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L’Italie adopte un budget 2025 avec l’aide des banques et assurances

L'Italie adopte un budget 2025 audacieux : une contribution des banques et assurances pour financer des baisses d'impôts ciblant les familles modestes. Le gouvernement Meloni dévoile sa stratégie...

En ces temps économiques incertains, l’Italie fait un pari audacieux avec son budget 2025. Le gouvernement de Giorgia Meloni a en effet adopté mardi soir en conseil des ministres un projet de loi de finances qui mise sur des baisses d’impôts pour les familles à revenus modestes, tout en sollicitant une contribution financière significative de la part des banques et des compagnies d’assurance du pays.

Un budget au service des familles modestes

Selon le ministère de l’Économie, environ 30 milliards d’euros seront consacrés à des mesures de soutien aux salariés et retraités dans le cadre de ce budget 2025. La mesure phare est la reconduction d’un allègement des charges sociales pour les salaires annuels allant jusqu’à 35 000 euros.

Un “succès” que le gouvernement met au crédit de sa politique intransigeante vis-à-vis des ONG de sauvetage en mer et de sa coopération renforcée avec les pays d’Afrique du Nord pour endiguer les départs. Reste à voir si cette tendance se confirmera sur la durée et si elle ne masque pas un simple report des flux migratoires vers d’autres pays comme l’Espagne ou la Grèce.

En définitive, ce budget 2025 reflète les priorités et la méthode du gouvernement Meloni : soutien aux classes moyennes et populaires, fermeté sur l’immigration, et recherche du compromis avec les acteurs économiques. Un pari audacieux dont les résultats seront scrutés de près, en Italie comme dans le reste de l’Europe.

Au-delà des aspects économiques et sociaux, ce budget 2025 s’inscrit dans la droite ligne de la politique sécuritaire et de contrôle de l’immigration défendue par Giorgia Meloni. Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, les arrivées de migrants clandestins sur les côtes italiennes ont reculé de 65% sur les huit premiers mois de l’année par rapport à 2023.

Un “succès” que le gouvernement met au crédit de sa politique intransigeante vis-à-vis des ONG de sauvetage en mer et de sa coopération renforcée avec les pays d’Afrique du Nord pour endiguer les départs. Reste à voir si cette tendance se confirmera sur la durée et si elle ne masque pas un simple report des flux migratoires vers d’autres pays comme l’Espagne ou la Grèce.

En définitive, ce budget 2025 reflète les priorités et la méthode du gouvernement Meloni : soutien aux classes moyennes et populaires, fermeté sur l’immigration, et recherche du compromis avec les acteurs économiques. Un pari audacieux dont les résultats seront scrutés de près, en Italie comme dans le reste de l’Europe.

Au-delà des aspects économiques et sociaux, ce budget 2025 s’inscrit dans la droite ligne de la politique sécuritaire et de contrôle de l’immigration défendue par Giorgia Meloni. Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, les arrivées de migrants clandestins sur les côtes italiennes ont reculé de 65% sur les huit premiers mois de l’année par rapport à 2023.

Un “succès” que le gouvernement met au crédit de sa politique intransigeante vis-à-vis des ONG de sauvetage en mer et de sa coopération renforcée avec les pays d’Afrique du Nord pour endiguer les départs. Reste à voir si cette tendance se confirmera sur la durée et si elle ne masque pas un simple report des flux migratoires vers d’autres pays comme l’Espagne ou la Grèce.

En définitive, ce budget 2025 reflète les priorités et la méthode du gouvernement Meloni : soutien aux classes moyennes et populaires, fermeté sur l’immigration, et recherche du compromis avec les acteurs économiques. Un pari audacieux dont les résultats seront scrutés de près, en Italie comme dans le reste de l’Europe.

De plus, le gouvernement a décidé de pérenniser la fusion des deux premières tranches d’impôt sur le revenu, faisant ainsi bénéficier les revenus annuels jusqu’à 28 000 euros d’un taux réduit de 23% au lieu de 25%. Une bouffée d’oxygène bienvenue pour de nombreux ménages italiens.

Les banques et assurances mises à contribution

Mais la grande nouveauté de ce budget réside dans le mode de financement de ces baisses d’impôts. En effet, le gouvernement compte sur une contribution exceptionnelle des banques et des compagnies d’assurance à hauteur de 3,5 milliards d’euros.

Selon une source proche du dossier, cet argent sera affecté en priorité aux soins de santé et au soutien des personnes les plus fragiles. L’objectif affiché étant d’assurer de meilleurs services au plus près des besoins de chacun.

