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Les Notes du PSG à Munich : Une Défaite Amère

Le PSG s'est incliné 1-0 sur la pelouse du Bayern Munich lors de la 5e journée de Ligue des Champions. Une erreur de Safonov, une expulsion pour Dembélé... Découvrez les notes des Parisiens après cette défaite qui les place dans une position délicate pour la qualification. Qui a surnagé dans la tempête bavaroise ?

C’est un Paris Saint-Germain meurtri qui est reparti de l’Allianz Arena mardi soir. Battus 1-0 par le Bayern Munich lors de la 5e journée de Ligue des Champions, les Parisiens ont vu leurs espoirs de qualification directe pour les 8es de finale sérieusement s’amenuiser. Avec seulement 4 points au compteur et trois petits buts marqués en cinq rencontres, le bilan est maigre pour les stars de la capitale. Dans une rencontre où ils n’ont jamais vraiment existé, les hommes de Luis Enrique paient cash leurs errements.

Un onze surprenant, un plan qui échoue

Privé de nombreux cadres, le technicien espagnol avait décidé de titulariser un onze inédit, avec les premières de Matfey Safonov dans les buts et Bradley Barcola en attaque. Un pari risqué qui n’aura pas porté ses fruits. Si les Parisiens se sont montrés agressifs et courageux par séquences, ils ont cruellement manqué de maîtrise et de justesse technique pour inquiéter véritablement le Bayern.

Luis Enrique avait pourtant prévenu avant la rencontre :

On s’est compliqué la tâche tout seuls.

Mais ses choix tactiques et la prestation indigente de certains cadres n’ont fait qu’accentuer les difficultés parisiennes. Face à un Bayern certes pas flamboyant mais solide et réaliste, cela s’est avéré fatal.

L’erreur de Safonov, le naufrage de Barcola

Aligné pour la première fois dans le but parisien, Matfey Safonov aura vécu une soirée cauchemardesque. Malgré quelques parades en début de match, le portier russe a complètement manqué sa sortie sur un corner, offrant un but tout cuit à Kim Min-jae (38e). Une bourde qui aura plombé son équipe et prouvé que le PSG avait peut-être misé sur le mauvais cheval pour succéder à Donnarumma.

Autre grand perdant côté parisien : Bradley Barcola. Pour sa première titularisation en Ligue des Champions, l’attaquant formé au club est complètement passé à côté de son match. Transparent, en dedans physiquement, il n’a jamais réussi à peser sur la défense munichoise. Un baptême du feu raté pour celui sur qui Luis Enrique comptait tant en l’absence de Mbappé.

Vitinha surnage, Dembélé coule

Un véritable camouflet pour un club qui rêvait encore de remporter la Coupe aux grandes oreilles il y a quelques mois. Luis Enrique et ses hommes n’ont plus le choix : il va falloir montrer un tout autre visage sous peine de vivre une humiliation historique. Les prochaines semaines s’annoncent tendues dans la capitale. Le PSG joue très gros.

Un véritable camouflet pour un club qui rêvait encore de remporter la Coupe aux grandes oreilles il y a quelques mois. Luis Enrique et ses hommes n’ont plus le choix : il va falloir montrer un tout autre visage sous peine de vivre une humiliation historique. Les prochaines semaines s’annoncent tendues dans la capitale. Le PSG joue très gros.

Face à un adversaire du calibre du Bayern, la marche était visiblement trop haute pour ce PSG-là. Et les conséquences risquent d’être fâcheuses. Avec ce revers, Paris n’a plus son destin en main et va devoir cravacher lors de la dernière journée pour arracher sa qualification, probablement via les barrages.

Un véritable camouflet pour un club qui rêvait encore de remporter la Coupe aux grandes oreilles il y a quelques mois. Luis Enrique et ses hommes n’ont plus le choix : il va falloir montrer un tout autre visage sous peine de vivre une humiliation historique. Les prochaines semaines s’annoncent tendues dans la capitale. Le PSG joue très gros.

Face à un adversaire du calibre du Bayern, la marche était visiblement trop haute pour ce PSG-là. Et les conséquences risquent d’être fâcheuses. Avec ce revers, Paris n’a plus son destin en main et va devoir cravacher lors de la dernière journée pour arracher sa qualification, probablement via les barrages.

