE l’une de ses priorités. Face à « America First », saura-t-elle imposer un « Europe United » ?

Les prochaines semaines s’annoncent en tout cas décisives, entre rhétorique agressive, menaces voilées et éventuelles tractations de coulisses. Avec un risque d’escalade qu’il faudra à tout prix éviter, tant une guerre commerciale tous azimuts desservirait les intérêts de chacun dans un contexte économique mondial déjà incertain. L’art du deal, version Trump contre von der Leyen.

Entre fermeté et apaisement, l’Europe divisée sur la marche à suivre

Mais à l’heure des nouvelles menaces, quelle stratégie adopter ? Sur cette question, les Européens semblent partagés entre plusieurs approches selon une source bien informée à Bruxelles.

D’un côté, certains prônent une ligne purement « défensive » consistant à acheter plus de produits américains comme du gaz naturel liquéfié ou des armes, dans l’espoir d’échapper aux foudres commerciales trumpiennes. De l’autre, une attitude plus « offensive » n’excluant pas de potentielles mesures de rétorsion.

L’enjeu pour les Vingt-Sept sera donc de parler d’une seule voix face à leur allié et rival économique dans les semaines à venir. Un défi de taille, tant les intérêts des États membres divergent souvent en matière commerciale.

Au-delà de l’UE, le Canada et le Mexique aussi dans le viseur

L’Union européenne n’est d’ailleurs pas la seule dans le collimateur de Donald Trump. Dès son retour à la Maison Blanche, le président a fait savoir qu’il souhaitait imposer des droits de douane de 25% sur les produits canadiens et mexicains, et ce dès le 1er février.

Un véritable coup de tonnerre pour les partenaires nord-américains des États-Unis, déjà soumis à rude épreuve lors des renégociations tendues de l’accord de libre-échange ALENA durant le premier mandat trumpien. De quoi présager une nouvelle passe d’armes, alors que le dossier commercial s’annonce à nouveau comme l’un des grands sujets de friction de la présidence Trump.

Un défi pour la diplomatie économique européenne

Pour les Européens, l’enjeu sera donc d’avancer en rangs serrés face à l’imprévisible locataire de la Maison Blanche, tout en se montrant fermes sur la défense des intérêts du Vieux Continent. Une équation délicate, qui mettra à l’épreuve la solidité et la crédibilité de la politique commerciale commune.

Le bras de fer qui s’annonce constituera aussi un test grandeur nature pour la nouvelle Commission européenne et sa présidente Ursula von der Leyen, qui a fait de l’affirmation de la puissance économique et géopolitique de l’UE l’une de ses priorités. Face à « America First », saura-t-elle imposer un « Europe United » ?

Les prochaines semaines s’annoncent en tout cas décisives, entre rhétorique agressive, menaces voilées et éventuelles tractations de coulisses. Avec un risque d’escalade qu’il faudra à tout prix éviter, tant une guerre commerciale tous azimuts desservirait les intérêts de chacun dans un contexte économique mondial déjà incertain. L’art du deal, version Trump contre von der Leyen.

L’UE prête à défendre ses intérêts

Les Européens, eux, se disent en tout cas « prêts à défendre leurs intérêts économiques », selon les mots du commissaire européen à l’Économie Valdis Dombrovskis lundi soir. Un message martelé alors que plane le spectre d’un nouveau bras de fer commercial transatlantique.

Face aux taxes imposées sur l’acier et l’aluminium européens lors du premier mandat de Trump, les Vingt-Sept avaient répliqué du tac au tac avec des surtaxes visant des produits symboliques comme les motos Harley-Davidson ou le bourbon. Une réponse qui avait permis de faire plier Washington.

Entre fermeté et apaisement, l’Europe divisée sur la marche à suivre

Mais à l’heure des nouvelles menaces, quelle stratégie adopter ? Sur cette question, les Européens semblent partagés entre plusieurs approches selon une source bien informée à Bruxelles.

D’un côté, certains prônent une ligne purement « défensive » consistant à acheter plus de produits américains comme du gaz naturel liquéfié ou des armes, dans l’espoir d’échapper aux foudres commerciales trumpiennes. De l’autre, une attitude plus « offensive » n’excluant pas de potentielles mesures de rétorsion.

L’enjeu pour les Vingt-Sept sera donc de parler d’une seule voix face à leur allié et rival économique dans les semaines à venir. Un défi de taille, tant les intérêts des États membres divergent souvent en matière commerciale.

Au-delà de l’UE, le Canada et le Mexique aussi dans le viseur

L’Union européenne n’est d’ailleurs pas la seule dans le collimateur de Donald Trump. Dès son retour à la Maison Blanche, le président a fait savoir qu’il souhaitait imposer des droits de douane de 25% sur les produits canadiens et mexicains, et ce dès le 1er février.

