ActualitésÉconomie

Les Salariés de Novares Bloquent l’Usine à Strasbourg

Coup de tonnerre à Strasbourg : les salariés de l'usine Novares se mobilisent contre la fermeture du site et réclament de meilleures conditions de départ. Une grève qui met en lumière les défis de l'industrie automobile française. Découvrez les dessous de ce mouvement social qui...

C’est un vent de révolte qui souffle sur l’usine Novares d’Ostwald, en périphérie de Strasbourg. Depuis ce matin, les 122 salariés du site spécialisé dans les pièces plastiques pour l’automobile ont débuté un mouvement de grève pour protester contre les conditions du plan social qui accompagne la fermeture programmée de leur usine. Une décision brutale qui illustre les défis auxquels est confronté le secteur automobile français.

Un plan social jugé insuffisant par les salariés

Au cœur des revendications des grévistes : les modalités de départ proposées par la direction de Novares. Avec une prime extra-légale de licenciement de seulement 1300 euros par salarié et une indemnité de 65% pour un congé de reclassement de 8 mois, le compte n’y est pas pour les employés. Selon une source syndicale, ces propositions sont “largement insuffisantes” au regard de la situation.

Les salariés, soutenus par une intersyndicale, demandent une revalorisation significative des conditions de départ. Ils réclament également la participation financière de Stellantis, principal client du site, au plan social. Une requête légitime pour ces travailleurs qui se retrouvent sur le carreau malgré des années de bons et loyaux services.

La fermeture programmée, symptôme d’un secteur en crise

Si la fermeture de l’usine Novares d’Ostwald s’inscrit dans un contexte global de difficultés pour le marché automobile, elle met aussi en lumière des choix stratégiques discutables. D’après nos informations, le site alsacien aurait été progressivement mis à l’écart pour décrocher de nouveaux marchés, réduisant son activité à des contrats en fin de vie.

Avec un premier round de départs prévus dès février 2025, c’est une course contre la montre qui s’engage pour les 122 salariés menacés. Si certains envisagent une reconversion, beaucoup s’inquiètent de leur avenir professionnel dans un bassin d’emploi déjà fragilisé. Les prochaines négociations entre l’intersyndicale et la direction s’annoncent donc cruciales.

On ne lâchera rien. C’est notre avenir et celui de nos familles qui est en jeu. La direction doit prendre ses responsabilités et assurer des départs dignes pour tous les salariés.

Un représentant syndical de l’usine Novares d’Ostwald

Au-delà du sort des employés de Novares, c’est toute la question de la réindustrialisation et de la pérennité des emplois industriels qui se pose. Alors que le gouvernement multiplie les annonces de relance du “made in France”, les fermetures de sites comme celui d’Ostwald viennent rappeler l’urgence d’une vraie politique industrielle durable et protectrice de l’emploi. Les salariés de Novares, eux, attendent des actes concrets. Leur mobilisation en cours le prouve : ils sont déterminés à ne pas devenir les nouvelles victimes d’un système à bout de souffle.

À Strasbourg et partout en France, la lutte pour la sauvegarde de l’industrie et des emplois est plus que jamais d’actualité. Un combat vital pour les salariés de Novares, leurs familles et toutes celles et ceux qui refusent de voir l’industrie française sacrifiée sur l’autel de la rentabilité. La partie ne fait que commencer mais une chose est sûre : les grévistes d’Ostwald sont bien décidés à ne rien lâcher. Une détermination à toute épreuve qui force le respect et appelle à la solidarité de tous.

Un avenir incertain pour les salariés

Avec un premier round de départs prévus dès février 2025, c’est une course contre la montre qui s’engage pour les 122 salariés menacés. Si certains envisagent une reconversion, beaucoup s’inquiètent de leur avenir professionnel dans un bassin d’emploi déjà fragilisé. Les prochaines négociations entre l’intersyndicale et la direction s’annoncent donc cruciales.

On ne lâchera rien. C’est notre avenir et celui de nos familles qui est en jeu. La direction doit prendre ses responsabilités et assurer des départs dignes pour tous les salariés.

Un représentant syndical de l’usine Novares d’Ostwald

Au-delà du sort des employés de Novares, c’est toute la question de la réindustrialisation et de la pérennité des emplois industriels qui se pose. Alors que le gouvernement multiplie les annonces de relance du “made in France”, les fermetures de sites comme celui d’Ostwald viennent rappeler l’urgence d’une vraie politique industrielle durable et protectrice de l’emploi. Les salariés de Novares, eux, attendent des actes concrets. Leur mobilisation en cours le prouve : ils sont déterminés à ne pas devenir les nouvelles victimes d’un système à bout de souffle.

À Strasbourg et partout en France, la lutte pour la sauvegarde de l’industrie et des emplois est plus que jamais d’actualité. Un combat vital pour les salariés de Novares, leurs familles et toutes celles et ceux qui refusent de voir l’industrie française sacrifiée sur l’autel de la rentabilité. La partie ne fait que commencer mais une chose est sûre : les grévistes d’Ostwald sont bien décidés à ne rien lâcher. Une détermination à toute épreuve qui force le respect et appelle à la solidarité de tous.

Un avenir incertain pour les salariés

Avec un premier round de départs prévus dès février 2025, c’est une course contre la montre qui s’engage pour les 122 salariés menacés. Si certains envisagent une reconversion, beaucoup s’inquiètent de leur avenir professionnel dans un bassin d’emploi déjà fragilisé. Les prochaines négociations entre l’intersyndicale et la direction s’annoncent donc cruciales.

On ne lâchera rien. C’est notre avenir et celui de nos familles qui est en jeu. La direction doit prendre ses responsabilités et assurer des départs dignes pour tous les salariés.