Un véritable camouflet pour un club qui rêvait encore de remporter la Coupe aux grandes oreilles il y a quelques mois. Luis Enrique et ses hommes n’ont plus le choix : il va falloir montrer un tout autre visage sous peine de vivre une humiliation historique. Les prochaines semaines s’annoncent tendues dans la capitale. Le PSG joue très gros.

Déjà en difficulté lors de la phase de poules la saison passée, le club de la capitale semble clairement régresser en Ligue des Champions. Un paradoxe au vu des investissements colossaux consentis chaque année. Mais la qualité de l’effectif et le niveau affiché ne sont plus en adéquation avec les ambitions affichées, et les stars ne parviennent plus à masquer les carences collectives.

Face à un adversaire du calibre du Bayern, la marche était visiblement trop haute pour ce PSG-là. Et les conséquences risquent d’être fâcheuses. Avec ce revers, Paris n’a plus son destin en main et va devoir cravacher lors de la dernière journée pour arracher sa qualification, probablement via les barrages.

Un véritable camouflet pour un club qui rêvait encore de remporter la Coupe aux grandes oreilles il y a quelques mois. Luis Enrique et ses hommes n’ont plus le choix : il va falloir montrer un tout autre visage sous peine de vivre une humiliation historique. Les prochaines semaines s’annoncent tendues dans la capitale. Le PSG joue très gros.

Déjà en difficulté lors de la phase de poules la saison passée, le club de la capitale semble clairement régresser en Ligue des Champions. Un paradoxe au vu des investissements colossaux consentis chaque année. Mais la qualité de l’effectif et le niveau affiché ne sont plus en adéquation avec les ambitions affichées, et les stars ne parviennent plus à masquer les carences collectives.

Face à un adversaire du calibre du Bayern, la marche était visiblement trop haute pour ce PSG-là. Et les conséquences risquent d’être fâcheuses. Avec ce revers, Paris n’a plus son destin en main et va devoir cravacher lors de la dernière journée pour arracher sa qualification, probablement via les barrages.

Un véritable camouflet pour un club qui rêvait encore de remporter la Coupe aux grandes oreilles il y a quelques mois. Luis Enrique et ses hommes n’ont plus le choix : il va falloir montrer un tout autre visage sous peine de vivre une humiliation historique. Les prochaines semaines s’annoncent tendues dans la capitale. Le PSG joue très gros.

Au-delà de ces cas individuels, c’est tout le PSG qui interroge après cette nouvelle contre-performance européenne. Dominé dans l’engagement, éteint offensivement (aucun tir cadré), fébrile défensivement, Paris a affiché un visage inquiétant qui démontre l’étendue du travail qu’il reste à accomplir pour espérer jouer les premiers rôles sur la scène continentale.

Déjà en difficulté lors de la phase de poules la saison passée, le club de la capitale semble clairement régresser en Ligue des Champions. Un paradoxe au vu des investissements colossaux consentis chaque année. Mais la qualité de l’effectif et le niveau affiché ne sont plus en adéquation avec les ambitions affichées, et les stars ne parviennent plus à masquer les carences collectives.

Face à un adversaire du calibre du Bayern, la marche était visiblement trop haute pour ce PSG-là. Et les conséquences risquent d’être fâcheuses. Avec ce revers, Paris n’a plus son destin en main et va devoir cravacher lors de la dernière journée pour arracher sa qualification, probablement via les barrages.

Un véritable camouflet pour un club qui rêvait encore de remporter la Coupe aux grandes oreilles il y a quelques mois. Luis Enrique et ses hommes n’ont plus le choix : il va falloir montrer un tout autre visage sous peine de vivre une humiliation historique. Les prochaines semaines s’annoncent tendues dans la capitale. Le PSG joue très gros.

Au-delà de ces cas individuels, c’est tout le PSG qui interroge après cette nouvelle contre-performance européenne. Dominé dans l’engagement, éteint offensivement (aucun tir cadré), fébrile défensivement, Paris a affiché un visage inquiétant qui démontre l’étendue du travail qu’il reste à accomplir pour espérer jouer les premiers rôles sur la scène continentale.

Déjà en difficulté lors de la phase de poules la saison passée, le club de la capitale semble clairement régresser en Ligue des Champions. Un paradoxe au vu des investissements colossaux consentis chaque année. Mais la qualité de l’effectif et le niveau affiché ne sont plus en adéquation avec les ambitions affichées, et les stars ne parviennent plus à masquer les carences collectives.