Un véritable coup de tonnerre pour les partenaires nord-américains des États-Unis, déjà soumis à rude épreuve lors des renégociations tendues de l’accord de libre-échange ALENA durant le premier mandat trumpien. De quoi présager une nouvelle passe d’armes, alors que le dossier commercial s’annonce à nouveau comme l’un des grands sujets de friction de la présidence Trump.

Un défi pour la diplomatie économique européenne

Pour les Européens, l’enjeu sera donc d’avancer en rangs serrés face à l’imprévisible locataire de la Maison Blanche, tout en se montrant fermes sur la défense des intérêts du Vieux Continent. Une équation délicate, qui mettra à l’épreuve la solidité et la crédibilité de la politique commerciale commune.

Le bras de fer qui s’annonce constituera aussi un test grandeur nature pour la nouvelle Commission européenne et sa présidente Ursula von der Leyen, qui a fait de l’affirmation de la puissance économique et géopolitique de l’UE l’une de ses priorités. Face à « America First », saura-t-elle imposer un « Europe United » ?

Les prochaines semaines s’annoncent en tout cas décisives, entre rhétorique agressive, menaces voilées et éventuelles tractations de coulisses. Avec un risque d’escalade qu’il faudra à tout prix éviter, tant une guerre commerciale tous azimuts desservirait les intérêts de chacun dans un contexte économique mondial déjà incertain. L’art du deal, version Trump contre von der Leyen.

L’UE prête à défendre ses intérêts

Les Européens, eux, se disent en tout cas « prêts à défendre leurs intérêts économiques », selon les mots du commissaire européen à l’Économie Valdis Dombrovskis lundi soir. Un message martelé alors que plane le spectre d’un nouveau bras de fer commercial transatlantique.

Face aux taxes imposées sur l’acier et l’aluminium européens lors du premier mandat de Trump, les Vingt-Sept avaient répliqué du tac au tac avec des surtaxes visant des produits symboliques comme les motos Harley-Davidson ou le bourbon. Une réponse qui avait permis de faire plier Washington.

Entre fermeté et apaisement, l’Europe divisée sur la marche à suivre

Mais à l’heure des nouvelles menaces, quelle stratégie adopter ? Sur cette question, les Européens semblent partagés entre plusieurs approches selon une source bien informée à Bruxelles.

D’un côté, certains prônent une ligne purement « défensive » consistant à acheter plus de produits américains comme du gaz naturel liquéfié ou des armes, dans l’espoir d’échapper aux foudres commerciales trumpiennes. De l’autre, une attitude plus « offensive » n’excluant pas de potentielles mesures de rétorsion.

L’enjeu pour les Vingt-Sept sera donc de parler d’une seule voix face à leur allié et rival économique dans les semaines à venir. Un défi de taille, tant les intérêts des États membres divergent souvent en matière commerciale.

Au-delà de l’UE, le Canada et le Mexique aussi dans le viseur

L’Union européenne n’est d’ailleurs pas la seule dans le collimateur de Donald Trump. Dès son retour à la Maison Blanche, le président a fait savoir qu’il souhaitait imposer des droits de douane de 25% sur les produits canadiens et mexicains, et ce dès le 1er février.

Un véritable coup de tonnerre pour les partenaires nord-américains des États-Unis, déjà soumis à rude épreuve lors des renégociations tendues de l’accord de libre-échange ALENA durant le premier mandat trumpien. De quoi présager une nouvelle passe d’armes, alors que le dossier commercial s’annonce à nouveau comme l’un des grands sujets de friction de la présidence Trump.

Un défi pour la diplomatie économique européenne

Pour les Européens, l’enjeu sera donc d’avancer en rangs serrés face à l’imprévisible locataire de la Maison Blanche, tout en se montrant fermes sur la défense des intérêts du Vieux Continent. Une équation délicate, qui mettra à l’épreuve la solidité et la crédibilité de la politique commerciale commune.

Le bras de fer qui s’annonce constituera aussi un test grandeur nature pour la nouvelle Commission européenne et sa présidente Ursula von der Leyen, qui a fait de l’affirmation de la puissance économique et géopolitique de l’UE l’une de ses priorités. Face à « America First », saura-t-elle imposer un « Europe United » ?

Les prochaines semaines s’annoncent en tout cas décisives, entre rhétorique agressive, menaces voilées et éventuelles tractations de coulisses. Avec un risque d’escalade qu’il faudra à tout prix éviter, tant une guerre commerciale tous azimuts desservirait les intérêts de chacun dans un contexte économique mondial déjà incertain. L’art du deal, version Trump contre von der Leyen.

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