Un représentant syndical de l’usine Novares d’Ostwald

Au-delà du sort des employés de Novares, c’est toute la question de la réindustrialisation et de la pérennité des emplois industriels qui se pose. Alors que le gouvernement multiplie les annonces de relance du “made in France”, les fermetures de sites comme celui d’Ostwald viennent rappeler l’urgence d’une vraie politique industrielle durable et protectrice de l’emploi. Les salariés de Novares, eux, attendent des actes concrets. Leur mobilisation en cours le prouve : ils sont déterminés à ne pas devenir les nouvelles victimes d’un système à bout de souffle.

À Strasbourg et partout en France, la lutte pour la sauvegarde de l’industrie et des emplois est plus que jamais d’actualité. Un combat vital pour les salariés de Novares, leurs familles et toutes celles et ceux qui refusent de voir l’industrie française sacrifiée sur l’autel de la rentabilité. La partie ne fait que commencer mais une chose est sûre : les grévistes d’Ostwald sont bien décidés à ne rien lâcher. Une détermination à toute épreuve qui force le respect et appelle à la solidarité de tous.

Un constat amer pour les salariés qui ont le sentiment d’être les victimes d’un manque d’anticipation et d’investissement. “On a l’impression d’être abandonnés, sacrifiés sur l’autel de la rentabilité à court terme”, confie sous couvert d’anonymat un employé en poste depuis plus de 20 ans. Une situation d’autant plus difficile à accepter que Novares, malgré la crise, reste un équipementier automobile majeur avec 37 usines dans 22 pays et un chiffre d’affaires de 1,2 milliard d’euros en 2023.

Un avenir incertain pour les salariés

Avec un premier round de départs prévus dès février 2025, c’est une course contre la montre qui s’engage pour les 122 salariés menacés. Si certains envisagent une reconversion, beaucoup s’inquiètent de leur avenir professionnel dans un bassin d’emploi déjà fragilisé. Les prochaines négociations entre l’intersyndicale et la direction s’annoncent donc cruciales.

On ne lâchera rien. C’est notre avenir et celui de nos familles qui est en jeu. La direction doit prendre ses responsabilités et assurer des départs dignes pour tous les salariés.

Un représentant syndical de l’usine Novares d’Ostwald

Au-delà du sort des employés de Novares, c’est toute la question de la réindustrialisation et de la pérennité des emplois industriels qui se pose. Alors que le gouvernement multiplie les annonces de relance du “made in France”, les fermetures de sites comme celui d’Ostwald viennent rappeler l’urgence d’une vraie politique industrielle durable et protectrice de l’emploi. Les salariés de Novares, eux, attendent des actes concrets. Leur mobilisation en cours le prouve : ils sont déterminés à ne pas devenir les nouvelles victimes d’un système à bout de souffle.

À Strasbourg et partout en France, la lutte pour la sauvegarde de l’industrie et des emplois est plus que jamais d’actualité. Un combat vital pour les salariés de Novares, leurs familles et toutes celles et ceux qui refusent de voir l’industrie française sacrifiée sur l’autel de la rentabilité. La partie ne fait que commencer mais une chose est sûre : les grévistes d’Ostwald sont bien décidés à ne rien lâcher. Une détermination à toute épreuve qui force le respect et appelle à la solidarité de tous.

Un constat amer pour les salariés qui ont le sentiment d’être les victimes d’un manque d’anticipation et d’investissement. “On a l’impression d’être abandonnés, sacrifiés sur l’autel de la rentabilité à court terme”, confie sous couvert d’anonymat un employé en poste depuis plus de 20 ans. Une situation d’autant plus difficile à accepter que Novares, malgré la crise, reste un équipementier automobile majeur avec 37 usines dans 22 pays et un chiffre d’affaires de 1,2 milliard d’euros en 2023.

Un avenir incertain pour les salariés

Avec un premier round de départs prévus dès février 2025, c’est une course contre la montre qui s’engage pour les 122 salariés menacés. Si certains envisagent une reconversion, beaucoup s’inquiètent de leur avenir professionnel dans un bassin d’emploi déjà fragilisé. Les prochaines négociations entre l’intersyndicale et la direction s’annoncent donc cruciales.

On ne lâchera rien. C’est notre avenir et celui de nos familles qui est en jeu. La direction doit prendre ses responsabilités et assurer des départs dignes pour tous les salariés.

Un représentant syndical de l’usine Novares d’Ostwald

Au-delà du sort des employés de Novares, c’est toute la question de la réindustrialisation et de la pérennité des emplois industriels qui se pose. Alors que le gouvernement multiplie les annonces de relance du “made in France”, les fermetures de sites comme celui d’Ostwald viennent rappeler l’urgence d’une vraie politique industrielle durable et protectrice de l’emploi. Les salariés de Novares, eux, attendent des actes concrets. Leur mobilisation en cours le prouve : ils sont déterminés à ne pas devenir les nouvelles victimes d’un système à bout de souffle.

À Strasbourg et partout en France, la lutte pour la sauvegarde de l’industrie et des emplois est plus que jamais d’actualité. Un combat vital pour les salariés de Novares, leurs familles et toutes celles et ceux qui refusent de voir l’industrie française sacrifiée sur l’autel de la rentabilité. La partie ne fait que commencer mais une chose est sûre : les grévistes d’Ostwald sont bien décidés à ne rien lâcher. Une détermination à toute épreuve qui force le respect et appelle à la solidarité de tous.

Passionné et dévoué, j'explore sans cesse les nouvelles frontières de l'information et de la technologie. Pour explorer les options de sponsoring, contactez-nous.