Face à un adversaire du calibre du Bayern, la marche était visiblement trop haute pour ce PSG-là. Et les conséquences risquent d’être fâcheuses. Avec ce revers, Paris n’a plus son destin en main et va devoir cravacher lors de la dernière journée pour arracher sa qualification, probablement via les barrages.

Un véritable camouflet pour un club qui rêvait encore de remporter la Coupe aux grandes oreilles il y a quelques mois. Luis Enrique et ses hommes n’ont plus le choix : il va falloir montrer un tout autre visage sous peine de vivre une humiliation historique. Les prochaines semaines s’annoncent tendues dans la capitale. Le PSG joue très gros.

En attaque, c’est Ousmane Dembélé qui symbolise le naufrage parisien. Aligné en soutien de Bradley Barcola, l’ancien Barcelonais a livré une prestation indigne de son statut. Jamais dans le bon tempo, coupable de trop de déchets techniques, il a parfaitement illustré l’impuissance offensive des siens. Son expulsion en fin de match pour un tacle dangereux sur Noussair Mazraoui n’a fait qu’accentuer sa soirée noire. Un véritable calvaire.

Un déclassement inquiétant

Au-delà de ces cas individuels, c’est tout le PSG qui interroge après cette nouvelle contre-performance européenne. Dominé dans l’engagement, éteint offensivement (aucun tir cadré), fébrile défensivement, Paris a affiché un visage inquiétant qui démontre l’étendue du travail qu’il reste à accomplir pour espérer jouer les premiers rôles sur la scène continentale.

Déjà en difficulté lors de la phase de poules la saison passée, le club de la capitale semble clairement régresser en Ligue des Champions. Un paradoxe au vu des investissements colossaux consentis chaque année. Mais la qualité de l’effectif et le niveau affiché ne sont plus en adéquation avec les ambitions affichées, et les stars ne parviennent plus à masquer les carences collectives.

Face à un adversaire du calibre du Bayern, la marche était visiblement trop haute pour ce PSG-là. Et les conséquences risquent d’être fâcheuses. Avec ce revers, Paris n’a plus son destin en main et va devoir cravacher lors de la dernière journée pour arracher sa qualification, probablement via les barrages.

Un véritable camouflet pour un club qui rêvait encore de remporter la Coupe aux grandes oreilles il y a quelques mois. Luis Enrique et ses hommes n’ont plus le choix : il va falloir montrer un tout autre visage sous peine de vivre une humiliation historique. Les prochaines semaines s’annoncent tendues dans la capitale. Le PSG joue très gros.

En attaque, c’est Ousmane Dembélé qui symbolise le naufrage parisien. Aligné en soutien de Bradley Barcola, l’ancien Barcelonais a livré une prestation indigne de son statut. Jamais dans le bon tempo, coupable de trop de déchets techniques, il a parfaitement illustré l’impuissance offensive des siens. Son expulsion en fin de match pour un tacle dangereux sur Noussair Mazraoui n’a fait qu’accentuer sa soirée noire. Un véritable calvaire.

Un déclassement inquiétant

Au-delà de ces cas individuels, c’est tout le PSG qui interroge après cette nouvelle contre-performance européenne. Dominé dans l’engagement, éteint offensivement (aucun tir cadré), fébrile défensivement, Paris a affiché un visage inquiétant qui démontre l’étendue du travail qu’il reste à accomplir pour espérer jouer les premiers rôles sur la scène continentale.

Déjà en difficulté lors de la phase de poules la saison passée, le club de la capitale semble clairement régresser en Ligue des Champions. Un paradoxe au vu des investissements colossaux consentis chaque année. Mais la qualité de l’effectif et le niveau affiché ne sont plus en adéquation avec les ambitions affichées, et les stars ne parviennent plus à masquer les carences collectives.

Face à un adversaire du calibre du Bayern, la marche était visiblement trop haute pour ce PSG-là. Et les conséquences risquent d’être fâcheuses. Avec ce revers, Paris n’a plus son destin en main et va devoir cravacher lors de la dernière journée pour arracher sa qualification, probablement via les barrages.

Un véritable camouflet pour un club qui rêvait encore de remporter la Coupe aux grandes oreilles il y a quelques mois. Luis Enrique et ses hommes n’ont plus le choix : il va falloir montrer un tout autre visage sous peine de vivre une humiliation historique. Les prochaines semaines s’annoncent tendues dans la capitale. Le PSG joue très gros.