Un “accord” plutôt qu’une “imposition” pour le secteur financier

Face aux inquiétudes qui ont pu s’exprimer quant à une nouvelle “taxe” sur les banques, le gouvernement s’est voulu rassurant. Les vice-Premiers ministres Matteo Salvini et Antonio Tajani ont ainsi souligné qu’il s’agissait d’un “accord” avec le secteur financier et non d’une “imposition venue d’en haut”.

La ligne du bon sens qui n’effraie pas les marchés et défend la liberté l’emporte.

Antonio Tajani, vice-Premier ministre italien

Le gouvernement veut à tout prix éviter de reproduire le scénario de la taxe de 40% sur les “superprofits” des banques annoncée à la hâte en août 2023, qui avait provoqué un vent de panique sur les marchés financiers. La Première ministre Giorgia Meloni avait dû faire machine arrière.

Une volonté d’endiguer l’immigration clandestine

Au-delà des aspects économiques et sociaux, ce budget 2025 s’inscrit dans la droite ligne de la politique sécuritaire et de contrôle de l’immigration défendue par Giorgia Meloni. Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, les arrivées de migrants clandestins sur les côtes italiennes ont reculé de 65% sur les huit premiers mois de l’année par rapport à 2023.

Un “succès” que le gouvernement met au crédit de sa politique intransigeante vis-à-vis des ONG de sauvetage en mer et de sa coopération renforcée avec les pays d’Afrique du Nord pour endiguer les départs. Reste à voir si cette tendance se confirmera sur la durée et si elle ne masque pas un simple report des flux migratoires vers d’autres pays comme l’Espagne ou la Grèce.

En définitive, ce budget 2025 reflète les priorités et la méthode du gouvernement Meloni : soutien aux classes moyennes et populaires, fermeté sur l’immigration, et recherche du compromis avec les acteurs économiques. Un pari audacieux dont les résultats seront scrutés de près, en Italie comme dans le reste de l’Europe.

De plus, le gouvernement a décidé de pérenniser la fusion des deux premières tranches d’impôt sur le revenu, faisant ainsi bénéficier les revenus annuels jusqu’à 28 000 euros d’un taux réduit de 23% au lieu de 25%. Une bouffée d’oxygène bienvenue pour de nombreux ménages italiens.

Les banques et assurances mises à contribution

Mais la grande nouveauté de ce budget réside dans le mode de financement de ces baisses d’impôts. En effet, le gouvernement compte sur une contribution exceptionnelle des banques et des compagnies d’assurance à hauteur de 3,5 milliards d’euros.

Selon une source proche du dossier, cet argent sera affecté en priorité aux soins de santé et au soutien des personnes les plus fragiles. L’objectif affiché étant d’assurer de meilleurs services au plus près des besoins de chacun.

Un “accord” plutôt qu’une “imposition” pour le secteur financier

Face aux inquiétudes qui ont pu s’exprimer quant à une nouvelle “taxe” sur les banques, le gouvernement s’est voulu rassurant. Les vice-Premiers ministres Matteo Salvini et Antonio Tajani ont ainsi souligné qu’il s’agissait d’un “accord” avec le secteur financier et non d’une “imposition venue d’en haut”.

La ligne du bon sens qui n’effraie pas les marchés et défend la liberté l’emporte.

Antonio Tajani, vice-Premier ministre italien

Le gouvernement veut à tout prix éviter de reproduire le scénario de la taxe de 40% sur les “superprofits” des banques annoncée à la hâte en août 2023, qui avait provoqué un vent de panique sur les marchés financiers. La Première ministre Giorgia Meloni avait dû faire machine arrière.

Une volonté d’endiguer l’immigration clandestine

Au-delà des aspects économiques et sociaux, ce budget 2025 s’inscrit dans la droite ligne de la politique sécuritaire et de contrôle de l’immigration défendue par Giorgia Meloni. Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, les arrivées de migrants clandestins sur les côtes italiennes ont reculé de 65% sur les huit premiers mois de l’année par rapport à 2023.

Un “succès” que le gouvernement met au crédit de sa politique intransigeante vis-à-vis des ONG de sauvetage en mer et de sa coopération renforcée avec les pays d’Afrique du Nord pour endiguer les départs. Reste à voir si cette tendance se confirmera sur la durée et si elle ne masque pas un simple report des flux migratoires vers d’autres pays comme l’Espagne ou la Grèce.

En définitive, ce budget 2025 reflète les priorités et la méthode du gouvernement Meloni : soutien aux classes moyennes et populaires, fermeté sur l’immigration, et recherche du compromis avec les acteurs économiques. Un pari audacieux dont les résultats seront scrutés de près, en Italie comme dans le reste de l’Europe.

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