En amont de la très attendue Conférence des Nations Unies sur la biodiversité (COP16), qui se tient actuellement en Colombie, le pays a choisi une manière pour le moins originale de célébrer son incroyable patrimoine naturel. Les mélomanes et les défenseurs de l’environnement seront ravis d’apprendre que l’hymne national colombien a été réinterprété… par les animaux eux-mêmes !
Un compositeur au cœur de la jungle et des mers
Pour réaliser ce projet ambitieux et inédit, le compositeur Miguel de Narvaez n’a pas hésité à s’immerger dans les lieux les plus reculés et sauvages de Colombie. Muni de son matériel d’enregistrement, il a parcouru la dense jungle amazonienne ainsi que les eaux turquoise de la mer des Caraïbes, à la rencontre des espèces emblématiques qui peuplent ces écosystèmes uniques au monde.
Des chants d’oiseaux exotiques aux cris des singes hurleurs, en passant par les coassements de grenouilles multicolores et les mélodies aquatiques des baleines, c’est un véritable orchestre animalier que Miguel de Narvaez a patiemment constitué. Un travail de titan qui aura nécessité des semaines d’exploration, d’observation et de captation sonore, avec pour objectif de donner une voix à ces créatures menacées par le changement climatique et les activités humaines.
Une symphonie de la biodiversité
Le résultat est à la hauteur des efforts déployés : un hymne national réinventé, vibrant hommage à l’extraordinaire biodiversité colombienne. Les notes familières résonnent d’une manière inédite, portées par les voix de la nature. Chaque espèce apporte sa tonalité unique, créant une harmonie aussi surprenante qu’émouvante.
Entendre notre hymne ainsi interprété par les animaux de notre pays est une expérience bouleversante. Cela nous rappelle à quel point nous sommes liés à toutes ces créatures merveilleuses, et la responsabilité qui nous incombe de les protéger.
– Juan Manuel Santos, ancien président colombien et ardent défenseur de l’environnement.
Au-delà de la prouesse artistique, cette réinterprétation animalière constitue un véritable plaidoyer en faveur de la préservation des écosystèmes. Chaque note, chaque mélodie devient le symbole poignant d’un patrimoine naturel en péril, qu’il est urgent de sauvegarder. La Colombie, qui abrite près de 10% de la biodiversité mondiale, se positionne ainsi comme un leader dans la lutte contre l’effondrement du vivant.
La COP16, un rendez-vous crucial
Cet hymne réinventé résonnera comme un cri d’alarme lors de la COP16, où scientifiques, décideurs politiques et ONG du monde entier sont réunis pour définir des stratégies ambitieuses de protection de la nature. Les enjeux sont colossaux : enrayer la disparition des espèces, restaurer les habitats dégradés, lutter contre les trafics et promouvoir un développement durable respectueux du vivant.
La Colombie entend bien profiter de cet événement planétaire pour sensibiliser le grand public à l’importance vitale de préserver son incroyable biodiversité. Des concerts de l’hymne “animalier” seront organisés, tandis que des expositions et des documentaires mettront en lumière les beautés naturelles du pays et les menaces qui pèsent sur elles.
En donnant une voix aux animaux à travers notre hymne national, nous espérons toucher les cœurs et faire prendre conscience de l’urgence d’agir. La Colombie est fière de sa nature exceptionnelle et est déterminée à la protéger, pour les générations futures et pour la planète entière.
– Iván Duque, président de la Colombie.
Une initiative audacieuse et émouvante, qui prouve que l’art et la créativité peuvent être de formidables vecteurs de sensibilisation écologique. En faisant chanter les animaux, la Colombie nous offre une symphonie poignante de la biodiversité, un appel vibrant à protéger ce trésor menacé. Espérons que ce message sera entendu lors de la COP16 et au-delà, pour que résonne encore longtemps la mélodie du vivant.
Des chants d’oiseaux exotiques aux cris des singes hurleurs, en passant par les coassements de grenouilles multicolores et les mélodies aquatiques des baleines, c’est un véritable orchestre animalier que Miguel de Narvaez a patiemment constitué. Un travail de titan qui aura nécessité des semaines d’exploration, d’observation et de captation sonore, avec pour objectif de donner une voix à ces créatures menacées par le changement climatique et les activités humaines.
Une symphonie de la biodiversité
Le résultat est à la hauteur des efforts déployés : un hymne national réinventé, vibrant hommage à l’extraordinaire biodiversité colombienne. Les notes familières résonnent d’une manière inédite, portées par les voix de la nature. Chaque espèce apporte sa tonalité unique, créant une harmonie aussi surprenante qu’émouvante.
Entendre notre hymne ainsi interprété par les animaux de notre pays est une expérience bouleversante. Cela nous rappelle à quel point nous sommes liés à toutes ces créatures merveilleuses, et la responsabilité qui nous incombe de les protéger.
– Juan Manuel Santos, ancien président colombien et ardent défenseur de l’environnement.
Au-delà de la prouesse artistique, cette réinterprétation animalière constitue un véritable plaidoyer en faveur de la préservation des écosystèmes. Chaque note, chaque mélodie devient le symbole poignant d’un patrimoine naturel en péril, qu’il est urgent de sauvegarder. La Colombie, qui abrite près de 10% de la biodiversité mondiale, se positionne ainsi comme un leader dans la lutte contre l’effondrement du vivant.
La COP16, un rendez-vous crucial
Cet hymne réinventé résonnera comme un cri d’alarme lors de la COP16, où scientifiques, décideurs politiques et ONG du monde entier sont réunis pour définir des stratégies ambitieuses de protection de la nature. Les enjeux sont colossaux : enrayer la disparition des espèces, restaurer les habitats dégradés, lutter contre les trafics et promouvoir un développement durable respectueux du vivant.
La Colombie entend bien profiter de cet événement planétaire pour sensibiliser le grand public à l’importance vitale de préserver son incroyable biodiversité. Des concerts de l’hymne “animalier” seront organisés, tandis que des expositions et des documentaires mettront en lumière les beautés naturelles du pays et les menaces qui pèsent sur elles.
En donnant une voix aux animaux à travers notre hymne national, nous espérons toucher les cœurs et faire prendre conscience de l’urgence d’agir. La Colombie est fière de sa nature exceptionnelle et est déterminée à la protéger, pour les générations futures et pour la planète entière.
– Iván Duque, président de la Colombie.
Une initiative audacieuse et émouvante, qui prouve que l’art et la créativité peuvent être de formidables vecteurs de sensibilisation écologique. En faisant chanter les animaux, la Colombie nous offre une symphonie poignante de la biodiversité, un appel vibrant à protéger ce trésor menacé. Espérons que ce message sera entendu lors de la COP16 et au-delà, pour que résonne encore longtemps la mélodie du vivant.