Dans la tempête bavaroise, un Parisien aura tout de même réussi à tirer son épingle du jeu. Au milieu de terrain, Vitinha s’est démené pour tenter d’apporter de la consistance au jeu de son équipe. Précieux dans la conservation du ballon, l’international portugais a multiplié les efforts pour combler les largesses de ses partenaires. Mais il était bien trop seul pour endiguer les vagues allemandes.

En attaque, c’est Ousmane Dembélé qui symbolise le naufrage parisien. Aligné en soutien de Bradley Barcola, l’ancien Barcelonais a livré une prestation indigne de son statut. Jamais dans le bon tempo, coupable de trop de déchets techniques, il a parfaitement illustré l’impuissance offensive des siens. Son expulsion en fin de match pour un tacle dangereux sur Noussair Mazraoui n’a fait qu’accentuer sa soirée noire. Un véritable calvaire.

Un déclassement inquiétant

Au-delà de ces cas individuels, c’est tout le PSG qui interroge après cette nouvelle contre-performance européenne. Dominé dans l’engagement, éteint offensivement (aucun tir cadré), fébrile défensivement, Paris a affiché un visage inquiétant qui démontre l’étendue du travail qu’il reste à accomplir pour espérer jouer les premiers rôles sur la scène continentale.

Déjà en difficulté lors de la phase de poules la saison passée, le club de la capitale semble clairement régresser en Ligue des Champions. Un paradoxe au vu des investissements colossaux consentis chaque année. Mais la qualité de l’effectif et le niveau affiché ne sont plus en adéquation avec les ambitions affichées, et les stars ne parviennent plus à masquer les carences collectives.

Face à un adversaire du calibre du Bayern, la marche était visiblement trop haute pour ce PSG-là. Et les conséquences risquent d’être fâcheuses. Avec ce revers, Paris n’a plus son destin en main et va devoir cravacher lors de la dernière journée pour arracher sa qualification, probablement via les barrages.

Un véritable camouflet pour un club qui rêvait encore de remporter la Coupe aux grandes oreilles il y a quelques mois. Luis Enrique et ses hommes n’ont plus le choix : il va falloir montrer un tout autre visage sous peine de vivre une humiliation historique. Les prochaines semaines s’annoncent tendues dans la capitale. Le PSG joue très gros.

Dans la tempête bavaroise, un Parisien aura tout de même réussi à tirer son épingle du jeu. Au milieu de terrain, Vitinha s’est démené pour tenter d’apporter de la consistance au jeu de son équipe. Précieux dans la conservation du ballon, l’international portugais a multiplié les efforts pour combler les largesses de ses partenaires. Mais il était bien trop seul pour endiguer les vagues allemandes.

En attaque, c’est Ousmane Dembélé qui symbolise le naufrage parisien. Aligné en soutien de Bradley Barcola, l’ancien Barcelonais a livré une prestation indigne de son statut. Jamais dans le bon tempo, coupable de trop de déchets techniques, il a parfaitement illustré l’impuissance offensive des siens. Son expulsion en fin de match pour un tacle dangereux sur Noussair Mazraoui n’a fait qu’accentuer sa soirée noire. Un véritable calvaire.

Un déclassement inquiétant

Au-delà de ces cas individuels, c’est tout le PSG qui interroge après cette nouvelle contre-performance européenne. Dominé dans l’engagement, éteint offensivement (aucun tir cadré), fébrile défensivement, Paris a affiché un visage inquiétant qui démontre l’étendue du travail qu’il reste à accomplir pour espérer jouer les premiers rôles sur la scène continentale.

Déjà en difficulté lors de la phase de poules la saison passée, le club de la capitale semble clairement régresser en Ligue des Champions. Un paradoxe au vu des investissements colossaux consentis chaque année. Mais la qualité de l’effectif et le niveau affiché ne sont plus en adéquation avec les ambitions affichées, et les stars ne parviennent plus à masquer les carences collectives.

Face à un adversaire du calibre du Bayern, la marche était visiblement trop haute pour ce PSG-là. Et les conséquences risquent d’être fâcheuses. Avec ce revers, Paris n’a plus son destin en main et va devoir cravacher lors de la dernière journée pour arracher sa qualification, probablement via les barrages.

Un véritable camouflet pour un club qui rêvait encore de remporter la Coupe aux grandes oreilles il y a quelques mois. Luis Enrique et ses hommes n’ont plus le choix : il va falloir montrer un tout autre visage sous peine de vivre une humiliation historique. Les prochaines semaines s’annoncent tendues dans la capitale. Le PSG joue très gros.

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