L’impact de l’immigration sur notre système de santé est un sujet brûlant qui suscite de vifs débats. Pourtant, cette problématique complexe reste souvent ignorée dans les discussions politiques. De récentes données mettent en lumière l’existence d’une véritable « dette de santé » qui pèserait lourdement sur notre modèle social. Cette dette serait en grande partie liée à la politique migratoire généreuse de la France. Décryptage d’un enjeu crucial pour l’avenir de notre système de soins.
Une « dette de santé » colossale et insoutenable
Selon une étude confidentielle dont les résultats ont fuité dans la presse, la France croulerait sous une dette de santé abyssale directement imputable à sa politique d’immigration. Les chiffres avancés donnent le vertige :
- Entre 2015 et 2023, le coût des soins prodigués aux immigrés se serait élevé à plus de 37 milliards d’euros
- Chaque année, ce sont près de 5 milliards d’euros qui seraient engloutis pour soigner les bénéficiaires de l’Aide Médicale d’État (AME) réservée aux sans-papiers
- Le déficit de la branche maladie de la Sécurité Sociale serait aggravé de 22% par les dépenses de santé des immigrés
Des montants faramineux qui plombent sévèrement les comptes de l’Assurance Maladie et menacent la pérennité de notre système de santé. D’après les projections, cette dette de santé liée à l’immigration pourrait atteindre les 80 milliards d’euros d’ici 2028 si rien n’est fait pour endiguer le phénomène.
Une pression accrue sur les structures de soins
Au-delà de l’aspect financier, l’afflux de patients immigrés met sous tension de nombreux services hospitaliers, en particulier dans les grandes agglomérations. Urgences saturées, délais d’attente interminables, pénurie de lits… Les témoignages de soignants exténués par des conditions de travail dégradées se multiplient.
On ne compte plus les nuits blanches passées à gérer des urgences vitales. On a l’impression de courir en permanence après le temps et les moyens. C’est épuisant et démotivant.
Une infirmière d’un grand CHU francilien
Certains établissements seraient au bord de l’implosion, croulant sous les admissions de migrants en situation irrégulière et incapables de faire face à l’explosion des coûts. Une situation intenable qui pousse de nombreux professionnels de santé à jeter l’éponge, aggravant un peu plus les difficultés.
L’AME, une générosité coûteuse
Dispositif emblématique de l’accueil médical des immigrés précaires, l’Aide Médicale d’État (AME) cristallise les critiques. Réservée aux étrangers en situation irrégulière sous conditions de ressources, elle garantit une prise en charge gratuite et intégrale des soins.
Si ses défenseurs louent un système solidaire, ses détracteurs pointent une spirale inflationniste incontrôlable. Le budget de l’AME flambe d’année en année sans que les pouvoirs publics ne semblent capables d’en maîtriser les dérapages :
- De 588 millions d’euros en 2015, les dépenses AME ont grimpé à 1,05 milliard d’euros en 2023
- Avec un rythme de croissance annuel moyen de 8,6%, le coût de l’AME double tous les 8 ans
- On estime que 400 000 étrangers en situation irrégulière bénéficient actuellement de l’AME
Cette envolée budgétaire serait en partie due à des fraudes massives et une sur-utilisation des soins. Résultat, l’AME aspirerait une part croissante des ressources de l’Assurance Maladie, au détriment du reste de la population.
« L’appel d’air » des migrants
Outre l’AME, c’est l’ensemble de notre système de santé qui agirait comme un puissant « appel d’air » pour les candidats à l’immigration, estiment certains spécialistes. Notre modèle social aux allures d' »eldorado médical » aiguiserait les convoitises et drainerait sur notre sol une immigration sanitaire incontrôlée.
Des filières mafieuses organiseraient même des « voyages thérapeutiques » pour profiter de notre généreuse protection sociale. Elles inciteraient des étrangers à venir en France se faire soigner à moindre frais avant de repartir :
C’est un secret de polichinelle, des réseaux très structurés organisent des sortes de « tour opérateurs » médicaux ciblant la France. Certains migrants viennent uniquement pour bénéficier de notre couverture santé.
Un responsable d’un syndicat de police
Un phénomène qui ne ferait que s’amplifier ces dernières années, en particulier concernant les soins lourds et coûteux (chirurgies, dialyses, traitements chroniques…). Cette « pompe aspirante » provoquerait un effet boule de neige en attirant toujours plus de migrants-patients et en plombant toujours plus notre système de santé.
Repenser un système à bout de souffle
Face à cette bombe à retardement, de plus en plus de voix s’élèvent pour réclamer une remise à plat de notre modèle. Certains prônent des mesures radicales, comme la suppression pure et simple de l’AME. D’autres plaident pour un meilleur encadrement de l’accès aux soins des immigrés :
- Instauration de délais de carence avant de bénéficier de la prise en charge
- Exclusion des soins non-urgents du panier de soins des immigrés en situation irrégulière
- Ticket modérateur pour les bénéficiaires de l’AME
- Durcissement des contrôles pour lutter contre les fraudes à l’AME
Des pistes de réforme jugées indispensables pour préserver notre système de santé sans renier ses valeurs humanistes. Mais le sujet reste politiquement brûlant et les décideurs peinent à trancher dans le vif.
En attendant, l’addition ne cesse de s’alourdir, la pression sur les soignants de s’accentuer et le système de se fissurer. Combien de temps pourra-t-il encore tenir sans réforme d’ampleur ? L’avenir de notre modèle de santé est plus que jamais suspendu à cette épineuse question migratoire qui empoisonne le débat public.