L’Euro 2024 a tenu toutes ses promesses en nous offrant un spectacle haletant du début à la fin. Entre révélations, résurrections et déceptions, ce tournoi a été riche en émotions et en enseignements pour le football européen. Zoom sur les grands gagnants et perdants de cette édition allemande.
La jeunesse espagnole au pouvoir
La grande satisfaction de cet Euro est sans conteste l’éclosion au plus haut niveau de deux pépites espagnoles : Nico Williams et Lamine Yamal. Les deux ailiers ont apporté un vent de fraîcheur dans le jeu de la Roja, ajoutant verticalité et percussion à la possession de balle si chère aux Espagnols. Décisifs à de nombreuses reprises, ils symbolisent le renouveau d’une sélection sur le toit de l’Europe.
Si la Roja a soulevé le trophée, c’est en grande partie grâce à eux.
L’Allemagne de Nagelsmann ressuscitée
Après des années de doute, la Mannschaft a retrouvé des couleurs à domicile grâce à l’élan insufflé par son sélectionneur Julian Nagelsmann. Emballants puis pragmatiques, les Allemands ont séduit leur public avant de s’incliner cruellement en quart de finale. Malgré la défaite, Nagelsmann a redonné confiance et ambition à un groupe rajeuni, porté par les Musiala, Wirtz et autres talents germaniques.
Les révélations géorgienne, néerlandaise et turque
Parmi les autres satisfactions, notons les performances de joueurs qui ont crevé l’écran : le Géorgien Georges Mikautadze, auteur de 3 buts pour sa première participation à l’Euro, le Néerlandais Cody Gakpo, constant danger sur son aile gauche, et le Turc Arda Güler, épatant de vista malgré son jeune âge. Tous prennent rendez-vous avec l’avenir.
Les déceptions française et italienne
Côté déceptions, les deux derniers vainqueurs sortent avec les honneurs. Pourtant favoris, les Bleus n’ont jamais trouvé la bonne carburation, à l’image de leurs leaders Mbappé et Griezmann méconnaissables. Difficile dans ces conditions d’aller au bout. Quant à la Nazionale, tenante du titre, elle repart sans gloire, battue par une Suisse plus saignante en huitième de finale.
Fin de cycle pour la Croatie
Voilà les principaux enseignements de cet Euro 2024 qui nous a tenus en haleine. Rendez-vous dans 4 ans pour de nouvelles émotions !
Voilà les principaux enseignements de cet Euro 2024 qui nous a tenus en haleine. Rendez-vous dans 4 ans pour de nouvelles émotions !
Enfin, cet Euro sonne le glas de la génération dorée croate. Modric et ses coéquipiers n’ont jamais su élever leur niveau dans la terrible poule de la mort. Un crépuscule logique pour les vice-champions du monde, qu’on espère voir passer le flambeau dans les années à venir.
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